


Adulte, tous niveaux, Compagnie Sylvain Huc
Sylvain Huc conçoit le corps en mouvement comme un langage mais aussi une technologie, un ensemble de techniques qu’il partage. L’atelier se déroule dans un mouvement perpétuel qui se déploie depuis le sol jusqu’à debout. La répétition de gestes qui se complexifient peu à peu devient un principe de travail. Faits de strates qui se cumulent à mesure, ces gestes, ou motifs, cultivent rigueur physique et précision du mouvement.
« Il y a dans ma pratique une forte dimension artisanale, au sens où la répétition du geste y est fondamentale. Je répète et répète encore les mêmes gestes depuis des années. Loin d’être ennuyeuse, cette répétition est au contraire pour moi une perpétuelle redécouverte. »
Présentation de l’artiste
Depuis 2010, Sylvain Huc explore le corps comme un territoire infini, au croisement de l’anthropologie, de l’abstraction et du rituel. Chorégraphe et directeur de sa propre compagnie, il développe une écriture sensible où son, lumière et mouvement dialoguent, privilégiant l’expérience partagée au récit.
Sylvain Huc à retrouver au KLAP Maison pour la danse

Sylvain Huc et Mathilde Olivares présenteront La vie nouvelle au KLAP Maison pour la danse le mercredi 19 novembre 2025 à 20h
Sylvain Huc & Mathilde Olivares, complices artistiques depuis une décennie, s’engagent, chorégraphes et interprètes, dans la création d’un duo. Nourrie de nombreuses collaborations, leur relation affinée au fil des pièces, du studio, des échanges, s’affranchit de tout message pour s’abandonner au présent d’un langage commun, épuré, en perpétuelle invention.
Sur un plateau nu, un petit cylindre blanc s’invite comme présence discrète mais active, reliant les corps et les mouvements. Dans La vie nouvelle, les relations se jouent entre perte et récupération, continuité et modulation, dans un espace ouvert à tous les possibles.
Le geste y est une invitation à contempler la danse se déployer, à regarder des corps « ouverts », en perpétuel renouvellement. Traversée de matière et de mystère, l’expérience se propose à la fois physique et poétique : une invitation à vivre, avec le public, un moment de confiance, de présence et d’infini en puissance.
Adulte, tous niveaux, Compagnie Sylvain Huc

Sylvain Huc conçoit le corps en mouvement comme un langage mais aussi une technologie, un ensemble de techniques qu’il partage. L’atelier se déroule dans un mouvement perpétuel qui se déploie depuis le sol jusqu’à debout. La répétition de gestes qui se complexifient peu à peu devient un principe de travail. Faits de strates qui se cumulent à mesure, ces gestes, ou motifs, cultivent rigueur physique et précision du mouvement.
« Il y a dans ma pratique une forte dimension artisanale, au sens où la répétition du geste y est fondamentale. Je répète et répète encore les mêmes gestes depuis des années. Loin d’être ennuyeuse, cette répétition est au contraire pour moi une perpétuelle redécouverte. »

Présentation de l’artiste
Depuis 2010, Sylvain Huc explore le corps comme un territoire infini, au croisement de l’anthropologie, de l’abstraction et du rituel. Chorégraphe et directeur de sa propre compagnie, il développe une écriture sensible où son, lumière et mouvement dialoguent, privilégiant l’expérience partagée au récit.
Sylvain Huc à retrouver au KLAP Maison pour la danse

Sylvain Huc et Mathilde Olivares présenteront La vie nouvelle au KLAP Maison pour la danse le mercredi 19 novembre 2025 à 20h
Sylvain Huc & Mathilde Olivares, complices artistiques depuis une décennie, s’engagent, chorégraphes et interprètes, dans la création d’un duo. Nourrie de nombreuses collaborations, leur relation affinée au fil des pièces, du studio, des échanges, s’affranchit de tout message pour s’abandonner au présent d’un langage commun, épuré, en perpétuelle invention.
Sur un plateau nu, un petit cylindre blanc s’invite comme présence discrète mais active, reliant les corps et les mouvements. Dans La vie nouvelle, les relations se jouent entre perte et récupération, continuité et modulation, dans un espace ouvert à tous les possibles.
Le geste y est une invitation à contempler la danse se déployer, à regarder des corps « ouverts », en perpétuel renouvellement. Traversée de matière et de mystère, l’expérience se propose à la fois physique et poétique : une invitation à vivre, avec le public, un moment de confiance, de présence et d’infini en puissance.











