Venez dénicher la perle rare tout en donnant une seconde vie à vos objets culturels. Le principe ? L’échange entre particuliers de CD, DVD, livres, BD, affiches, lithographies, tableaux, objets design, instruments de musique, jeux vidéo… Ici, ni pièces ni billets : votre seule monnaie d’échange, c’est la culture !  

Deux façons de participer : en s'inscrivant à l'avance (marseille-troc@telerama.fr) pour obtenir un espace dédié pour présenter ses objets ; ou simplement en venant déambuler au Mucem avec quelques articles à échanger.

Règle # 1 • Le GRAND TROC CULTUREL, c'est l'échange entre particuliers de livres, de bandes dessinées, de disques (CD, vinyles...), de films en DVD, de petits objets de design (facilement transportables), de jeux vidéos, d'affiches, de lithographies, de tableaux, d'instruments de musique... Nota bene : pas de vêtements, pas de bijoux, pas de jouets, pas d’objet tranchant ou encore d’objet en verre. 

Règle # 2 • Les échanges ont lieu de gré à gré, sans intermédiaire, et bien sûr sans échange d'argent. Chacun doit prévoir d'apporter des articles de différentes valeurs pour permettre le plus de transactions possibles.

Règle # 3 • Cette journée de troc est ouverte à tous, gratuitement. Deux façons d'y participer : en s'inscrivant à l'avance pour obtenir un espace dédié pour présenter ses objets (lire règle # 4) ; ou simplement en venant déambuler dans les travées le samedi 26 novembre avec quelques articles à échanger.

Règle # 4 • Pour les «troqueurs» les plus motivés et ayant un grand nombre d'articles variés à proposer, Télérama et le Mucem mettent à disposition des espaces dédiés. Réservation obligatoire sur marseille-troc@telerama.fr

Les Etats Généreux de la culture s’écrivent avec vous : le thème du dernier débat s’écrira donc au fil des discussions, des échanges, des frictions et des propositions qui auront émergé au cours des deux rencontres précédentes. Venez partagez vos remarques, vos idées, vos envies. Nous comptons sur vous !

Où il sera question de la « diversité » : des publics bien sûr, mais aussi des œuvres, des univers esthétiques, des « éco-systèmes » humains dans les milieux culturels.

Certaines pratiques, certains lieux, certains champs d’expression artistique s’apparentent encore trop à des citadelles imprenables. Comment en percer les murs épais ? Comment (ré)apprendre à « accueillir l’autre », de l’autre côté de la rue comme de la frontière ? Nous attendons vos contributions !

Autour des transformations considérables induites par le numérique : peut-on dire qu’Internet est d’ores et déjà devenu le « tiers-lieu » de la culture, sa « troisième scène », en ce sens qu’elle vient s’ajouter à la sphère familiale et à la sphère sociale du quotidien (l’école, le bureau, etc.) ?

Comment s’assurer que ce « tiers-lieu » infiniment complexe ne « tue » pas les champs culturels qui l’ont précédé (films, disques, TV, etc.) ? Venez partager vos idées !

L’offensive russe en Syrie vient s'ajouter à une guerre qui broie le pays depuis bientôt cinq ans.

Comment cette situation est-elle vécue par la population ? Reporter à France 24, Ksenia Bolchakova s’est rendue dans les villes acquises au régime de Bachar Al-Assad, là où le soutien à la dictature semble sans faille…

De la maltraitance familiale à la maltraitance du personnel médical en passant par le jugement que subissent leurs enfants, ce film s’intéresse à la condition des mères célibataires en Tunisie.

Fayrouz est enseignante à l'école primaire dans un douar lointain, au sein des montagnes du nord marocain.

À travers ce personnage riche d'émotions et de vécu, ce film questionne le système éducatif au Maroc, et l'art comme instrument puissant de critique de la société.

Plus de trente ans après les faits, retour sur le massacre de Sabra et Chatila.

Les exécutants sont toujours en fuite parce que la justice n'a pas pris en considération les déclarations des témoins oculaires… La caméra de Baheyyah Al Nammour mène l’enquête.

19h Conférence par Naïma Yahi (spécialiste de l’histoire culturelle), rythmée de moments musicaux par Kalliroi Raouzeou (pianiste et chanteuse)

Restauration Mezzé

Ecrivains, peintres, cinéastes, et chercheurs ont observé les cafés en Méditerranée et au-delà, comme des lieux d’une sociabilité moderne, transcendant les normes sociales et morales en vigueur à la fin du XIXe siècle ; permettant à la parole de circuler et aux artistes de s’exprimer dans les moments d’animation de la vie nocturne.

Suivi de

20h30 Fado Rebetiko project

Par Kalliroi Raouzeou

Accompagnée de : Jean-Marc Gibert (bouzouki), Jérémie Schacre (guitare manouche), Nicolas Koedinger (contrebasse)

La chanteuse et pianiste grecque Kalliroi Raouzeou se réapproprie le répertoire d’artistes femmes autrefois passées sur la scène des cafés chantants, de Smyrne à Lisbonne : entre rebétiko et fado, un hommage à celles qui ont transgressé les interdits pour affirmer leur présence dans ces lieux initialement fréquentés uniquement par des hommes.

Le café est-il une drogue ? Pourquoi est-il si difficile de s’en passer ? Peut-on parler de dépendance ?

Directrice de recherche à l’Inserm, Astrid Nehlig travaille depuis plus de 30 ans sur les effets du café sur la santé. Elle répond à toutes ces questions qui, comme la caféine, nous empêchent de dormir.

Suivi d’une lecture de textes de Balzac sur l’addiction par Pascal Rénéric (comédienne)