Mucem, J4 Au Mucem, J4— Forum
[AFLAM] Raya et Sakina

[AFLAM] Raya et Sakina

Spectacles/événements

Avec Negma Ibrahim, Zouzou Hamdy El Hakim, Farid Shawki

 

C’est l’histoire, basée sur un fait divers qui défraya dans les années 1920 la chronique, de Raya et Sakina. Ces deux sœurs arrivent à Alexandrie avec leurs maris. Elles ouvrent des maisons closes. Puis elles enlèvent des femmes à qui elles dérobent bijoux et argent avant de les tuer. Elles font en moins de deux ans dix-sept victimes...

 


 

Scénario : Naguib Mahfouz

Interprètes : Negma Ibrahim, Zouzou Hamdy El-Hakim, Farid Shawki, Anwar Wagdi, Chukry Sarhan, Samira Ahmed, Berlanty Abdel Hamid

Production : Ramsès Naguib  Pierre Zarpanely  Les Films du Croissant

Contact : Régent Films

Année de réalisation  : 
1953
Artiste(s) et collaborateur(s)  : 
Salah Abou Seif
Tarifs
Type de public Tout Public
Durée 1h37
[AFLAM] Le citoyen Masri

[AFLAM] Le citoyen Masri

Spectacles/événements

Avec Ezzat El Alayli, Omar Sharif, Safeya El Emari

 

L’action se situe en 1973. Les terres expropriées en 1952 étant rendues aux gros propriétaires terriens, les paysans sont refoulés de terres qu’ils ont longtemps exploitées. Abdel Maogoud, un pauvre paysan, passe un accord avec le maire pour conserver ses trois feddans : son fils Masri remplace à l’armée celui du maire... Mais Masri meurt sur le champ de bataille.

 


 

Scénario : Mohsen Zayed, d'après le roman de Youssef El Kaied, l-Harb fi barr Misr/Masri, l’homme du Delta, 1978)

Image : Tarek al Telmissany

Montage : Rahma Montasser

Interprètes : Ezzat Al Alayli, Omar Sharif, Safeya El Emari, Abdallah Mahmoud, Hassan Hosni, Inaam Salousa

Production : El Alamia pour la Télévision et le Cinéma (Hussein Kalla)

Année de réalisation  : 
1991
Artiste(s) et collaborateur(s)  : 
Un film de Salah Abou Seif
Tarifs
Type de public Tout Public
Durée 1h50
[AFLAM] Ton Jour viendra

[AFLAM] Ton Jour viendra

Spectacles/événements

n&b, fiction

Avec Faten Hamama, Wedad Hamdi, Mahmoud El Meligui

 

Une orpheline confiée à sa tante est mariée avec le fils de cette dernière. Mais elle devient la maîtresse d’un des amis du mari. Les amants décident de se débarrasser de celui-ci... Cette intrigue de Thérèse Raquin (Zola), le film de Salah Abou Seif y est fidèle mais il transpose les personnages et l’action dans un quartier et un bain maure populaires.

Année de réalisation  : 
1951
Artiste(s) et collaborateur(s)  : 
Réalisateur Salah Abou Seif
Tarifs
Type de public Tout Public
Durée 1h50
[AFLAM] La musique, vecteur d'engagement politique

[AFLAM] La musique, vecteur d'engagement politique

Rencontre

Rencontres-débats/Conférences

Participants

Hind Meddeb, réalisatrice (Tunisia Clash)

DJ Djel, Dj, turntablist & beatmaker, fondateur de la Fonky Family, du label « Don’t Sleep » et du collectif « Don’t Sleep Dee Jayz ».

Justin de Gonzague, documentariste

Simon Dubois, doctorant (Iremam, Aix-Marseille Université)

 

 

Modérateur

Ferdinand Richard, directeur de l’A.M.I. (Aide aux musiques innovatrices)

 

 

En parcourant les films de cette édition, la place prédominante de la musique dans le travail des réalisateurs est apparue avec évidence. Qu’il s’agisse de films documentaires ou de fictions, le thème de la musique permet d’aborder le mouvement de protestation à travers les figures de chanteurs rock ou rap (Leyla Bouzid, A Peine j’ouvre les yeux ; Hind Medded, Tunisia Clash ; Jawad Rhalib, Insoumise). 

 

Tandis qu’une exploration des multiples traditions musicales arabes et juives de la région permet de rendre visible l’interdépendance complexe des identités (Jumana Manna, A Magical substance flows into me). 

 

Réalisateurs et artistes sont invités pour en parler.

Tarifs
Type de public Tout Public
[AFLAM] Faire ressentir l’inimaginable, exprimer l’indicible : cinéma et résilience

[AFLAM] Faire ressentir l’inimaginable, exprimer l’indicible : cinéma et résilience

Rencontre

Rencontres-débats/Conférences

Participants

Roland Gori, psychanalyste et écrivain ; Monika Borgmann, réalisatrice ; Avo Kaprealian, réalisateur ; Sélim Mourad, réalisateur

 

 

Modératrice

Reem Mansour, médecin généraliste, praticien hospitalier à l’UCSA des Baumettes et au centre de rétention de Marseille, présidente du centre de soins Osiris

 

 

Les situations traumatisantes et les figures de résilience sont des thèmes fréquents dans les films. De même « rejouer » un événement a une longue histoire, en particulier dans le cinéma documentaire, comme moyen de reconstitution d’un passé et d’interrogation du présent en travaillant sur le traumatisme, la mémoire ou l’archive. Dès lors, le cinéma permet d’accompagner le processus de résilience et devient non seulement un acte d’accusation mais également une thérapie de la libération.

 

C’est notamment le cas du film Tadmor de Lokman Slim et Monika Borgmann qui présente les traitements inhumains subis dans la prison de Tadmor (Syrie) par des ex-détenus jouant leur propre rôle à l’intérieur d’une mise en scène presque théâtrale. Comment filmer l’infilmable ?

Avo Kaprealian quant à lui, issu d’une famille arménienne qui porte en elle le poids du génocide, filme sa propre expérience d’emprisonnement dans l’appartement familial à Alep sous les bombes, dans Houses without Doors.

 

Dans un tout autre registre, et sur un ton plus léger, avec son film This Little Father Obsession, Sélim Mourad utilise la caméra pour parler de son homosexualité avec ses parents et s’affirmer face à une société traditionnelle arabe.

 

Le cinéma, comme moyen d’énoncer ce que les mots ne peuvent décrire.

 

Tarifs
Type de public Tout Public
[AFLAM] Le film documentaire et l’enquête : Dialogue entre cinéastes et chercheurs en sciences sociales

[AFLAM] Le film documentaire et l’enquête : Dialogue entre cinéastes et chercheurs en sciences sociales

Rencontre

Rencontres-débats/Conférences

Participants

Sabrina Mervin, anthropologue, cinéaste, qui dirige actuellement le « Centre Jacques Berque », Institut français de recherche à Rabat (Maroc)

Maher Abi Samra, Mahmood Soliman et Karim Sayad, réalisateurs

 

Modérateur

Boris Petric, anthropologue, cinéaste.

Il dirige actuellement le Centre Norbert Elias (EHESS-Marseille) dans lequel il vient de créer la Fabrique des écritures innovantes en sciences sociales

 

 

L’enquête occupe une place déterminante aussi bien dans la fabrication d’un film documentaire que d’un livre. Cinéastes et chercheurs participants discuteront des différentes étapes de l’enquête et de l’écriture d’un film. Partant de l’enquête, l’écriture s’élabore lentement ; elle n’est pas seulement la phase initiale de la fabrication d’un film. Elle se développe en plusieurs étapes (repérage, tournage et montage) qui permettent la construction progressive d’une écriture finale. Le tournage n’est pas davantage la restitution d’une enquête réalisée au préalable, mais fait partie intégrante du processus. Le montage apparaît enfin comme un moment décisif où s’élabore la dernière phase de l’écriture d’un film documentaire. Une des questions majeures qui sera débattue concerne notamment les choix narratifs. Ces questions concernent aussi bien le documentariste que le chercheur en sciences sociales, impliqués l’un et l’autre dans des stratégies d’enquête pour proposer leur analyse de la vie sociale.

Tarifs
Type de public Tout Public
Une vitalité indomptable (sur la vibration des marges)

Une vitalité indomptable (sur la vibration des marges)

Rencontre

Rencontres-débats/Conférences

Un projet de Daniel Blanga-Gubbay - Aleppo pour le festival Parallèle - 7

 

Nous associons souvent la marge à une périphérie, un lieu dans lequel le mouvement central arriverait en retard et affaibli, comme transporté par les dernières ondes d’une pierre jetée dans l'eau. Et si, au contraire, plus que de vivre dans l'écho d'un choc central, les marges produisaient leur vibration autonome, leur propre puissance vitale ?

 

Dans la notion de marge, Pier Paolo Pasolini voyait à l’œuvre les forces dynamiques pouvant donner sens à l’expérience humaine ; une vitalité « barbare » qui se dresse face à une normalisation capitaliste et, encore aujourd'hui, à la domestication des instincts. Un mouvement indomptable qui échappe au dessin central et nous arrive sans se contenir.

De Pasolini jusqu’à l’émergence de nouvelles danses urbaines via Internet, cette journée organisée avec le festival Parallèle ouvre, à travers différents formats, une question sur la marge. Avec artistes de la programmation et la théoricienne Irit Rogoff, projection vidéo et performance, un moment pour interroger cette vibration et questionner comment garder sa puissance vivante.

 

+ Périphérie & Périphériques-vidéo conférence d'Ana Pi en direct du Brésil

 

Rencontre pensée et animée par Daniel Blanga-Gubbay en dialogue avec Lou Colombani.

Une co-réalisation Mucem - Festival Parallèle, en complicité avec Dansem dans la continuité de la rencontre « Déplacement » (cycle Objets Déplacés, 27 novembre 2015).  

 

Aleppo est un centre de recherches basé à Bruxelles, engagé dans un programme de réflexions sur « performance et philosophie politique ».

 

aleppo.eu

komm-n-act.com

dansem.org

Tarifs
Type de public Tout Public
L'archive, entre brèche et saisie

L'archive, entre brèche et saisie

Cycle Construire Détruire Reconstruire

Rencontres-débats/Conférences

Cette table ronde-rencontre questionne les usages de l’archive dans les arts : quelles sont les perspectives offertes par ce « matériau » pour les artistes ? En quoi la création artistique permet-elle une relecture et une perception nouvelle de l’archive ?

Il s’agit de traiter des usages de l’archive, de s’interroger sur leur emploi, leur modalité, leur force de décentrement, et tout aussi bien, en retour, de voir en quoi la pratique artistique permet une lecture et une perception autre. Donc de tisser des fils et dessiner les mouvements dialectiques que peut générer ce «matériau». L’un des axes de cette rencontre sera de réfléchir à ce que l’archive a de performatif dans la création.


Avec Philippe Artières (Historien et directeur de recherche au CNRS), Isabelle Barbéris (Maître de conférences en arts vivants – Université Sorbonne Paris Cités et chercheur au CNRS) et Roberto Fratini (dramaturge de la compagnie Elèctrica produccions). Modération par Nicolas Féodoroff (critique d’art et de cinéma, enseignant, programmateur au FID).
 
 
 

Petite restauration sur place


La vidéo de la rencontre :

Tarifs
Café chantant, un lieu de modernité (fin XIXe - début du XXe siècle)

Café chantant, un lieu de modernité (fin XIXe - début du XXe siècle)

Rencontre

Rencontres-débats/Conférences

19h Conférence par Naïma Yahi (spécialiste de l’histoire culturelle), rythmée de moments musicaux par Kalliroi Raouzeou (pianiste et chanteuse)

 

Restauration Mezzé

 

Ecrivains, peintres, cinéastes, et chercheurs ont observé les cafés en Méditerranée et au-delà, comme des lieux d’une sociabilité moderne, transcendant les normes sociales et morales en vigueur à la fin du XIXe siècle ; permettant à la parole de circuler et aux artistes de s’exprimer dans les moments d’animation de la vie nocturne.

 

 


 

 

Suivi de

 

20h30 Fado Rebetiko project

Par Kalliroi Raouzeou

Accompagnée de : Jean-Marc Gibert (bouzouki), Jérémie Schacre (guitare manouche), Nicolas Koedinger (contrebasse)

 

La chanteuse et pianiste grecque Kalliroi Raouzeou se réapproprie le répertoire d’artistes femmes autrefois passées sur la scène des cafés chantants, de Smyrne à Lisbonne : entre rebétiko et fado, un hommage à celles qui ont transgressé les interdits pour affirmer leur présence dans ces lieux initialement fréquentés uniquement par des hommes.

 

Tarifs
Type de public Tout Public
Le Café des minots

Le Café des minots

By Mo Moon Family

Spectacles/événements

A l’occasion de l’ouverture de l’exposition Café in *, rendez-vous au Café des minots ! Un espace gourmand, convivial, culturel et ludique réservé exclusivement aux enfants. Les minots vivent l’expérience d’une première sortie au café (sans les adultes) et découvrent l’ambiance, les rituels, la carte et les personnages emblématiques du café : le Garçon et la Maîtresse des lieux !

 

Au Café des minots tout se passe comme dans un vrai café : Le Garçon accueille et installe les enfants, leur présente la carte des cocktails et prend la commande ; la Maîtresse des lieux prépare et sert les boissons. Pendant ce temps, le Garçon révèle des histoires, contes, anecdotes sur le café ; on déguste, on joue, on chante, on lit les « news du café », on rigole grâce à des jeux sensoriels, jeux de mots, on peut même laisser un mot ou un souvenir pour les autres clients ou le personnel. Enfin, avant de partir on règle l’addition en grains de café. 

 

HORAIRES D’OUVERTURE

Du 21 au 24 octobre 2016

De 11h00 à 14h00 en continu (dernière entrée à 14h00).

De 15h00 à 16h00 le café des minots vous propose un spectacle de marionnettes.

Réouverture du café pour une séance à 16h00.

De 17h00 à 18h00 le café des minots vous propose un spectacle de marionnettes.

 

Le 26 octobre 2016

De 11h00 à 14h00 en continu (dernière entrée à 14h00)

Réouverture du café à 17h00 pour l’inauguration du festival En Ribambelle ! (dégustation gratuite).

 

Du 27 octobre au 2 novembre 2016

De 11h00 à 17h00 en continu (dernière entrée à 17h00).

 


 

Enfants de 4 à 12 ans

 

*Grâce au mécénat de la Fondation Malongo, avec le soutien de TechnicoFlor

Tarifs
Renseignements / Réservation

Sans réservation. Achat des billets sur place le jour même.

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