Mucem, J4 Au Mucem, J4— Forum
[AFLAM] Le film documentaire et l’enquête : Dialogue entre cinéastes et chercheurs en sciences sociales

[AFLAM] Le film documentaire et l’enquête : Dialogue entre cinéastes et chercheurs en sciences sociales

Rencontre

Rencontres-débats/Conférences

Participants

Sabrina Mervin, anthropologue, cinéaste, qui dirige actuellement le « Centre Jacques Berque », Institut français de recherche à Rabat (Maroc)

Maher Abi Samra, Mahmood Soliman et Karim Sayad, réalisateurs

 

Modérateur

Boris Petric, anthropologue, cinéaste.

Il dirige actuellement le Centre Norbert Elias (EHESS-Marseille) dans lequel il vient de créer la Fabrique des écritures innovantes en sciences sociales

 

 

L’enquête occupe une place déterminante aussi bien dans la fabrication d’un film documentaire que d’un livre. Cinéastes et chercheurs participants discuteront des différentes étapes de l’enquête et de l’écriture d’un film. Partant de l’enquête, l’écriture s’élabore lentement ; elle n’est pas seulement la phase initiale de la fabrication d’un film. Elle se développe en plusieurs étapes (repérage, tournage et montage) qui permettent la construction progressive d’une écriture finale. Le tournage n’est pas davantage la restitution d’une enquête réalisée au préalable, mais fait partie intégrante du processus. Le montage apparaît enfin comme un moment décisif où s’élabore la dernière phase de l’écriture d’un film documentaire. Une des questions majeures qui sera débattue concerne notamment les choix narratifs. Ces questions concernent aussi bien le documentariste que le chercheur en sciences sociales, impliqués l’un et l’autre dans des stratégies d’enquête pour proposer leur analyse de la vie sociale.

Tarifs
Type de public Tout Public
Une vitalité indomptable (sur la vibration des marges)

Une vitalité indomptable (sur la vibration des marges)

Rencontre

Rencontres-débats/Conférences

Un projet de Daniel Blanga-Gubbay - Aleppo pour le festival Parallèle - 7

 

Nous associons souvent la marge à une périphérie, un lieu dans lequel le mouvement central arriverait en retard et affaibli, comme transporté par les dernières ondes d’une pierre jetée dans l'eau. Et si, au contraire, plus que de vivre dans l'écho d'un choc central, les marges produisaient leur vibration autonome, leur propre puissance vitale ?

 

Dans la notion de marge, Pier Paolo Pasolini voyait à l’œuvre les forces dynamiques pouvant donner sens à l’expérience humaine ; une vitalité « barbare » qui se dresse face à une normalisation capitaliste et, encore aujourd'hui, à la domestication des instincts. Un mouvement indomptable qui échappe au dessin central et nous arrive sans se contenir.

De Pasolini jusqu’à l’émergence de nouvelles danses urbaines via Internet, cette journée organisée avec le festival Parallèle ouvre, à travers différents formats, une question sur la marge. Avec artistes de la programmation et la théoricienne Irit Rogoff, projection vidéo et performance, un moment pour interroger cette vibration et questionner comment garder sa puissance vivante.

 

+ Périphérie & Périphériques-vidéo conférence d'Ana Pi en direct du Brésil

 

Rencontre pensée et animée par Daniel Blanga-Gubbay en dialogue avec Lou Colombani.

Une co-réalisation Mucem - Festival Parallèle, en complicité avec Dansem dans la continuité de la rencontre « Déplacement » (cycle Objets Déplacés, 27 novembre 2015).  

 

Aleppo est un centre de recherches basé à Bruxelles, engagé dans un programme de réflexions sur « performance et philosophie politique ».

 

aleppo.eu

komm-n-act.com

dansem.org

Tarifs
Type de public Tout Public
L'archive, entre brèche et saisie

L'archive, entre brèche et saisie

Cycle Construire Détruire Reconstruire

Rencontres-débats/Conférences

Cette table ronde-rencontre questionne les usages de l’archive dans les arts : quelles sont les perspectives offertes par ce « matériau » pour les artistes ? En quoi la création artistique permet-elle une relecture et une perception nouvelle de l’archive ?

Il s’agit de traiter des usages de l’archive, de s’interroger sur leur emploi, leur modalité, leur force de décentrement, et tout aussi bien, en retour, de voir en quoi la pratique artistique permet une lecture et une perception autre. Donc de tisser des fils et dessiner les mouvements dialectiques que peut générer ce «matériau». L’un des axes de cette rencontre sera de réfléchir à ce que l’archive a de performatif dans la création.


Avec Philippe Artières (Historien et directeur de recherche au CNRS), Isabelle Barbéris (Maître de conférences en arts vivants – Université Sorbonne Paris Cités et chercheur au CNRS) et Roberto Fratini (dramaturge de la compagnie Elèctrica produccions). Modération par Nicolas Féodoroff (critique d’art et de cinéma, enseignant, programmateur au FID).
 
 
 

Petite restauration sur place


La vidéo de la rencontre :

Tarifs
Café chantant, un lieu de modernité (fin XIXe - début du XXe siècle)

Café chantant, un lieu de modernité (fin XIXe - début du XXe siècle)

Rencontre

Rencontres-débats/Conférences

19h Conférence par Naïma Yahi (spécialiste de l’histoire culturelle), rythmée de moments musicaux par Kalliroi Raouzeou (pianiste et chanteuse)

 

Restauration Mezzé

 

Ecrivains, peintres, cinéastes, et chercheurs ont observé les cafés en Méditerranée et au-delà, comme des lieux d’une sociabilité moderne, transcendant les normes sociales et morales en vigueur à la fin du XIXe siècle ; permettant à la parole de circuler et aux artistes de s’exprimer dans les moments d’animation de la vie nocturne.

 

 


 

 

Suivi de

 

20h30 Fado Rebetiko project

Par Kalliroi Raouzeou

Accompagnée de : Jean-Marc Gibert (bouzouki), Jérémie Schacre (guitare manouche), Nicolas Koedinger (contrebasse)

 

La chanteuse et pianiste grecque Kalliroi Raouzeou se réapproprie le répertoire d’artistes femmes autrefois passées sur la scène des cafés chantants, de Smyrne à Lisbonne : entre rebétiko et fado, un hommage à celles qui ont transgressé les interdits pour affirmer leur présence dans ces lieux initialement fréquentés uniquement par des hommes.

 

Tarifs
Type de public Tout Public
Le Café des minots

Le Café des minots

By Mo Moon Family

Spectacles/événements

A l’occasion de l’ouverture de l’exposition Café in *, rendez-vous au Café des minots ! Un espace gourmand, convivial, culturel et ludique réservé exclusivement aux enfants. Les minots vivent l’expérience d’une première sortie au café (sans les adultes) et découvrent l’ambiance, les rituels, la carte et les personnages emblématiques du café : le Garçon et la Maîtresse des lieux !

 

Au Café des minots tout se passe comme dans un vrai café : Le Garçon accueille et installe les enfants, leur présente la carte des cocktails et prend la commande ; la Maîtresse des lieux prépare et sert les boissons. Pendant ce temps, le Garçon révèle des histoires, contes, anecdotes sur le café ; on déguste, on joue, on chante, on lit les « news du café », on rigole grâce à des jeux sensoriels, jeux de mots, on peut même laisser un mot ou un souvenir pour les autres clients ou le personnel. Enfin, avant de partir on règle l’addition en grains de café. 

 

HORAIRES D’OUVERTURE

Du 21 au 24 octobre 2016

De 11h00 à 14h00 en continu (dernière entrée à 14h00).

De 15h00 à 16h00 le café des minots vous propose un spectacle de marionnettes.

Réouverture du café pour une séance à 16h00.

De 17h00 à 18h00 le café des minots vous propose un spectacle de marionnettes.

 

Le 26 octobre 2016

De 11h00 à 14h00 en continu (dernière entrée à 14h00)

Réouverture du café à 17h00 pour l’inauguration du festival En Ribambelle ! (dégustation gratuite).

 

Du 27 octobre au 2 novembre 2016

De 11h00 à 17h00 en continu (dernière entrée à 17h00).

 


 

Enfants de 4 à 12 ans

 

*Grâce au mécénat de la Fondation Malongo, avec le soutien de TechnicoFlor

Tarifs
Renseignements / Réservation

Sans réservation. Achat des billets sur place le jour même.

[Mucem] La leçon du Montreur

[Mucem] La leçon du Montreur

Festival En Ribambelle

Spectacles/événements

Compagnie Le Montreur

Jeu et manipulation : Louis-Do Bazin

Idées de mise en scène : Serge Boulier

 

Pour le spectacle inaugural du festival En Ribambelle !, le Mucem, la Criée et le théâtre Massalia proposent une leçon magistrale de manipulation de marionnettes, conduite par le Montreur.

 

C’est la rentrée des classes : les élèves s’installent et se voient chacun remettre une besace contenant le « matériel pédagogique », qui n’est autre qu’une marionnette à gaine prête à l’emploi. Attention, il s’agit d’un cour à l’ancienne : le maître montre le geste juste et les élèves reproduisent, créant ainsi d’amusantes chorégraphies collectives.

 

Après quelques exercices d’échauffement et de dextérité, ils découvrent les subtilités de l’entrechat à doigts et tout un bestiaire manuel, pour savoir comment donner vie à un petit bout de chiffon ! La marionnette apprend à dire « oui » et « non » avec la tête ; à exprimer la colère, la joie ou la tristesse ; à marcher, courir et même voler. Mais le temps passe vite… C’est déjà l’heure du spectacle de fin d’année ! Tous les petits apprentis y participent avec leurs marionnettes, pour clore en beauté cette leçon pleine d’humour et de poésie. 

 

Tout public à partir de 5 ans

Tarifs
Type de public Jeune public
Durée 45 min.
Ô de mer

Ô de mer

Cie L’arc électrique

Spectacles/événements

Cie L’arc électrique

Collaboratrices artistiques : Clémence Larsimon et Camille Trophème

Metteuse en scène, texte et jeu : Charlotte Gosselin

Construction décor : Maïté Martin

Construction marionnette : Charlotte Gosselin et Maïté Martin

Création musicale : Camille Tropheme

Création Lumière : Hélène Aubineau

 

Quatre histoires de marionnettes nous racontent la mer. Quatre aventures qui se déroulent en quatre endroits du monde. Sur, sous et au bord de la mer… Une envolée poétique de sons et d’images pour flotter ensemble au fil de l’eau !

 

Spectacle de marionnettes à partir de 5 ans

Création 2016. Spectacle soutenu par le conseil régional du Centre-Val de Loire, la ville de Tours, le villa de Joué-Lès-Tours, le conseil départemental du val de Loire.

Tarifs
Type de public Jeune public
Durée 60 min.
Critical Connection

Critical Connection

Performance

Spectacles/événements

Recomposer les images et les sons de Marseille

 

ARTISTES ET COLLABORATEURS

De Elio Martusciello

Production : Mucem

Coproduction : Grim – GMEM

 

En résidence à Marseille, le musicien italien Elio Martusciello a trouvé, en l’archipel du Frioul, un territoire propice à l’inspiration et à la création. Son installation Critical Connection prend ainsi la forme d’une « île multimédia » où sont réunies les images et les sons collectés par l’artiste à travers la cité phocéenne.

Le public est invité à entrer dans cette installation immersive pour tenter de reconstituer les fragments (sonores et vidéo) de Marseille.

 

Le 27 août 2016 à 15h, Elio Martusciello propose une performance multimédia durant laquelle ses propres créations musicales entrent en résonnance avec les sons et les visions produites par la ville et l’archipel du Frioul.

 

Né en 1959 à Naples (Italie), Elio Martusciello est compositeur de musique expérimentale et électroacoustique. Il intervient aussi dans le champ des arts visuels.

Musicien autodidacte, il enseigne la musique électronique au conservatoire San Pietro a Majella de Naples.

Ses œuvres ont obtenu de nombreux prix, notamment lors des Grands Prix Internationaux de musique électroacoustique (Bourges).

 


 

INTERVIEW D'ELIO MARTUSCIELLO

 

Quels sont les lieux qui vous ont inspiré lors de votre résidence à Marseille ?

Je suis resté 6 jours dans la superbe ville de Marseille. J’ai effectué la majeure partie de mes enregistrements audio et vidéo dans le centre-ville (Vieux-Port, Canebière, Mucem, Belsunce, Notre-Dame-de-la-Garde, rue de Rome, Prado, Périer…). Mais le lieu qui m’a le plus inspiré, c’est l’île du Frioul : sa roche blanche, la mer bleue, le cri des gabians, le phare, la rumeur légère du vent, et la sensation générale de paix qui en émane.

 

Ce n’était pas votre première visite à Marseille…

En effet, je suis déjà venu plusieurs fois. La première, c’était en 1993 : l’Olympique de Marseille venait de battre le Milan AC en finale de la Ligue des champions : ce fut une grande fête dans toute la ville ! Le hasard a voulu que cette année, je vienne à Marseille alors que la ville accueille l’Euro de foot…  Et j’ai cette fois assisté aux violences entre hooligans russes et anglais ; un événement auquel je n’ai pu rester indifférent, et que l’on retrouvera aussi dans mes enregistrements.

 

Vous avez noué un lien particulier avec deux structures marseillaises dédiées à la création musicale : le Grim (Groupe de Recherche et d’improvisation musicale) et le GMEM (Groupe de musique expérimentale de Marseille - Centre national de création musicale)…

En effet. Durant ces 23 dernières années, je me suis partagé, lors de mes voyages à Marseille, entre le GMEM et le Grim. Parce que toute mon activité artistique se partage entre composition et improvisation. C’est d’ailleurs à l’occasion de mes résidences au GMEM que j’ai pris l’habitude de me retirer au Frioul, pour aller y chercher idées et inspiration, avant d’entrer en studio. Voilà pourquoi cette île m’est si chère.

 

Vous vivez à Naples : une ville en résonnance avec Marseille ?

Ces deux villes se ressemblent en de nombreux points : le golfe, les massifs qui entourent la ville, les plages, les îles, une population colorée, joyeuse et bruyante... Aussi, depuis quelques années, Naples connaît une certaine effervescence, y compris sur le plan artistique : les espaces culturels se sont multipliés, proposant des initiatives stimulantes. Bien sûr, il manque encore des institutions solides comme le Grim ou le GMEM peuvent l’être à Marseille, mais ces innombrables petits espaces culturels irriguent désormais l’ensemble du tissu urbain napolitain.  

 

Votre création pour Marseille Résonance se compose d’une installation multimédia et d’une performance. Pouvez-vous nous décrire votre proposition ?

L’idée, c’est de relier différents contextes de la ville de Marseille d’une manière compositionnelle, de façon à permettre à l’auditeur/spectateur de produire une synthèse résonnante de la cité. En premier lieu, il s’agit de créer une sorte de « petite île multimédia » dans laquelle plusieurs écrans et haut-parleurs reproduisent différents moments et lieux de la ville : un espace où les fragments de Marseille viennent se réunir, mais interprétés selon des trajectoires et des configurations toujours différentes. Evidemment, les méthodes de composition que j’utiliserai pour l’installation ne seront pas sans lien avec la relation que j’ai pu nouer avec cette ville au fil des années. Il ne s’agit pas pour moi de proposer un regard objectif, comme une forme de travail statistique, mais au contraire, de développer un regard très personnel sur cette ville.

 

Ce qui sera encore plus évident lors de votre performance…

Tout à fait : ce sera le moment de ma confrontation personnelle avec le visage de Marseille. Si pour l’installation, l’ensemble de la matière utilisée aura été recueillie dans la ville, durant la performance, cette même matière sera mise en dialogue avec ma propre pratique performative. Il y aura enfin un concert audiovisuel dans lequel seront montrées toutes les vidéos utilisées dans l’installation, et où la matière sonore sera produite par mes propres instruments digitaux ainsi que par les musiciens marseillais que j’ai pu rencontrer durant ma résidence.

En résumé, la performance privilégiera une approche « musicale », tandis que l’installation sera plutôt du type « paysage sonore ». Celle-ci invitera le public à être immergé dans les sons de la ville : il sera littéralement à l’intérieur du système de diffusion audio, et en même temps, pourra se déplacer librement autour du parallélépipède d’écrans (« l’île ») qui diffusera en continu les différentes visions fragmentées de la ville.

 

Année de réalisation  : 
Création 2016
Tarifs
Type de public Tout Public
Nothing To Declare

Nothing To Declare

Dictaphone Group

Spectacles/événements

Performance en arabe surtitré en français

La performance du 4 juin est suivie d’une discussion avec Pierre Sauvageot, directeur de Lieux Publics (centre national de création)

 

Production: AFAC

Recherches, écriture et interprétation : Tania El Khoury, Petra Serhal, Abir Saksouk

Vidéo : Ali Beidoun

Caméra : Karam Ghoussein, Dahna Abou Rahme

Composition musicale : Ahmad Khouja, Khairy Eibesh

Développé au Watermill Center et en collaboration avec l’ArtEast, New York.

 

Tout a commencé avec une vieille carte ferroviaire d’un monde arabe sans frontières : reliant Damas à Médine, la ligne du Hedjaz traversait ce qui est aujourd’hui la Syrie, la Jordanie et l’Arabie Saoudite pour transporter les pèlerins qui, en ce temps là, n’avaient pas besoin de visa.

 

Le Dictaphone Group a entrepris un voyage à travers la portion libanaise de cette ligne oubliée. Leur point de départ fut une gare désaffectée de Beyrouth. D’ici, chacun des trois membres du collectif a poursuivi son voyage vers une direction différente. Leur périple a révélé les usages passés et présents de ces voies et de leurs gares. Certaines étaient abandonnées, d’autres devenues maisons de fortune. D’autres, encore, converties en bases militaires et salles de torture…

 


 

Le Dictatophe Group est un collectif de performance et de recherche dont les créations sont basées sur un travail multidisciplinaire autour de l’espace. Ce projet collaboratif a été initié par l’artiste Tania El Khoury et l’architecte et urbaniste Abir Saksouk. Ensemble, ou avec l’aide de différentes personnalités comme la performeuse et productrice Petra Sahal, ils ont créé plusieurs performances résultant de travaux de recherches dans des sites aussi variés qu’un téléphérique, un bateau de pêcheur ou un bus abandonné. L’objectif de ces projets est de questionner notre rapport à la ville et amorcer une réflexion sur la redéfinition de l’espace public.

Tarifs
Durée 50 min
Boite à mémoire : paroles de chibanis

Boite à mémoire : paroles de chibanis

Installation

Spectacles/événements

Restitution sonore du projet « Mémoires partagés » lié à l’exposition Made in Algeria, généalogie d’un territoire

 

Installée dans le forum, la boite à mémoire diffuse les échanges enregistrés par Radio Grenouille à l’occasion du projet Mémoires partagées. Un petit groupe de collégiens marseillais du Collège Edgar Quinet a rencontré en janvier 2016 une dizaine de chibanis et de chibania (travailleurs immigrés algériens maintenant à la retraite) du quartier de Belsunce à Marseille.

 

A partir d’une sélection de cartes et d’œuvres présentées dans l’exposition Made in Algeria, se noue un dialogue croisé autour des questions de migration, d’exil et de déracinement.

 


 

Projet mené en partenariat avec l’AMPIL (Action Méditerranéenne pour l'insertion sociale par le logement) et avec les petits frères des Pauvres.

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Type de public Tout Public
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