Avec Sérgio Bacalhau (percussionniste, chanteur-compositeur)

Initiez-vous aux rythmes sacrés du Nordeste brésilien, et découvrez le côco, cet art populaire de la pulsation qui mêle la parole à la danse, le chant au discours, et la magie à toutes les phases de l’apprentissage.

Le Nordeste brésilien – et particulièrement le Pernambuco – est une région où se mêlent les traditions spirituelles de l’Afrique de l’Ouest et les rites sacrés des communautés autochtones. Tous les styles musicaux sont fortement imprégnés de ces deux mystiques qui déterminent l’usage des percussions, la connaissance des danses et celle d’une poésie du quotidien qui mêle la parole des hommes au chant des esprits. 

Cette journée de découverte et d’exploration de l’univers du côco nécessite un matériel rudimentaire : vos pieds, vos mains et votre voix, pour arpenter ces chemins, et vous laisser entraîner vers une approche sensible de ce continent de ferveur qu’est le Brésil.

Programme de la matinée : un atelier autour de la méthode d’apprentissage des percussions : un langage des signes par les mains qui permet l’approche immédiate des rythmes, des vibrations, de la pulsation, du tempo et du groove. L’atelier est fait de jeux percussifs qui vous amènent non seulement à mémoriser une gestuelle et des sons, mais aussi à diriger un ensemble de percussions.
En complément de leur initiation, les participants au stage du matin sont invités à poursuivre la pratique lors des ateliers gratuits de l’après-midi.

Un atelier proposé par la Cité de la Musique

Sérgio Bacalhau

Sérgio Bacalhau, percussionniste et chanteur-compositeur, exerce avec passion son art en Europe en tissant des liens entre les rythmes traditionnels brésiliens et des styles musicaux variés et contemporains.
Originaire d’Olinda dans le nord-est du Brésil, il a été découvert et formé par Naná Vasconcelos et n’a depuis cessé de s’enrichir en jouant aux côtés d’artistes tels que Mestre Salustiano, Cila et Selma do Coco, Erasto Vasconcelos, Mestre Ferrugem.
Spécialiste du pandeiro, ce tambourin spécifique du nordeste brésilen, il diffuse le rythme envoûtant de son instrument de prédilection par ses concerts, ses ateliers et ses productions musicales en parcourant les univers de la samba, de la bossa nova, du maracatu, du côco, du choro, du frevo et du forró.

Avec Mehdi Chaib (percussions) & Jaouad El Garouge (chant, guembri)

Entrez dans la transe ! Dans cet atelier, explorez et pratiquez les dimensions rythmiques, mélodiques, festives et spirituelles de la tradition gnawa.

Cette confrérie originaire d’Afrique du Nord pratique un rituel mystique et thérapeutique dans lequel la musique et la danse occupent une place centrale. 

À la voix, et en vous accompagnant au guembri et au karkabous, explorez cette musique pleine d’énergie ; et vibrez au son d’une tradition séculaire.

Programme : un peu de musique live, un peu de théorie, puis jeu de questions-réponses chantées ou initiation à des rythmes simples (frappes de main) afin d’expérimenter simplement la richesse des rythmes gnawas. 

Un atelier proposé par le festival Les Suds

Mehdi Chaib et Jaouad El Garouge

Saxophoniste et percussionniste de la fanfare Fanfaraï, Mehdi Chaib collabore avec de grands musiciens gnawas (Hamid El Kassri, Karim Ziad, Amazigh Kateb, Mehdi Nassouli...) et participe à de nombreux projets (Fanfaraï, Naïssam Jalal, Artéfact, Doudou N’Diaye Rose…). Nourrie d’ouverture, de partage et d'écoute, sa musique crée les conditions d’un langage commun qui ancre les traditions séculaires dans le présent. En 2009 il fonde Le trio Global Gnawa avec le guitariste Thierry Fournel et Jaouad El Garouge au chant lead et au guembri. Ce dernier collabore, entre autres, avec Nuru Kane, musicien sénégalais, avec lequel il réalise 3 albums et plusieurs tournées internationales (Sigil, Number One Bus, Exile), Acid Arab, Jil Gnawa, Reno Simo, Al Qasar et Salif Keita, avec lequel il enregistre 2 titres sur l’album Tale.

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Avec Mehdi Chaib (percussions) & Jaouad El Garouge (chant, guembri)

Entrez dans la transe ! Dans cet atelier, explorez et pratiquez les dimensions rythmiques, mélodiques, festives et spirituelles de la tradition gnawa.

Cette confrérie originaire d’Afrique du Nord pratique un rituel mystique et thérapeutique dans lequel la musique et la danse occupent une place centrale. 

À la voix, et en vous accompagnant au guembri et au karkabous, explorez cette musique pleine d’énergie ; et vibrez au son d’une tradition séculaire.

Programme de la matinée : tout en abordant les éléments clefs de la culture gnawa, les deux artistes vous transmettent deux chants basés sur une pratique vocale et rythmique mettant en jeux la voix et le corps. Tandis que Mehdi Chaib développe le rythme et guide le chœur, Jaouad El Garouge porte la voix lead et accompagne le chant au guembri.

En complément de leur initiation, les participants au stage du matin sont invités à poursuivre la pratique lors des ateliers gratuits de l’après-midi.

Un atelier proposé par le festival Les Suds

Mehdi Chaib et Jaouad El Garouge

Saxophoniste et percussionniste de la fanfare Fanfaraï, Mehdi Chaib collabore avec de grands musiciens gnawas (Hamid El Kassri, Karim Ziad, Amazigh Kateb, Mehdi Nassouli...) et participe à de nombreux projets (Fanfaraï, Naïssam Jalal, Artéfact, Doudou N’Diaye Rose…). Nourrie d’ouverture, de partage et d'écoute, sa musique crée les conditions d’un langage commun qui ancre les traditions séculaires dans le présent. En 2009 il fonde Le trio Global Gnawa avec le guitariste Thierry Fournel et Jaouad El Garouge au chant lead et au guembri. Ce dernier collabore, entre autres, avec Nuru Kane, musicien sénégalais, avec lequel il réalise 3 albums et plusieurs tournées internationales (Sigil, Number One Bus, Exile), Acid Arab, Jil Gnawa, Reno Simo, Al Qasar et Salif Keita, avec lequel il enregistre 2 titres sur l’album Tale.

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Avec Maria Robin (danseuse, musicienne) et Ilyas-Raphaël Khan (percussionniste)

Dans le nord de l’Inde, au Rajasthan, la danse et le rythme ont façonné la musique et les imaginaires, si bien qu’elles font partie de toutes les célébrations, cultuelles comme profanes, des plus sacrées aux plus satiriques. 
Les techniques et les langages qui en découlent sont à la portée de tous ; elles requièrent seulement cet élan et cette force intérieure qui aident chacun d’entre nous à se comprendre et à s’inclure dans un ordre cosmique. Le chant et la danse sont les rythmes qui nous aident à percevoir cet équilibre. 

Programme de l’après-midi : trois sessions de danses et de rythmes de 30 minutes pour s’immerger dans les balancements et les tournoiements de l’ivresse musicale des musiciens traditionnels du Rajasthan. Pour s’imprégner d’une autre écoute du rythme, d’une autre compréhension du temps.

Un atelier proposé par la Cité de la Musique

Maria Robin et Ilyas-Raphaël Khan 

Les parcours de Maria Robin et Ilyas-Raphaël Khan se sont croisés à plusieurs reprises et présentent des similitudes et des familiarités qui les ont amené naturellement à une pratique et un répertoire communs. 

Maria Robin est issue d’une famille de musiciens (elle est la fille du guitariste Titi Robin). Elle a grandi en s’imprégnant des danses du monde gitan et de l’Orient. Elle a été initiée au Rajasthan auprès de la danseuse Gulabi Sapera pendant plusieurs années, et danse depuis dans de nombreux pays. D’abord avec le groupe Dunya aux côtés de son père, ou aujourd’hui dans sa création Mon ivresse, elle livre au public une danse et un chant où la joie, le plaisir et la beauté du monde s’expriment sans retenue, dans une grande maîtrise technique.

Ilyas-Raphaël Khan, lui aussi enfant d’une famille de musiciens, est percussionniste. Il apprend les tablas dès l’âge trois ans. Formé aux rythmes traditionnels, il s’initie parallèlement au beat-box et aux rythmes des musiques populaires occidentales d’aujourd’hui. En duo avec sa sœur Parveen-Sabrina, il expérimente des nouvelles sonorités autour des musiques d’Inde du Nord.

Avec Maria Robin (danseuse, musicienne) et Ilyas-Raphaël Khan (percussionniste)

Dans le nord de l’Inde, au Rajasthan, la danse et le rythme ont façonné la musique et les imaginaires, si bien qu’elles font partie de toutes les célébrations, cultuelles comme profanes, des plus sacrées aux plus satiriques. 
Les techniques et les langages qui en découlent sont à la portée de tous ; elles requièrent seulement cet élan et cette force intérieure qui aident chacun d’entre nous à se comprendre et à s’inclure dans un ordre cosmique. Le chant et la danse sont les rythmes qui nous aident à percevoir cet équilibre. 

Programme du matin : un atelier rythmique et chorégraphique autour de la danse indienne kalbeliya. Grâce à une combinaison des rythmes traditionnels hindoustanis joués au tabla mais aussi à l’aide de la technique du beatbox, nous irons explorer les rythmes et les gestuelles traditionnels du Rajasthan. Une invitation à redécouvrir corps, espace et sons aux rythmes du désert rajasthani du Thar. Un atelier idéal pour les amateurs de percussions et de danse. 

Les participants seront invités, s’ils le désirent, à participer aux performances publiques de l’après-midi avec les artistes.

Un atelier proposé par la Cité de la Musique

Maria Robin et Ilyas-Raphaël Khan

Les parcours de Maria Robin et Ilyas-Raphaël Khan se sont croisés à plusieurs reprises et présentent des similitudes et des familiarités qui les ont amené naturellement à une pratique et un répertoire communs. 

Maria Robin est issue d’une famille de musiciens (elle est la fille du guitariste Titi Robin). Elle a grandi en s’imprégnant des danses du monde gitan et de l’Orient. Elle a été initiée au Rajasthan auprès de la danseuse Gulabi Sapera pendant plusieurs années, et danse depuis dans de nombreux pays. D’abord avec le groupe Dunya aux côtés de son père, ou aujourd’hui dans sa création Mon ivresse, elle livre au public une danse et un chant où la joie, le plaisir et la beauté du monde s’expriment sans retenue, dans une grande maîtrise technique.

Ilyas-Raphaël Khan, lui aussi enfant d’une famille de musiciens, est percussionniste. Il apprend les tablas dès l’âge trois ans. Formé aux rythmes traditionnels, il s’initie parallèlement au beat-box et aux rythmes des musiques populaires occidentales d’aujourd’hui. En duo avec sa sœur Parveen-Sabrina, il expérimente des nouvelles sonorités autour des musiques d’Inde du Nord.

Avec Xavier Rebut et Germana Mastropasqua (chanteurs, chercheurs et musiciens)

Voyagez au cœur de la culture orale italienne, ses sonorités, ses dialectes, ses voix et ses polyphonies.

En Italie, chaque région, pratiquement chaque village, a sa langue, ses rites et ses musiques. Le chant de tradition orale y est encore bien vivant et c'est cette richesse musicale faite de voix aux couleurs uniques et de polyphonies éclatantes que les deux chanteurs-chercheurs aux commandes de cet atelier vous invitent à découvrir. Des mélodies et des chants rituels qui racontent des paysages, des univers, des gens... tout un monde à portée de voix ! 

Programme : 

Trois moments de rencontre et à chaque session, l’apprentissage d’une mélodie différente sur laquelle vient se poser la polyphonie : en 30 minutes les voix prennent l'espace du musée et nous transportent en Italie !

Un atelier proposé par le festival Les Suds

Germana Mastropasqua et Xavier Rebut

La démarche musicale, de création et de recherche de Germana Mastropasqua et Xavier Rebut se base sur l’exploration de la voix et de la musique de tradition orale italienne. 
Dès 1994, ils prennent part aux recherches menées par Giovanna Marini à travers toute l’Italie, ainsi qu’à bon nombre de ses créations musicales. Parallèlement à leur parcours de solistes entre musique et théâtre, ils fondent le Quartetto Urbano, quatuor vocal dont Xavier Rebut est également directeur musical. En duo, ils créent les spectacles chantés D’Amants & D’Anarchistes, D’Amants & D’Émigrants, et le concert All’alba. En 2018 ils forment l’ensemble LA BUONASERA avec trois instrumentistes, et créent le concert Voix d’Italie qui revisite certaines des plus belles mélodies du sud de l'Italie ; suivi en 2022 de Piazza Aperta, développé autour de 10 compositions originales de Xavier Rebut. Avec ce même ensemble ils ont imaginé les projets Miezz’ô mare autour des musiques traditionnelles et savantes du royaume de Naples, ainsi que La Scarola et Je chante pour raconter, projets pédagogiques conçus avec le Conservatoire de Musique du Pays d’Arles et le Festival les Suds, à Arles. 

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Avec Xavier Rebut et Germana Mastropasqua (chanteurs, chercheurs et musiciens)

Voyagez au cœur de la culture orale italienne, ses sonorités, ses dialectes, ses voix et ses polyphonies.

En Italie, chaque région, pratiquement chaque village, a sa langue, ses rites et ses musiques. Le chant de tradition orale y est encore bien vivant et c'est cette richesse musicale faite de voix aux couleurs uniques et de polyphonies éclatantes que les deux chanteurs-chercheurs aux commandes de cet atelier vous invitent à découvrir. Des mélodies et des chants rituels qui racontent des paysages, des univers, des gens... tout un monde à portée de voix ! 

Programme de la matinée :  

À travers différents temps d’écoutes, d'apprentissage de deux ou trois chants à emporter avec soi, et d'initiation à la pratique de la polyphonie, cet atelier est une belle occasion de faire sonner vos voix ensemble.

En complément de leur initiation, les participants au stage du matin sont invités à poursuivre la pratique lors des ateliers gratuits de l’après-midi.

Un programme imaginé avec Les Suds à Arles et La Cité de la Musique.

Germana Mastropasqua et Xavier Rebut

La démarche musicale, de création et de recherche de Germana Mastropasqua et Xavier Rebut se base sur l’exploration de la voix et de la musique de tradition orale italienne. 
Dès 1994, ils prennent part aux recherches menées par Giovanna Marini à travers toute l’Italie, ainsi qu’à bon nombre de ses créations musicales. Parallèlement à leur parcours de solistes entre musique et théâtre, ils fondent le Quartetto Urbano, quatuor vocal dont Xavier Rebut est également directeur musical. En duo, ils créent les spectacles chantés D’Amants & D’Anarchistes, D’Amants & D’Émigrants, et le concert All’alba. En 2018 ils forment l’ensemble LA BUONASERA avec trois instrumentistes, et créent le concert Voix d’Italie qui revisite certaines des plus belles mélodies du sud de l'Italie ; suivi en 2022 de Piazza Aperta, développé autour de 10 compositions originales de Xavier Rebut. Avec ce même ensemble ils ont imaginé les projets Miezz’ô mare autour des musiques traditionnelles et savantes du royaume de Naples, ainsi que La Scarola et Je chante pour raconter, projets pédagogiques conçus avec le Conservatoire de Musique du Pays d’Arles et le Festival les Suds, à Arles. 

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Le cinéaste Alain Cavalier et le metteur en scène Mohamed El Khatib, se sont rencontrés à la faveur d’une caméra achetée par erreur. Pour le « spectacle » qu’ils ont décidé de monter ensemble, ils se livrent à l’auscultation méthodique de rêves qui les ont occupés et préoccupés.

Ce double portrait, de part et d’autre de la Méditerranée, n’aboutira ni à un film ni à une pièce de théâtre. Il livrera la micro-histoire de deux vies si différentes, mais étrangement croisées.

Installation sonore et vidéo de Françoise Sémiramoth, artiste plasticienne
Sound design : The One
Montage : Gilles Bensitri

Le Caravage créole est l’évolution de la collaboration artistique entre Maryse Condé et Françoise Sémiramoth. Alliant l’image et le son, la peintre interroge Maryse Condé sur sa façon de percevoir la couleur, les couleurs ; sensations retranscrites par la voix de l’auteure.

Compagnie Boukousou (Max Diakok)

Un concert qui renoue avec la tradition du Gwoka dans ses déclinaisons rurales et urbaines. La Compagnie Boukousou lui redonne sa dimension sacrée en valorisant l’authenticité des émotions dégagées par chaque rythme.

Style musical composé de chants, de rythmes et de danses, le Gwoka tire son origine de la période esclavagiste durant laquelle les tambours et la danse constituaient un exutoire contre l'oppression. Il a perduré au fil des siècles sous d'autres formes dans les milieux ruraux. Jusqu’à nos jours, le Gwoka est porteur de résistance face à l'injustice. Il a été inscrit le 26 novembre 2014 sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l'humanité de l'Unesco.

En partenariat avec le Festival Kadans Caraïbe.