Jeux d'archi © Photo La compagnie des rêves urbains

Jeux d'archi © Photo La compagnie des rêves urbains

Jeux d’archi

Avec la compagnie des rêves urbains

Dimanche, durant toute la journée, la place d’Armes accueille jeux de construction et tables de jeux de société pour les petits et les grands.

Tarifs
Type de public Tout Public
Horaires
Jeu de Piste © CCR

Jeu de Piste © CCR

Jeu de piste

À la recherche du patrimoine caché : découvre les lieux emblématiques, et parfois méconnus, du quartier de la Belle de Mai.

Pour cela, laisse-toi guider par les 13 énigmes qui, l’une après l’autre, t’amèneront dans les rues de la Belle de Mai, quartier marseillais typique et populaire, au riche passé. Les découvertes ne devraient pas manquer. Muni·e du plan qui accompagne les énigmes, le départ se fait en autonomie, à n’importe quel moment de la journée.

À la fin, en ramenant la liste des noms de lieux que tu auras traversés, nous t’offrirons une surprise si tu ne t’es pas trompé
En bonus, approfondis tes connaissances sur le patrimoine du quartier de la Belle de Mai, lieu par lieu.

Bonne balade !
 

Jeu de piste.pdf 

Tarifs
Type de public Tout Public
Horaires
mk Robinson © Andrea Macchia 9

mk Robinson © Andrea Macchia 9

Robinson

Spectacles/événements

Chorégraphie : Michele Di Stefano
Avec Philippe Barbut, Biagio Caravano, Marta Ciappina, Andrea Dionisi, Laura Scarpini, Saverio Francesco Cavaliere

Musique : Lorenzo Bianchi Hoesch
 
Dans ce spectacle davantage inspiré du Vendredi ou les limbes du Pacifique de Michel Tournier que du Robinson Crusoé de Daniel Defoe, le chorégraphe italien Michele Di Stefano s’empare de la figure de l’île pour expérimenter « de nouvelles possibilités pour la danse », en partant de la solitude d’un naufragé observant l’horizon…
 
Serait-il un touriste ou un réfugié ? Contrairement au héros de Defoe, ce Robinson-là se perd dans le paysage sans chercher à recréer la société occidentale : il entre dans un espace métamorphique jusqu’à ce que la rencontre avec l’Autre le conduise à une totale réinvention de lui-même.
 
De la même manière, la chorégraphie peut être considérée comme une façon d’appréhender le monde extérieur : c’est le langage de la rencontre avec l’autre, le lieu où les individualités s’unissent pour ne former qu’une seule danse. Ce que Robinson semble nous dire, c’est que l’altérité peut vraiment structurer un monde.

Scénographie et visuels Luca Trevisani
Lumières Roberto Cafaggini
Assistant à la mise en scène Davide Clementi
Management Carlotta Garlanda 
Diffusion Jean-François Mathieu
Production mk 2014, Teatro di Roma
En collaboration avec Comune di Montalto di Castro et ATCL
Avec le soutien de  MiBACT - Ministère des Biens et des Activités Culturelles et du Tourisme Italien
Tarifs 12€ / 9€
Type de public Tout Public
Horaires
© ADAGP, Paris, 2019 photo © Coll. Jonas/KHARBINE-TAPABOR

© ADAGP, Paris, 2019 photo © Coll. Jonas/KHARBINE-TAPABOR

Des robinsonnades aux nouveaux Robinsons

Rencontres-débats/Conférences

Avec Guillaume Pigeard de Gurbert (philosophe) et les commissaires de l’exposition « Le temps de l’île », Jean-Marc Besse (philosophe, directeur d’études à l’EHESS, directeur de recherches au CNRS), Guillaume Monsaingeon (professeur de philosophie).

Modération : Catherine Portevin (Philosophie Magazine)

Lecture : Philippe Car (comédien et metteur en scène, Agence des Voyages imaginaires)


Depuis sa parution en 1719, le Robinson Crusoé de Daniel Defoe n’a cessé d’inspirer de nouvelles variations sur le thème de l’île déserte et du naufragé appelées « robinsonnades ». Citons par exemple L’Île mystérieuse de Jules Verne (1874), Vendredi ou la vie sauvage de Michel Tournier (1971), ou encore, plus près de nous, L’Empreinte à Crusoé de Patrick Chamoiseau (2012). Par strates successives, cet ensemble de récits, d’histoires et d’imaginaires a participé à la constitution d’un véritable mythe universel moderne.
 
Lors de cette table ronde, le philosophe Guillaume Pigeard de Gurbert et les commissaires de l’exposition « Le temps de l’île », Guillaume Monsaingeon et Jean-Marc Besse, décryptent l’évolution du mythe de Robinson à travers le temps, avant de tenter de saisir, trois siècles après la publication du roman de Defoe, ce que Robinson peut encore nous dire de notre monde contemporain.
 
Table ronde accompagnée d’une lecture par Philippe Car (comédien) d’extraits issus de différentes « robinsonnades », notamment choisies parmi les livres présentés dans l’exposition « Le temps de l’île ».

Biographies des intervenants

Guillaume Pigeard de Gurbert est professeur de philosophie en khâgne. Il a récemment rédigé des articles sur Robinson Crusoé dans le Nouveau Magazine littéraire (mars 2019). Son essai Contre la philosophie (Actes Sud, 2010), qui mobilise la figure de Robinson pour redéfinir la philosophie, a été utilisé par Patrick Chamoiseau dans L’Empreinte à Crusoé, dont il a signé la préface dans l’édition de poche (Gallimard, Folio, 2013). Il a vécu en Martinique, dans l’archipel des Antilles. Son dernier livre, intitulé La Morale, est paru en septembre aux éditions Lambert-Lucas.
 
Guillaume Monsaingeon est chercheur et commissaire indépendant. Chercheur correspondant du centre Norbert Elias, il enseigne la philosophie en classes préparatoires à Marseille.
Ses travaux sur Vauban et les plans-reliefs (Les voyages de Vauban, la construction du territoire, 2007 ; Les plans en relief des places fortes du Roy, avec A. de Roux et N. Faucherre, 2007) l’ont conduit à organiser des expositions sur les pratiques artistiques cartographiques contemporaines : « Mappamundi » (Lisbonne 2011 ; Toulon 2013), « Alpha, beta, carta » (Rentilly 2014 ; Marseille 2015), « Villissima ! » (Toulon 2015), « Au milieu de nulle part » (Grenoble 2016), « Atlas des déplacements » (Grenoble 2018).
Auteur de nombreuses contributions sur la cartographie, il anime depuis 2013 l’Ouvroir de cartographie potentielle (Oucarpo). Membre du comité d’acquisition du FRAC Provence-Alpes-Côte d’Azur, il y prépare une exposition sur la marche pour janvier 2020.

Jean-Marc Besse est directeur de recherche au CNRS et directeur d’études à l’EHESS. Il s’intéresse à l’histoire de la géographie et de la cartographie modernes, ainsi qu’à l’histoire et à la théorie du paysage. Il est également co-directeur de la revue Les Carnets du paysage. Il a publié plusieurs livres consacrés à l’histoire des représentations géographiques et au paysage, parmi lesquels : Les Grandeurs de la Terre. Aspects du savoir géographique à la Renaissance (2003) ; Le goût du monde. Exercices de paysage (2009) ; Habiter. Un monde à mon image (2013) ; La nécessité du paysage (2018). Il est président de la Commission d’histoire du Comité Français de Cartographie.
 
Catherine Portevin est journaliste, spécialisée dans le domaine des idées. Elle a notamment travaillé à Télérama, Le Monde Idées, et dirige actuellement la rubrique livres de Philosophie Magazine. Elle a publié : Devoirs et délices, une vie de passeur, entretiens avec l’historien des idées Tzvetan Todorov (Le Seuil, 2002), Penser dans l’urgence, parcours d’un humanitaire, entretiens avec Rony Brauman, ex-Président de MSF, et Migrants et réfugiés : réponse aux indécis, aux inquiets et aux réticents, avec Claire Rodier (La Découverte, 2016, rééd. mise à jour 2018).

Cofondateur et metteur en scène de Cartoun Sardines Théâtre pendant près de 30 ans, Philippe Car crée en 2007 l’Agence de Voyages Imaginaires avec Valérie Bournet. Sa devise : l’enthousiasme ! A travers son travail, il explore les époques et les genres en adaptant des textes de romans (Dracula d’après Bram Stoker, Les Mystères de Marseille d’après Emile Zola, L’Histoire de Taor Malek, quatrième Roi Mage d’après Michel Tournier...), des légendes (Tristan et Yseult...) et des textes du répertoire (Le Malade Imaginaire, La Puce à l’Oreille, Roméo et Juliette, Le Conte d’Hiver, Le Bourgeois Gentilhomme, Antigone, Le Cid...). Formé à l’école du geste, le théâtre de Philippe Car est un théâtre très visuel proche de la féerie, où le sens donné par le texte est prolongé par les images et la musique (tous les comédiens sont musiciens). L’écriture scénique tend vers un «art total», proche du cirque. Par ailleurs, Philippe Car anime depuis le début de sa carrière de nombreux stages et ateliers.

 


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Tarifs
Type de public Tout Public
Horaires
© compagnia Carlo Magno

© compagnia Carlo Magno

Opera dei pupi di Palermo

En Ribambelle !

Spectacles/événements

Spectacle en italien, accessible à tous grâce à sa remarquable expressivité visuelle et aux interventions en français, scène par scène, d’une narratrice. À partir de 7 ans - Compagnia Carlo Magno (direction : Enzo Mancuso).

Épisodes de l’histoire des Paladins de France.

Le Mucem accueille la compagnie Carlo Magno d’Enzo Mancuso, héritier de l’art sicilien de la marionnette – les pupi siciliani  –, dont la tradition remonte au XIXsiècle. Ces marionnettes à tringles représentent pour la plupart des chevaliers aux luxueuses armures, incarnant les héros d’un univers inspiré des chansons de geste médiévales.

Classés par l’UNESCO parmi les « chefs-d’œuvre du patrimoine oral et immatériel de l’humanité », les spectacles de marionnettes siciliennes présentent différents épisodes de « l’histoire des Paladins de France ». Orlando, son cousin Rinaldo et la belle princesse orientale Angelica sont parmi les personnages emblématiques de ce répertoire, incarnés sur scène par de splendides marionnettes de près d’un mètre, qui s’animent devant un décor composé de grandes toiles.

Batailles de chevaliers, aventures, amour, magie, héroïsme : Enzo Mancuso fait revivre avec virtuosité l’ancienne tradition des marionnettes siciliennes au Mucem !

Un ensemble de pupi siciliani a été acquis en 2014 par le Mucem auprès du Teatro Carlo Magno. Elles sont aujourd’hui conservées au Centre de conservation et de ressources (CCR) de la Belle de Mai. Découvrez ces pièces exceptionnelles lors de la visite guidée « Les marionnettes du Mucem », proposée au CCR dans le cadre du festival !
Tarif

8€ / 6€ / 4€

Type de public Tout Public
Durée 1h20
Renseignements / Réservation

Achetez vos billets
Le jour de la représentation : Vente uniquement sur place ou par téléphone au 04 84 35 13 13 (à partir de 10h30)

Horaires
spassky fischer © Mucem

spassky fischer © Mucem

Ciné-poèmes

Plan B 2019

Cinéma

En partenariat avec Dodeskaden, Laboratoire de diffusion

Le cinéaste allemand Telemach Wiesinger présente trois courts métrages en multi-projection, sonorisés en direct. 

Conçus au gré de voyages en Europe et tournés en 16 mm dans un noir et blanc somptueux, ses films sont peuplés d'architectures et de paysages maritimes ou industriels. Dans la lignée des avant-gardes, ses diverses expérimentations visuelles peuvent se lire comme autant de « ciné-poèmes », à découvrir ce soir.  

TRANSFORMATION

Allemagne, 2017, 12 min

Les nuages fascinent. En perpétuel changement, ils trouvent toujours de nouvelles formes éphémères - des instants et événements qui sont uniques.

Le poème cinématographique traite de spectacles célestes et de leurs reflets dans l'eau, ainsi que de métamorphoses et d'imaginaire.

LANDED RE-EDITION

Allemagne,2007, 38 min 

Ce poème d'images crée un vide imaginatif pour les souvenirs et les pensées de l'auteur et du public.

C’est l’esquisse d’un jardin de tableaux dans lequel chacun de nous est libre de se laisser aller à un rêve éveillé par des associations personnelles libres.

PASSAGE 

Allemagne, 2008, 30 min

Passage est un voyage et un film documentaire sur les ponts mobiles.

Telemach Wiesinger a parcouru les quais de France, d’Allemagne, d’Angleterre, de Belgique, d’Italie, des Pays-Bas et des Etats-Unis pour consigner, au moyen d’images animées, des ponts levants et tournants historiques, des derniers hovercrafts et des dispositifs de levage pour bateaux monumentaux.

 

Avec le soutien de : 

© Puma
Tarifs
Type de public Tout Public
Renseignements / Réservation

Bar et petite restauration avec WATSA

Horaires
© Collection Mucem

© Collection Mucem

Atelier couture : la pochette en jean

Les ateliers créatifs du samedi

Ateliers/stages

Avec Lorène Bellamy, styliste

Partons à la redécouverte du vêtement « populaire », celui d’avant l’ère de l’industrie textile de grande consommation : un vêtement que l’on garde toute sa vie et qui, pour cela, peut être l’objet de multiples transformations.

S’inspirant de l’histoire des poches et des ceintures dans l’habit populaire, cet atelier vous invite à créer et fabriquer une pochette en jean aussi élégante que pratique, qui pourra être customisée. Ceux qui le souhaitent pourront détourner leur pochette façon banane avec un système d’attache au niveau de la taille.

À prévoir : chaque participant devra apporter quelques pièces en jean (morceaux de jean à assembler ou vêtements que nous découperons ensemble). Des sangles de récup’ ou des bretelles de sac pourront également être utiles.

Tarif

25 € / 18 € la séance

Type de public Tout Public
Durée 3h
Horaires
Résille Mucem © Gabriel Popoff

Résille Mucem © Gabriel Popoff

Atelier photo : le paysage en ville

Les ateliers créatifs du samedi

Ateliers/stages

Avec le Centre photographique Marseille
Atelier pour smartphones sous iOS ou Android - Installation de l’application Instagram

Qui n’a jamais eu envie, en se promenant au Mucem, de dégainer son smartphone pour photographier l’architecture emblématique du bâtiment J4 avec ses résilles, ses effets de lumières et de couleurs ? Que signifie « faire de belles photos » ? Cet atelier nous mène à travers différents espaces du musée et différents points de vue sur son environnement urbain afin de nous initier à la notion de panorama : idéal pour démarrer sa pratique et regarder autrement la photographie de paysage et d’architecture !

À partir de d’un choix d’images illustrant l’histoire de la photographie de paysage, et d’une immersion dans le bâtiment J4, cet atelier aborde la photographie comme un acte réfléchi tout en répondant à un certain nombre de principes techniques et de règles esthétiques comme le cadre dans le cadre, la règle des tiers, les lignes directrices, le point de vue…
Les images réalisées et/ou retouchées (balance des blancs, netteté, recadrage, filtres et effets) seront ensuite postées sur la page Instagram du Mucem.

A prévoir :
—votre smartphone chargé à 100% et un cordon de chargement en cas de batterie faible 
—l'application instagram installée sur votre smartphone
—des lunettes de soleil et vêtements confortables pour la promenade sur le site
Tarifs
Type de public Tout Public
Durée 3h
Horaires
Mucem, architectes Rudy Ricciotti et Roland Carta © Cyrille Weiner / Mucem

Mucem, architectes Rudy Ricciotti et Roland Carta © Cyrille Weiner / Mucem

La biodiversité en ville : une nécessaire dépendance ?

La Fête des plantes

Rencontres-débats/Conférences

Table ronde
Avec Gilles Clément (paysagiste) et Véronique Mure (botaniste)
Modération : Jean-Laurent Felizia (Mouvements et Paysages)

Qu’est-ce que la biodiversité en ville ? Quels en sont les enjeux ? En quoi constitue-t-elle une « nécessaire dépendance » ? On en discute lors de cette table ronde réunissant le jardinier-paysagiste Gilles Clément et la botaniste Véronique Mure.

Gilles Clément

Gilles Clément est l’un des plus grands jardiniers-paysagistes français en même temps qu’un écrivain, un poète et un théoricien engagé du paysage. Marqué par l’écologie, il a remis en question l’art des jardins de la fin du XXe siècle en pratiquant « le jardin en mouvement ». Il enseigne à l’École nationale supérieure du paysage à Versailles.

Gilles Clément © Droits réservés
Véronique Mure

Véronique Mure est botaniste et ingénieur en agronomie tropicale. Elle défend depuis trente ans la valeur patrimoniale des jardins et des paysages méditerranéens à travers l’histoire des végétaux qui les composent. Elle a collaboré avec des agences de paysage à des projets tels que la création du Jardin des migrations du Mucem. Elle enseigne à l’École nationale supérieure du paysage site de Marseille.

Véronique Mure
Tarifs
Type de public Tout Public
Horaires
© Mucem

© Mucem

Réflexions psychologiques sur la fascination pour les grandes illusions, l'escapologie... et les entresorts

Les rendez-vous fantastiques du Mucem

Rencontres-débats/Conférences

Par Pascal Morchain (maître de conférences en psychologie sociale à l’Université de Rennes 2 et artiste magicien ventriloque)
 
L’art de la magie se décline en magie rapprochée (« close-up »), magie « de salon », de rue, ou encore de scène. Les « grandes illusions », mais aussi l’escapologie (l’art de l’évasion), appartiennent à cette dernière catégorie. Ces spécialités de l’art magique semblent interpeler aussi le spectateur quant à la mort potentiellement imminente de l’artiste et renvoient, semble-t-il, au même symbolisme.

L’approche de l’intervention sera donc en partie symbolique mais aussi historique, et des hypothèses psychologiques et psychosociales seront posées.

Rencontre suivie d'une visite de l’Appartement témoin et de la Grande réserve du CCR à 14h.

Pascal Morchain

Depuis Septembre 2013, Pascal Morchain développe un axe de recherche sur la psychologie sociale de la magie, que l'on parle de la magie de scène, du close-up, ou encore du mentalisme...  Les recherches sur la déterminabilité rentrent aussi dans ce cadre.
Dans les recherches qu'il mène, la magie est conçue soit comme objet d'études, soit comme un outil pour comprendre certains processus. L'approche peut être très large, elle s'appuie sur la littérature, sur l'attention, sur l'identité, sur les cadres de référence, les représentations sociales, les stéréotypes, l'approche culturelle, les explications causales, les schèmes, la déterminabilité...


Abracadabra ! De janvier à mai 2019, la magie se mêle à la philosophie, à l’histoire et à la psychologie, avec les Rendez-vous fantastiques du Mucem : un nouveau cycle de conférences autour des collections magie du musée, proposé par Jacques Serrano (directeur de la Semaine de la Pop Philosophie) et Zeev Gourarier (directeur des collections du Mucem). Chaque conférence sera suivie d'une visite de l'appartement témoin, orientée sur les objets de magie.
Tarifs
Type de public Tout Public
Horaires
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