Création 2022 - Compagnie On Off

Dans une ambiance joyeuse et conviviale, une brigade de Lucy Martin, chercheuses en médecine vibratoire, vous offre un soin analeptique* et une mise à jour des vos circuits énergétiques. Passionnée par l’élément aqueux, elle expérimente en direct la théorie controversée de la mémoire de l’eau, selon laquelle l’intention, la vibration, et le contenu des mots modifient la structure même de l’eau, donc des 70 % de votre corps. Un traitement acoustique et chanté, délivré sans ordonnance, première étape pour replacer votre organisme au cœur d’une expérience intime, excellente préparation pour appréhender le monde à l’agonie, revigoré, de bonne humeur et frais comme un gardon.

*Qui rétablit les forces, stimule les fonctions de l'organisme

Direction artistique, mise en scène : Cécile Thircuir

Distribution : Magali Gaudubois, Stéphanie Campagnie, Cécile Thircuir, Stéphanie Petit
Technique : Thierry Montaigne
Arrangements : Cécile Thircuir
Accessoires : Sarah d'Haeyer
Graphisme : Chicken

Photos : Hervé Escario, Kalimba

Coproductions : Le Channel - Scène nationale de Calais (62), L’Atelier 231 - CNAREP de Sotteville-lès-Rouen (76), Le Boulon -
CNAREP de Vieux-Condé (59), Maison de la Culture d'Amiens (80), Communauté de Communes d’Osartis-Marquion (62), Le Manège - Scène nationale de Maubeuge (59), Le Grand Bleu – Scène conventionnée d’intérêt national Art, Enfance et Jeunesse de Lille (59), Art'R - Lieu de fabrique itinérant pour les arts de la rue (75)

Avec le soutien : DRAC Hauts-de-France, Département du Pas-De-Calais (62), Ville de Lille (59) et le Palais des Beaux-Arts de Lille

La Compagnie On Off est soutenue par la région Hauts-de-France et le Conseil Départemental du Pas-de-Calais.

Espace jeux, à partir de 5 ans

Rejoignez la Petite Fête foraine, une exposition itinérante imaginée par le Mucem pour permettre aux enfants de découvrir la richesse de ses collections liées aux arts du cirque ! La visite se déroule en plusieurs étapes entre jeux, projections et attractions édifiantes, avec : le « Cinématographe », le « Merveilleux méli-manège », la « Roue-Roulotte de la bonne aventure », le « Montre-Monstres vivants », et la « Galerie-Ribambelle d’images »… Tout un programme !

Scénographie et illustrations : Renaud Perrin
Rédaction des textes et collaboration artistique : Fotokino
Identité graphique : CL Design
Développement des bornes tactiles : Marceau Azzopardi
Fabrication et impression : Esprit Volume

Stage de pratique, tout public à partir de 13 ans

Avec Sylvain Julien 

Cultivant l’obsession du cercle, Sylvain Julien a développé un vocabulaire singulier fait de contraintes, d’exploits, d’étrangeté et d’énergies variées. À ses côtés, apprivoisez le cerceau et découvrez comment votre corps peut en alimenter le mouvement.

En partenariat avec les Suds, à Arles.

Avec Théodore Lefeuvre (accordéon, machines) et Nils Kassap (clarinette)

Oubliez tout ce que vous savez sur les bals populaires… 

Puisant aux sources des musiques traditionnelles occitane, auvergnate, poitevine et bretonne, Théodore Lefeuvre et Nils Kassap réarrangent le son des bals folk pour boîtes à rythmes, sampleur, accordéon, clarinettes et synthétiseur analogique. Une musique à danser sur-vitaminée !

En partenariat avec les Suds, à Arles.

Stage de pratique, tout public à partir de 13 ans

Avec Théodore Lefeuvre 

Scottish, valse, cercle circassien, mazurka ou chapelloise, danses de couples, rondes… Avec Théodore Lefeuvre, découvrez les pas de base de ces danses traditionnelles de France, avant de vous laisser emporter dans un joyeux bal folk. 

En partenariat avec les Suds, à Arles.

Stage de pratique, tout public à partir de 16 ans

Avec Delphine Jungman

Stimulez votre créativité ! Après une initiation d’une heure au langage corporel multisensoriel créé par Ohad Naharin, expérimentez une pratique d’improvisation et de composition nourrie des recherches chorégraphiques de Delphine Jungman.

En partenariat avec les Suds, à Arles.

Lisa Vereertbrugghen - CAMPO Gand

Première en France

Cinq femmes créent un espace de joie et de rencontres dans leurs relations comme dans leurs interactions physiques. Lisa Vereertbrugghen les entraîne dans une vague hardcore puissante et plonge le public dans un dispositif immersif. La frénésie devient alors contagieuse, nous révélant le désir intemporel de danser ensemble…

C’est à Amsterdam que la chorégraphe flamande s’essaie à la techno hardcore pour « se challenger à aller plus vite », bousculer ses habitudes et sortir de sa zone de confort. Très vite, elle se concentre sur les détails « en zoomant sur ce qui est le plus souvent négligé dans cette pratique : le cou, les mains, le visage, les coudes »… Du petit doigt aux jambes, chaque mouvement compte. Puis elle décide d’emmener le hardcore des clubs sur la scène dans différents formats, entre performance, son et installation. Et se voue à une exploration poétique et savante au cours de spectacles collectifs propres à créer des communautés. Consciente du besoin de danser ensemble depuis la nuit des temps, elle entremêle rave hardcore et danses folkloriques pour donner vie dans While we are here – sa première pièce de groupe – à une danse techno-folk hybride. Où l’on retrouve des motifs empruntés aux danses populaires repris en chœur par cinq extraordinaires danseuses. Martèlements puissants des pieds sur le sol, jeu de jambes frénétique, corps et esprit libérés, elles célèbrent la joie et le dépassement de soi, la force du collectif emporté dans une complexité rythmique dont le public ressent chaque vibration.

En coréalisation avec le Festival de Marseille

Crédits 

Création 2023
Concept et chorégraphie : Lisa Vereertbrugghen

Interprétation et co-création : Claire Godsmark, Dolores Hulan, Taka Shamoto, Eimi Leggett, Castélie Yalombo Lilonge, Lisa Vereertbrugghen

Dramaturgie : Simon Baetens, Sophie Guisset

Conseil artistique : Madison Bycroft

Son : Michael Langeder

Lumière : Vera Martins

Costumes : Cee Fülleman

Chanson : Lisa Vereertbrugghen, Michaela Riener
Folk expert : Aurélie Giet

Production : CAMPO

Technique : Babette Poncelet, Korneel Coessens

Coproduction : Concertgebouw, KAAP, Kunstenwerkplaats KWP, STUK Arts Centre, ICI – CCN Montpellier, Kunstencentrum BUDA, BIT teatergarasjen, Perpodium

Avec le soutien du tax shelter du Gouvernement fédéral belge via uFund, du Gouvernement flamand & de la Commission de la Communauté flamande

Lisa Vereertbrugghen

La danseuse et chorégraphe Lisa Vereertbrugghen se voue à l’étude des sonorités et des styles de danse techno hardcore depuis 2014, à travers différents formats entre performance, son et installation. 

Née en 1986, Lisa a obtenu une maîtrise en Histoire Culturelle avec une spécialisation en études de genre à l’Université catholique de Louvain et un diplôme en Chorégraphie à la School for New Dance Development (SNDO) à Amsterdam.

Elle travaille régulièrement avec des collaborateurs et collaboratrices de longue date tels que Michael Langeder, Sophie Guisset, Vera Martins et Madison Bycroft. Elle travaille également en tant que dramaturge, interprète et chorégraphe pour divers artistes de la scène et des arts visuels entre Bruxelles, Berlin et Amsterdam, et enseigne à l’Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles.

Ces dernières années, Lisa a créé Softcore - une rencontre hardcore (2019) et DISQUIET - esthétique sensationnelle d’un technokin (2021). While we are here est sa nouvelle création. 

 

Invités : Renaud Pachot (La Mer et ses vagues), Afef Ben Mahmoud et Khalil Benkirane (Backstage)

Une discussion autour de la fiction et de l’irruption de plus en plus fréquente du « cinéma de genre » dans la production des jeunes cinéastes arabes – un recours aux codes stylisés du thriller ou du roadmovie qui laisse toutefois souvent la place à un surréalisme inattendu.

Conférence

Lors de cette soirée scientifique et ludique, Mohamed El Khatib rassemble les principaux acteurs qui rendent l'objet boule à neige vivant.

Collectionneurs et collectionneuses, amateurs et amatrices, conservateurs et conservatrices nous parlent de cet objet qui peuple nos imaginaires et dont l'exposition « Populaire ? » présente quelques beaux spécimens.

Avec notamment une conférence de Jérôme Montchal, historien de l'art et spécialiste international de la boule à neige.

 

Pour en savoir plus sur la boule à neige…

La boule à neige, et tous les clichés qui déferlent avec elle, est avant tout un objet de regard. Celui que l’heureux propriétaire jette sur elle – et celui que le quidam jettera sur son possesseur. Ce petit objet d’apparence ludique a généré un usage variant selon les époques : presse-papier, jouet, souvenir aimé, ringard, industriel, bobo ou kitsch, monde miniature quasi mystique, art populaire, objet de collection, médium de création...

Sa véritable origine historique est discutée – elle semble remonter à l’Exposition universelle de 1878 à Paris. Mais au-delà d’un acte de naissance controversé, la boule à neige a connu tout au long de son histoire des usages socialement contradictoires qui en font un objet complexe. Et c’est l’histoire de cet objet, pour lequel nous avons une certaine tendresse, que nous allons explorer.

L’histoire de l’art participe grandement à séparer l’art des domaines profanes en le consacrant. Le regard admiratif que l’art suscite, voire exige, n’est d’ailleurs pas sans lien avec les rapports de domination qui traversent notre société. Aussi, la boule à neige – summum du mauvais goût pour certains – peut être considérée comme un objet kitsch et stupide, mais c’est paradoxalement cette condition qui la rend sus- ceptible de devenir un objet d’art.

S’intéresser à ce phénomène méprisé, issu de la culture populaire, permet de ques- tionner les processus de légitimation d’un objet par les institutions culturelles. La boule à neige permet d’interroger les actes de « qualification » et de « croyance » qui, par des opérations de « bénédiction » esthétique, de « sacrement » culturel, permettent à un objet ordinaire de devenir un objet d’art.

(Extrait du dossier de presse de Boule à neige, une performance de Patrick Boucheron et Mohamed El Khatib présentée en 2021 au Mucem).

 

Stage de pratique, tout public

Par Francesca Ziviani (chorégraphe)

Dans cet atelier de danse contemporaine et chamanique, la chorégraphe Francesca Ziviani vous enseigne les techniques qu’elle utilise pour la réalisation de ses propres spectacles.

Un premier temps d’écoute et de visualisation au son du tambour chamanique permet de nous relier au monde visible autant qu'au monde invisible. Puis vient un second temps d’improvisation dansée et vocale. Il s’agit de permettre à chacun de faire émerger sa propre vision intérieure, de libérer son propre mouvement archaïque et sauvage, pour créer la base d’une nouvelle relation aux autres et au monde.

Un programme imaginé avec KLAP, Maison pour la danse.
 

Inizio

Samedi 9 mars 2023 à 17h00

Inizio © DR

Spectacle

De Francesca Ziviani (chorégraphe)

Premier démon de l’histoire de l’humanité Lilith incarne l’énergie féminine. Inizio s’élance sur les traces de cette figure originelle par une exploration de l’inconscient sous différentes formes de jeux.

Au travers d’improvisations théâtrales et dansées, Francesca Ziviani découvre en elle un personnage mystérieux, une vieille moniale amnésique de son pouvoir, dont le corps vit enserré dans une contradiction permanente entre empêchement et pulsion de liberté. En solo, une traversée d’images et de références picturales trace le portrait complexe d’une femme aux multiples visages, dont la condition démoniaque se dissimule sous le burlesque et l’humour. De son chant, éruption de la lave d’un volcan, émerge la mémoire d'émotions enfouies sous les assauts entêtants des battements d'un tambour.

Ce spectacle comporte des scènes de nudité.

Un programme imaginé avec KLAP, Maison pour la danse.

Tarif plein : 10€
Tarif réduit : 7€

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