Primed 2023
PriMed 2023
Le Festival de la Méditerranée en images
Chaque année, le PriMed sélectionne les meilleurs reportages et productions documentaires en lien avec la Méditerranée.
Jeudi 7 décembre, le Mucem accueille le Prix du public du meilleur « court » méditerranéen : venez assister à la projection des courts-métrages en compétition et votez pour votre favori !
Projections en présence des réalisateurs et réalisatrices.
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Sérigné
De Rodrigo Hernandez Tejero, Edu Marin et Adriana Cardoso Navarro (Espagne, 2023, 14 min)
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Serigne Mbayé est arrivé en Espagne en canot pneumatique depuis le Sénégal. Après quinze ans de lutte antiraciste à Madrid, aujourd’hui reconverti en homme politique, il dénonce les accords de pêche de l’Union européenne responsable de la migration de milliers de Sénégalais.
Rodrigo Hernandez Tejero, Edu Marin et Adriana Cardoso Navarro sont des documentaristes indépendants. Au sein de la coopérative audiovisuelle Muzungu, ils ont développé un large éventail de séries télévisées et de documentaires.
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En mi piel
De Sándor M. Salas (Espagne, 2022, 14 min)
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Le flamenco utilise le pouvoir subversif de l’art pour mettre en valeur la diversité des corps sur scène. Le handicap n’est plus une limite mais un point de départ créatif.
Sándor M. Salas est diplômé en montage et postproduction numérique à l’Escuela Andaluza de Cinematografía (EAC). Ses courts-métrages ont été sélectionnés dans des festivals tels que DocsMX, Alcances ou Alcine et nominés aux ASECAN Awards.
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Live-in
De Laura Maragoudaki et Tatiana Mavromati (Grèce, 2022, 12 min)
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Live-in est le portrait de Géorgiennes sans papiers travaillant en Grèce comme aides à domicile. Le film explore le travail monotone, l’exploitation et l’isolement de ces femmes.
Laura Maragoudaki est artiste et réalisatrice. Son travail associe les récits documentaires à la recherche en arts visuels. Elle s’intéresse aux récits collectifs et individuels qui composent les histoires des communautés.
Tatiana Mavromati est une photographe documentaire et éducatrice basée à Athènes. Elle s’intéresse aux cultures et aux communautés migrantes, ainsi qu’aux questions liées au genre et au travail des femmes. Live-in est son premier film.
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La Peau rêche
D’Inès Arsi (Tunisie, 2022, 5 min)
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Pour Ahmed, jeune artiste tunisien, se définir c’est se cloîtrer. Il transcende les normes patriarcales de son pays et déchire les étiquettes qu’on lui colle, avec un seul objectif : vivre comme son cœur lui dit de faire.
Inès Arsi est une scénariste et réalisatrice tunisienne. Son parcours multidisciplinaire l’a amenée à étudier à l’École de l’audiovisuel et du cinéma à Tunis, puis à la Fémis à Paris. À travers ses films, elle met en lumière des sujets tels que la liberté, l’égalité des sexes et l’identité.
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Geamăna
De Matthäus Wörle (Allemagne / Roumanie, 2022, 30 min)
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Geamăna était un village roumain où vivaient environ 1 000 personnes. Aujourd’hui, seule la flèche de l’église émerge de la boue empoisonnée rejetée par la mine de cuivre voisine. Valeria Praţa, l’une des dernières habitantes, doit partir et tout laisser derrière elle.
Matthäus Wörle a travaillé pour plusieurs journaux allemands dont Süddeutsche Zeitung. Aujourd’hui journaliste indépendant, il étudie le cinéma documentaire à l’université de la télévision et du film de Munich.
Tarifs | |
Lieu | Mucem, J4— Auditorium |
Renseignements / Réservation |
Entrée libre |
Horaires | Jeudi 7 décembre à 17h30 |