boite de tir forain
2004.1.3.1-2
Description
Bois, taillé, assemblage, peint, cloué
Bois, taillé, assemblage, vernis, peint
Porcelaine, moulé, assemblage, peint
Fer, martelé, assemblage
Fer, fondu, assemblage, moulé
Cuivre, moulé, assemblage
Coton, découpé, cousu
Broderie, tricoté, collé
Laine, découpé, cousu
Toile cirée, découpé, collé
Soie, découpé, cousu
Paille, coupé, assemblage
Fil de fer, assemblage
Matériau synthétique, collé
Feutre, découpé, collé
Hauteur : 80 cm
Largeur : 3.5 cm
Longueur : 41 cm
Longueur : 8 cm
Profondeur : 32 cm
Epaisseur : 1 cm
Poids : 14 kg
Boîte de tir rectangulaire en bois peint contenant trois personnages. Sa face antérieure est constituée d'une porte à deux battants dans la partie supérieure et par une porte dont les charnières sont sur le bord inférieur en partie inférieure. Cette porte présente une ouverture destinée à recevoir la clé d'actionnement 2004.1.3.2 des automates. Deux pattes en fer sont placées horizontalement à l'intérieur de chaque porte et sur l'angle postérieur supérieur afin d'amortir la fermeture et ouverture de celles-ci. Deux trous sont présents sur la face extérieure gauche en partie inférieure, ils font probablement partie des ouvertures qui pourraient servir à recevoir des tiges d'actionnement. La face antérieure est peinte d'un décor à fond jaune; les bordures sont peintes en rouge. Les deux portes verticales sont ornées de peintures représentant deux faisans sur la partie supérieure de la porte droite et deux cygnes sur la partie supérieure de la porte gauche, ainsi que des coupes florales sur les parties inférieures. Sa partie inférieure ainsi que la porte inférieure est décorée d'une branche avec des fleurs bleues et roses qui pendent ainsi que d'une branche à feuilles bleues foncées. La porte inférieure est décorée des fleurs bleues, une sur chaque angle Au centre se trouve une cible en fer peint en forme de losange. Cette cible fonctionne grâce à un mécanise à clé à extrémité carrée. En tirant à la carabine sur celle-ci, les portes s'ouvrent et laissent apparaître une saynète animée. Il s'agit d'un "système à gâchette". La façade présente plusieurs traces d'impacts de balles liés aux tirs de la carabine, ces traces se concentrent surtout sur la partie centrale, sur la cible et autour d'elle. Les faces intérieures de la boîte sont peintes sur un fond vert pâle et imitent l'intérieur d'une maison, probablement une chambre. Le fond présente un rideau, la partie d'un tableau est présent sur l'angle supérieur gauche. Sur ce qui correspondrait être le mur de gauche il y a un horloge à pendule marron et un bougeoir avec bougie. Sur le mur de droit, une fenêtre avec un rideau rose aux motifs noirs. La saynète installée dans la boîte présente trois personnages : une femme, un homme et une petite fille. Leur corps sont constitués de bois et de fil de fer pour l'armature, leurs visages sont peints et vernis. La tête de la petite fille est fait en porcelaine. A gauche, devant un banc en bois couvert du feutre rouge, une femme frappe son mari couché avec son balai. La femme présente les cheveux hirsutes en chignon, elle est vêtue d'une robe en soie couleur violette. Elle est chausée des pantoufles roses et présente les pommettes rouges. Le mari est assis dans un lit, son nez et ses pommettes sont rouges. Il est en pyjama, coiffé d'un bonnet blanc. Le troisième personnage est une petite fille qui est assise sur une chaisse recouverte d'un tissu à galons et à fringes assiste à la scène en pleurant. Elle est blonde et coiffée de tresses avec un ruban rose sur la tête. Elle est vêtue d'une robe rose en soie. Une table en bois recouverte d'une nappe blanche faite de la même broderie que les draps du lit, est placée au milieu de la pièce. Une toile cirée imite un carrelage aux carreaux jaunes et blancs. En partie postérieure, sur la partie inférieure de la boîte, la porte d'une trappe est tenue par une vis. Elle conduit à l'espace où se trouve le système d'actionnement de toute la boîte. Ce système présente un mécanisme constituée à base des engrenages en cuivre et en fer.
Achat: Marcel Hannequin