Livre - La Bastoche
1A 3.61 246
27-Mesnil-sur-l'Estrée : Impr. Firmin-Didot
Description
Livre
Éd. du Félin
Dubois Claude 1944 - ...
Presentation materielle : 413 p.
Dimensions : 24 cm
« Rue de Lappe ! Rue de Lappe ! », comme un cri de ralliement lancé aux bourgeois encanaillés. Qui ne sait qu’à la Bastille, autour de la colonne révolutionnaire, faubourg Saint-Antoine, on a dansé musette au son de l’accordéon ! En nommant « Bastoche » la Bastille des rues borgnes et des bals, l’argot parisien a fait la part des choses. Et l’ouvrage de Claude Dubois est un livre d’histoire populaire, mâtinée voyou par nature, la marque de fabrique de Paname et de sa culture. En 1920-1930, les écrivains – Carco surtout, Mac Orlan, Henry Miller et bien d’autres – ont exalté la Bastille du plaisir. Parée de guinches, de lieux de plaisir, de femmes et de mecs en casquette ou chapeau, la Bastoche représentait un Paris interlope que le monde nous enviait. En 1933, à New York, un dancing s’appelait À la Rue de Lappe ! Une histoire mouvementée ; Grâce aux Auvergnats installés depuis le XVIIIe siècle, et aux Italiens, la rue de Lappe est célèbre, dès avant 1914, par joueurs de musette et d’accordéon interposés. Avec le souvenir impérissable de Jo Privat, le roi du Balajo, de nombreux musiciens oubliés ont bâti la gloire de la Bastoche, de concert avec les apaches, les mauvais garçons, puis les hommes du milieu auxquels, au Bousca-Bal, au Petit Balcon et dans tant d’autres lieux, leurs bourrées, valses et javas procuraient de troubles et ineffables sensations. Mais la nostalgie n’est pas de mauvaise mémoire. On s’amuse toujours à la Bastoche. Même si, méchante habitude des origines, il arrive que le plaisir dérape en crime, en « fait divers », cette fleur vénéneuse du pavé parisien. Claude Dubois, alias le Titi du Figaroscope, est l’ultime héraut du Paris de la rue. Né rue Rambuteau, il a vu détruire la ville, exiler son menu peuple, celui qui fut chanté au fil des siècles par une kyrielle d’écrivains. Envers et contre tout, fidèle, il a repris le flambeau de la tradition.
La Bastoche parce que Paname, p. 7 PREMIÈRE PARTIE : 1750-1914 I. LA BASTOCHE, CONFLUENT GÉOGRAPHIQUE ET HISTORIQUE, p. 23 Un témoignage ancien, p. 23 La Roquette, rue et prisons, p. 24 La rue de Lappe, le passage Thiéré, p. 27 Le faubourg Saint-Antoine, p. 28 La Popinc’, le Faubourg et, au milieu, la rue de Lappe, p. 31 II. LES AUVERGNATS, p. 33 Depuis quand et pourquoi à la Bastille, p. 33 Un peuple qui aime la danse et la musique, p. 35 L’émigration s’intensifie, p. 36 Aujourd’hui on crierait au racisme !, p. 37 Louis Bonnet avait raison de prendre ses désirs pour des réalités, p. 39 Naissance de l’expression « bal-musette », p. 41 Alphonse Daudet puis Jules Vallès, rue de Lappe, p. 42 « Travailler pour la rue de Lappe », p. 45 III. MUSETTE, BAL-MUSETTE… ET POURQUOI PAS BAL-ACCORDÉON ?, p. 47 Cette fameuse musette, p. 47 Les grelots, p. 48 Cent trente bals-musette en 1879, p. 50 Bals-musette ou déjà plus bals-musette, p. 53 Les reportages d’Emmanuel Patrick, p. 53 Vilaines histoires, p. 55 Bonnet s’en mêle, p. 56 Emmanuel Patrick précise les choses, p. 58 Une confusion certaine, p. 60 IV. BASTILLE ET BASTOCHE, p. 61 La Bastille, p. 61 Les juifs, p. 62 La prostitution, p. 62 La Bastille au temps de Bruant, p. 63 La Bastoche, p. 65 Le mot « Bastoche », p. 67 La rue Sainte-Marguerite, p. 67 La foire à la ferraille et aux jambons, p. 71 Faits divers, p. 72 La Bastoche : un nouveau White Chapel ?, p. 74 V. ETHNIES ET TRIBUS PARISIENNES, p. 77 Quelques chiffres sur les Auvergnats, p. 77 Les Parisiens, p. 78 L’évolution de la mode, p. 79 Les apaches, p. 82 Casque d’or, les apaches, et le mythe originel de la Bastoche, p. 87 Toujours les Auvergnats, p. 89 Antoine Bouscatel, le roi des cabrettaïres, p. 89 Rue de Lappe et passage Thiéré, « ville auvergnate », p. 90 Musette et accordéon : la guerre, p. 91 « Notre musette nationale et aimée… », p. 93 VI. LE TEMPS DE L’ACCORDÉON, p. 95 Diatonique et chromatique, p. 95 Les Italiens de Paris, p. 98 Charles Péguri, la rue de Lappe, et Antoine Bouscatel, p. 100 La profession de foi du père Bousca ou la victoire de l’accordéon, p. 100 L’essor de la rue de Lappe, p. 103 La musique de la rue de Lappe, p. 105 Émile Vacher, p. 105 Chez Bousca, p. 107 Les bals de la Bastoche avant 1914, p. 108 Une société composite, p. 110 Le Bal des Gravilliers en 1913, p. 112 La java, p. 114 Passage Thiéré, le Petit Balcon, p. 116 Toujours des faits divers, p. 117 Martin « zizique » et le jaloux, p. 117 Dernier trimestre 1907 : bagarres, attaques et autre, p. 118 Meurtres à la Bastoche, p. 120 Tragi-comédie au Petit Balcon, p. 122 SECONDE PARTIE : 1918-1939 I. A MOTS NOUVEAUX RÉALITES NOUVELLES, p. 127 « Qu’elle était triste, la rue de Lappe, sans bals ! », p. 127 Les années dites folles, p. 128 Paname, p. 130 Le milieu, p. 133 Les bals du milieu à Paname en 1922, p. 134 II. MON HOMME DE FRANCIS CARCO, OU LA VRAIE CULTURE DE LA RUE DE LAPPE, p. 137 « On redanse », p. 137 Mon homme et le lancement de la rue de Lappe, p. 139 Atténuation du « compartimentage social », p. 140 La geste de la rue de Lappe, p. 141 L’ethnologie façon Paname, p. 142 L’argot et sa culture, p. 143 La java n est pas la valse chaloupée, p. 145 L’accordéon sort du ghetto, p. 147 Paul Poiret chez Bousca, mais après ou avant 1914 ?, p. 147 III. LE MILIEU DANS SES HAUTES ŒUVRES, p. 149 FRANCIS CARCO, LE CHANTRE DE LA BASTOCHE, p. 149 « J’aime mieux Paname », p. 150 Carco fasciné par la pègre, p. 151 La java, cette splendeur, p. 152 Des gonzes poilus aux hommes du milieu, p. 153 Le milieu a-t-il trahi la pègre ?, p. 155 PANAME SOUS L’INCANTATION DU MILIEU, p. 156 Le milieu et la société jouent à cache-cache, p. 157 Les affranchis restent les affranchis !, p. 159 La chanson de Paris inspirée par le milieu, p. 159 La poésie de Paris de 1924, p. 161 RETOUR A LA BASTOCHE, p. 162 Auvergne, populo et milieu : les trois pôles du bal-musette, p. 163 Des dangers vieux comme le monde, p. 165 La rue de Lappe s’illumine à l’électricité, p. 165 Le Petit Balcon joyau du passage Thiéré, p. 166 Galtier-Boissière, témoin du Paname de 1925, p. 167 IV. RADIOGRAPHIE DE LA BASTILLE ET DES BALS-MUSETTE EN 1925, p. 169 Un ethno-sociologue précieux mais plein de préjugés, p. 169 La rue de Lappe de jour et de nuit, p. 170 Petit détour au caf’ conc’, p. 172 L’esprit titi, p. 173 Telle qu’en elle-même la rue de la Roquette, p. 174 Nuisances diverses et variées, p. 175 Aperçu du coût de la vie, p. 175 Un pays cosmopolite, p. 176 La Bastoche juive selon Francis Lemarque, p. 177 Les judéo-espagnols de la rue Sedaine, p. 179 Les « sidis », p. 181 La politique d’avant la langue de bois, p. 181 LES MIRAGES DU BAL, p. 182 La prostitution, p. 183 Le côté midinette, une caricature ?, p. 183 Misère et défense, p. 183 Et si cette dévotion pour le milieu altérait la vérité historique ?, p. 185 Authenticité et inauthenticité, p. 186 V. JAZZ-BAND ET TANGO, p. 189 LE JAZZ-BAND, p. 189 Le jazz, symbole de l’époque nouvelle, p. 190 Batterie et banjo, p. 191 Quand le jazz est là, le jazz-band s’en va, p. 193 LE TANGO, p. 194 « La lumière venait d’Amérique », p. 195 Le bandonéon, p. 197 Folie du tango et dancing, p. 198 Dancing et bal-musette, p. 199 VI. OUI OU NON LE DANCING-MUSETTE A-T-IL TUE LE BAL-MUSETTE ET LE MILIEU ?, p. 201 « Mort du bal-musette », p. 201 La rue de Lappe, « rue de la Danse », p. 202 Le Bousca-Bal modem’ style, p. 203 Le cafard d’Oberlé, p. 203 Du bal-musette au dancing-musette, p. 204 Les derniers beaux jours des musettes auvergnats, p. 205 La Bastoche à l’avant-garde, p. 206 La rue de Tanger entre dans la danse, p. 206 « Que les temps sont changés ! », p. 208 Le diabolo, signum de la culture musette, p. 209 Cette louche et regrettable sensualité des bals-musette, p. 210 La lumière, fée de la métamorphose des bals en dancings-musette, p. 212 Le bal-musette, fleuron de la culture voyou, p. 214 La fierté d’être pauvre, p. 214 Florilège antimoderniste, p. 215 « Prospérité » et « rationalisme », les deux mamelles nouvelles de la rue de Lappe, p. 216 L’homosexualité à la Bastoche, p. 218 La Vraie de Vraie de Fréhel, p. 218 Le Musette, 23, rue de Lappe, p. 219 Les Trois. Colonnes, 47, rue de Lappe, p. 220 Les corydons et leurs faits divers, p. 222 Et les femmes ?, p. 223 QUESTION DE GÉNÉRATION, p. 224 Les rigolos de la Bastoche, p. 224 Le milieu vers 1930 ou les déceptions de M. Francis, p. 225 « Parler l’argot, y a rien d’ meilleur pour s’ faire poisser », p. 225 « Les bals, hein ? c’est fini c’ truc-là », p. 225 « C’est comme ça… C’est la vie !», p. 227 Les tauliers de la rue de Lappe se sont adaptés, p. 227 VII. LE CRIME : GROS TITRES ET STATISTIQUES, p. 229 La police veille, rue de Lappe, p. 230 Les rafles, p. 230 Récupération et théâtralisation, p. 231 Du loufiat de la Bastoche aux aminches de Charonne, p. 234 Sales affaires, p. 235 Le double meurtre de La Java, faubourg du Temple, p. 236 L’assassinat de Loulou Bataille, p. 238 Francis Carco fait école, p. 240 Ceux du milieu, p. 241 Variation sur le mot « morue », p. 241 De la gentillesse à la pureté, p. 243 Quand une femme a son homme dans la peau, p. 244 LES GROS TITRES ET LES CHIFFRES, p. 245 Georges Simenon mène l’enquête, p. 246 « Pierrette Audoine sortait de la rue de Lappe… », p. 246 Le temps des gangsters, p. 247 Les apaches étaient plus dangereux que les gangsters, p. 249 Paname moins criminogène que la Suisse !, p. 250 La Bastaga, un coinsto pépère alors ?, p. 251 Simenon et le musette, p. 252 Faits divers variés, p. 254 VIII. LA BASTILLE, URBI ET ORBI, p. 257 Les souvenirs de Léon Agel, p. 257 LA BASTILLE URBI, p. 259 Détour par Les 4 Sergents de la Rochelle, p. 260 L’Auvergne à Paris (suite), p. 261 Les Auverpins, maîtres de la France ?, p. 262 Martin Cayla a connu Hemingway…, p. 262 Le corporatisme musical auvergnat, p. 264 Amitiés italo-auvergnates, p. 265 L’apogée du musette, p. 266 Le populisme, fils esthético-bohème du populo, p. 267 La rue de Lappe en chansons, p. 268 Dabit et le musette, p. 271 Dabit, l’anti-Carco, p. 271 A Ménilmuche Le Boléro, à Belleville le Ça gaze et l’ Alhambra, p. 272 LA BASTILLE ORBI, p. 273 En province, p. 274 Aux colonies et à l’étranger, p. 275 La Rue de Lappe à… New York, p. 276 RETOUR INTRA-MUROS, p. 277 Jo Attia, rue de Lappe, p. 278 IX. LA PROSTITUTION, UNE SPÉCIALITÉ DE LA BASTILLE, p. 281 Une tradition immémoriale, p. 282 La Germaine de Henry Miller, p. 284 Histoires de bidet, p. 286 Les goûts de Miller, p. 286 Le « dégoût fasciné » de Jacques Borel, p. 286 La Bastille, Bord en avait honte, p. 288 La galanterie à la Bastille, côté XIIe arrondissement, p. 289 Verlaine, cour Saint-François, p. 289 Le coup du portemanteau, p. 290 Le passage Raguinot, alias la Petite Chine, alias l’îlot Chalon, p. 291 Jusqu’où s’étend la Bastoche, dans le IVe arrondissement ?, p. 292 Le quartier Saint-Paul regorgeait de bordels, p. 292 Nuits rouges, place du Marché-Sainte-Catherine et rue de Fourcy, p. 293 Légitime défense, rue d’Ormesson, p. 294 LES BOBINARDS DE LA BASTILLE, p. 295 En mémoire de mon père, p. 296 Un amour qui tourne mal, 12, rue Lesdiguières, p. 297 Maisons de tolérance et maisons de rendez-vous, p. 298 Désir d’illusions, p. 299 Le Fourcy a-t-il ou non déménagé rue Jean-Beausire ?, p. 300 Mon père, 138, boulevard Richard-Lenoir, p. 301 VIII. LE BORDEL DU 12, RUE DE LAPPE, p. 303 La mémoire et les dates, p. 304 Mme Bertrand est autorisée à ouvrir le 2 septembre 1935, p. 305 Marthe et Totor, p. 305 Le 50, rue Galande, p. 306 CE QUE FUT CE BORDEL DE LA RUE DE LAPPE, p. 307 L’immeuble du 12 transformé dans sa totalité, p. 308 Incidents, p. 309 Une maison d’abattage, « pourvue des derniers conforts », p. 310 Le Grand 12 a compté neuf sous-maîtresses, p. 311 Cette madame Anita que chante Clément Lépidis, p. 311 Le jour que Lépidis a perdu sa fleur, p. 312 « Je faillis l’appeler maman », p. 313 L’amour assassin…, p. 314 Le mal de la rue de Lappe, p. 314 Passe le temps…, p. 315 Le 6 octobre 1946, on ferme !, p. 317 XI. LA CRÉATION DU BALAJO, p. 319 9, rue de Lappe, avant le Balajo, p. 319 Chez Vernet, Au vrai de vrai, p. 319 Le coup de la corde, p. 321 L’esprit et la mentalité de la rue de Lappe, p. 323 Le meurtre de Véronique Leclant, p. 324 Macabre comptabilité, p. 324 « Ma pauvre môme était courageuse à l’ouvrage », p. 325 Alibi médical, prostitution masculine et phénomènes sexuels…, p. 326 QUEL MÉLI-MELO QUE LA NAISSANCE DU BALAJO !, p. 328 Les débuts de Jo France, de La Bastoche au Balajo en passant par le Charonne’s, p. 328 Le rachat du 9, rue de Lappe et les révélations d’Auguste le Breton, p. 329 Henri Mahé, pote de Jo France et de Louis-Ferdinand Céline, p. 330 Le commentaire du Fakir, p. 302 Le décor du Balajo, p. 331 L’ouverture du Balajo, p. 332 1935 : le petit Balajo, 1936: le Balajo, p. 332 La Revue de l’accordéon et Détective retardent !, p. 333 Le Balajo et Bousca, p. 334 Jo France inaugure son bal…, p. 335 « Le chef-d’œuvre des bals-musette », p. 336 Mahé s’emmêle crayons et pinceaux, p. 337 Hélas ! Céline n’a rien écrit sur la rue de Lappe…, p. 338 XII. INSTANTANÉ : LES MUSETTES DE PARIS EN JUIN 1937, p. 341 Le prétexte de l’assassinat de Laetitia Toureaux, p. 341 L’âme populaire hantée par la fatalité, p. 342 Ah ! ah ! monsieur Montarron…, p. 342 Ceux et celles qui fréquentent les guinches…, p. 343 Danse, frottage et levage…, p. 343 Petit glossaire des (faux) vrais de vrais, p. 344 Les vrais, faut pas les chambrer !, p. 344 Argot d’époque, p. 345 Nostalgie, p. 346 Le drame du Bal des fauvettes à Bobigny, p. 347 Le trépas du « Passons la monnaie », p. 348 « L’éternelle romance du peuple de Paris », p. 349 XIII. JO PRIVAT IN MEMORIAM, p. 351 Ragot et bagoulette, p. 351 « La quintessence du langage parigot », p. 352 Le cafard, p. 353 « Votre fils a de l’or au bout des doigts », p. 355 Jo a débuté à la Bastoche, p. 356 Émile Vacher a été le premier maître de Jo Privat, p. 358 Jo et les Manouches, p. 359 L’apport de Jo Privat au musette, p. 360 Le premier concours international d’accordéon de Paris, en 1936 au Moulin de la Galette, p. 362 JO PRIVAT, MÉMOIRE DE LA CULTURE VOYOU DE PARIS, p. 363 Musette et proxénétisme, p. 363 Comment Jo est entré au Balajo, p. 364 1937-1939 : l’âge d’or de la Bastoche, pour Jo Privat, p. 365 Personnages de la rue de Lappe, p. 367 Petites précisions ethnologiques sur la mode maque, p. 368 « Jules des Sables, son p’tit chapeau, il était sur la troisième ride… », p. 369 Détour par les portes Saint-Martin et Saint-Denis, p. 370 Plus loin encore, le Petit Jardin, sa faune et ses mœurs…, p. 371 La fin du Ladira, 18, faubourg Saint-Martin, p. 372 XIV. DIRE, FAIRE ET RACONTER ENCORE, p. 377 LA PAROLE, MOTEUR PREMIER DE LA CULTURE POPULAIRE, p. 377 La place primordiale du cul dans les anecdotes, p. 379 Le fait divers se racontait au premier degré, p. 381 La Valse à l’envers, de Maurice Pasquelot, p. 382 La « fiction » de La Valse à l’envers en prise directe sur la réalité, p. 385 Histoires de femmes, toujours, p. 386 LE FAIT DIVERS DES FAITS DIVERS DE LA BASTOCHE, p. 387 Le « feu » fait plus milieu…, p. 387 Coups de couteau oubliés, rue de Lappe, p. 388 George Raft, le second de Scarface, au Balajo, p. 389 « Un “ coup dur ˮ commenté chaque nuit tout au long de la rue de Lappe… », p. 390 La réalité rejoint le mythe : l’assassin est un accordéoniste !, p. 393 La version de Jo Privat n’est pas celle de Détective, p. 393 PRINCIPAUX BALS-MUSETTE EXISTANT A PARIS VERS 1930, p. 399