ruche

2002.132.69.1-22

Description

France

Provence-Alpes-Côte d'Azur

Alpes-de-Haute-Provence

Colmars

Vers 1935

Bois, taillé, peint, cloué

Bois, taillé, peint, assemblage emboité

Tôle, plié, peint, cloué

Fer, plié, peint, cloué

Tôle, plié, vissé, perforé

Fer, plié, vissé, perforé

Tôle, plié, assemblage fixe

Fer, plié, assemblage fixe

Contre-plaqué, taillé, cloué

Fer, moulé, vissé

Grillage, cloué

Plastique, moulé, assemblage fixe, coloré

Largeur : 46.6 cm

Largeur : 57.1 cm

Largeur : 7.1 cm

Largeur : 39.7 cm

Largeur : 37.4 cm

Largeur : 35.8 cm

Largeur : 29.8 cm

Epaisseur : 1.9 cm

Epaisseur : 2.5 cm

Epaisseur : 5.6 cm

Poids : 58 kg

Ruche à cadres mobiles fabriquée d'après un modèle inventé par Mr Layens ( vers 1900 ) en Belgique. Ruche horizontale de forme parallépipédique surmonté d'un toit. la ruche est divisée en trois sections : une section centrale haute et deux sections latérales réduites (afin de diminuer la capacité). possédait également 20 cadres (manquants) de 1905 dit "modèle automatique". Ruche en bois constituée d'un corps principal couvert d'un toit à deux pans, d'une planche coulissante servant de fond et d'un caisson central dans lequel sont placés treize cadres mobiles. L'ensemble des faces extérieures de la structure principale est peint en argenté. Le corps principal est de section rectangulaire, sur quatre pieds rectangulaires. Au milieu de chaque petit côté, une poignée métallique fixée par une plaque vissée. En partie inférieure, deux rails en bois permettent de faire coulisser la planche 2002.132.69.2, de section rectangulaire, qui sert de fond. Elle est composée de deux planches fixées dont l'une beaucoup plus petite. Sur la face antérieure en bordure inférieure, est fixée une planchette en ressaut, aux bords arrondis. Sur cette petite étagère et contre la paroi de la face antérieure est fixée une plaque de métal dont le bord inférieur est dentelé, ce qui permettait aux abeilles d'entrer dans la ruche. Deux plaques métalliques, dont une -2002.132.69.1.3- est détachable et l'autre -2002.132.69.1.4- est fixée par un clou, servaient à fermer cette ouverture. Elles coulissaient derrière la plaque dentelée. Le couvercle de ce corps figure un toit à deux pans posé sur une structure de plan rectangulaire. Le toit est couvert d'une tôle métallique clouée. Le bord inférieur des parois est caractérisé par quatre planches clouées en légère saillie. Sur l'une des longues faces, une perforation circulaire au centre et sur l'autre quatre perforations circulaires formant un losange. Ces cinq ouvertures sont grillagées en face intérieure. A l'intérieur de la ruche, la partie centrale est ouverte vers le fond, et les deux parties latérales sont deux caisses de bois vides qui ne s'ouvrent pas. Dans l'espace ouvert se plaçait le caisson 2002.132.69.3.1. Il est de section rectangulaire avec un bord inférieur légèrement saillant et un bord identique placé légèrement sous le bord supérieur. La face antérieure présente deux perforations circulaires en moitié supérieure et une fente en partie inférieure. La face postérieure présente deux perforations identiques à celles de la face antérieure. Ces quatre ouvertures sont fermées de grillages métalliques en face intérieure. La face postérieure présente un chiffre peint au pochoir. L'ensemble des faces extérieures est peint en gris. On note un fil de fer torsadé sur l'angle supérieure antérieur gauche. A l'intérieur du caisson central se placent les treize cadres mobiles numérotés 2002.132.69.3.3 à 2002.132.69.3.15 de gauche à droite. Ils sont identiques, en planchettes de bois clouées. La planchette supérieur déborde des deux côtés, ce qui permet de la poser sur le rebord intérieur du caisson. Sur ce rebord, des clous en forme de U inversés permettent de caler les cadres. Dans leur partie inférieure, les cadres sont calés par des clous gainés de perles en plastique bleu. Ce caisson central présente un couvercle de section rectangulaire avec des bordures verticales. Deux planches de section rectangulaire ont été retrouvées avec la ruche. Elles présentent chacune sur une de leurs faces une vis saillante. L'une d'elle voit son long côté bordé d'une petite plaque de contre-plaqué rectangulaire. Elles se plaçaient sur les rails du fond coulissant afin de le caler. / Ancienne description :

Don: Nino Masetti