mât de manège

1997.1.65.1-7

Description

Fer, façonné, assemblage emboité, ajouré, peint

Bois, coupé, poli, assemblage emboité, ajouré, peint

Papier plastique, moulé, assemblage emboité, peint

Corde, tressé

Fil électrique, tressé

Cuivre, façonné, moulé

Fil électrique, façonné, moulé

Métal, façonné, assemblage emboité

Fonte, moulé, assemblage emboité

Diametre : 28 cm

Le mât du manège de Nogent (1997.1.65.1) est composé de quatre pieds, d'un mât cylindrique central et d'un mécanisme tournant. Le mât est supporté par quatre pieds en bois, de forme rectangulaire et peints en vert foncé. Deux des pieds (1997.1.65.2 et .3) sont désolidarisés. Les deux autres pieds sont boulonnés à des supports métalliques soudés au mât. Les pieds sont également maintenus par une barre métallique de forme rectangulaire boulonnée à ces supports. Cette barre est percée à plusieurs reprises et elle est ajourée avec une pièce métallique en forme de croix. A la base de chaque pied, on trouve une équerre vissée, qui servait à fixer le mât au sol du manège. Au quart de ces derniers, on trouve aussi des pièces métalliques en forme de U vissées. Sur un des pieds, on trouve une pièce métallique boulonnée avec deux vis et percée à deux reprises. Sa fonction n'a pas pu être déterminée. Sur l'autre pied, on trouve quatorze cavaliers en plastique dans lesquels passent deux câbles électriques, dont un muni d'un système de quatre patins. On trouve également deux crochets. Le mât est composé de deux tubes cylindriques en fer peints en vert foncé. Ils sont emboîtés l'un sur l'autre au niveau de la partie supérieure, au dessus du mécanisme tournant. Les tubes sont creux. La base du premier tube est ajourée par une pièce métallique, à laquelle est soudée une proéminence, utilisée pour emboîter le mât au sol du manège. Le sommet du deuxième tube est ajouré. L'ouverture permet l'emboîtement d'une pièce métallique peinte en vert foncé (1997.1.65.6). Cette pièce est constituée d'un axe central autour duquel on trouve deux pièces métalliques cylindriques ajourées (l'une est plus grande que l'autre). Enfin, au bout, on trouve un tube cylindrique. Au centre, le mât est encerclé par le mécanisme tournant. Ce mécanisme est d'abord constitué de trois anneaux métalliques vissés sur quatre supports en bois, eux-mêmes fixés par des équerres à une partie métallique cylindrique centrale. Cette partie métallique cylindrique centrale ressemble à une roue. Elle est constituée de deux plaques métalliques au centre desquelles on trouve des pièces de bois rectangulaires, disposées de manière régulière. Entre chaque pièce de bois un espace est laissé. Au dessous, une deuxième roue métallique est fixée à cette première. Elle a une envergure plus importante et est ajourée. Elle est constituée de deux barres métalliques de forme cylindrique, entre lesquelles on trouve des barreaux. Sur le dessus, on trouve quatre crochets servant à accrocher des tiges métalliques ainsi que trois blocs de bois boulonnés. Ils sont disposés en arc de cercle et constitués de trois parties de taille différentes, emboîtées de la plus grande à la plus petite. Chaque bloc est percé à son sommet, entre la deuxième et dernière partie. Ces trous permettent le passage de tiges métalliques qui actionnent l'engrenage protégé par ces blocs de bois et placé autour du mât. A un des crochets de la roue centrale (la première) est accrochée, grâce à un anneau, une tige métallique peinte en vert foncé. L'extrémité de celle-ci est de forme arrondie, style crochet. Deux poutres en bois dont la fonction n'est pas déterminée (1997.1.65.4 et .5). Sur la première (.4), on trouve une encoche centrale qui servait à emboîter une autre pièce du manège. Cette partie est consolidée par une plaque métallique boulonnée à la poutre. La poutre possède enfin une pièce de renfort en bois, fixée à l'aide d'un support. Un deuxième support se trouve à l'extrémité de cette pièce de renfort mais sa fonction reste indéterminée. Il pourrait s'agir d'une pièce horizontale maintenant les pieds du manège à l'écartement souhaité. Sur la deuxième (.5), on trouve également une encoche centrale, consolidée par une plaque métallique. Sur cette plaque, on trouve trois trous. Deux d'entre eux permettent l'insertion de deux pièces métalliques. On trouve enfin deux anneaux et deux encoches aux deux extrémités de la poutre et tout au long de celle-ci dix cavaliers en plastique. Enfin un morceau de poutre en bois peint en vert foncé (1997.1.65.7) dont la fonction et l'emplacement originel reste à déterminer. Dans un sachet : deux écrous, une plaque métallique carrée, deux boulons, un tire-fond muni de deux rondelles, une rondelle et une plaque métallique ectangulaire avec encoche.