machine à coudre
1993.28.2.1-4
Description
Singer
Bois, taillé, vernis
Fonte, moulé, assemblage emboité
Fer, moulé, assemblage emboité
Fonte, moulé, assemblage fixe
Fer, moulé, assemblage fixe
Fil électrique, coupé
Plastique, moulé, assemblage fixe
Toile, coupé, cousu
Caoutchouc synthétique, coupé
Feutre, découpé
Hauteur : 103 cm
Largeur : 61 cm
Largeur : 8 cm
Epaisseur : 1.8 cm
Epaisseur : 0.2 cm
Poids : 70 kg
Machine à coudre composée d'une partie inférieure en fonte, d'un plateau en bois et de la machine à coudre fixée sur le plateau métallique. La partie inférieure est caractérisée par quatre pieds se rejoignant en partie centrale pour former des montants parallèles ajourés. Ils présentent deux grandes perforations carrée aux angles arrondis. Entre les deux espaces ajourés, la marque est visible en lettres elles aussi ajourées. Les deux pieds parallèles sont reliés par une barre de section rectangulaire vissée, sur laquelle est fixée la pédale. Celle-ci est ajourée de formes ovales et en son centre de la marque en lettres ajourées. Une autre barre de section rectangulaire renforce la stabilité de l'ensemble, elle est vissée vers la face postérieure de la machine, au niveau de la partie centrale des pieds présentant les lettres ajourées. Cette barre est elle-même renforcée par deux plus petites barres en biais partant de l'extrémité postérieure des pieds. Sous le coin postérieur droit de la planche de bois, le système de transmission des mouvements de la pédale vers la machine à coudre. Il est relié à la pédale par une petite chaîne en fer passant par le coin postérieur droit de la plaque ajourée. La chaine est reliée à un petit axe et à deux ressorts, qui transmettent eux-mêmes à une petite turbine de moteur, reliée à une poulie. Sur cette poulie, une bande de caoutchouc qui est reliée à deux roues à l'extrémité droite de la machine, et qui l'actionnent. Précisement sous la plaque de la machine à coudre, un compartiment en plaques de métal noir, dans lequel est placé un journal imprimé. Une manette, à l'extrémité ovale, est relié à un axe qui pénètre dans le compartiment, dont l'usage n'est pas visible. La planche de bois est de section rectangulaire aux angles arrondis. Dans sa partie antérieure droite est fixée la plaque de fer, de section rectangulaire aux angles arrondis. La machine y ets fixée par deux charnières, qui devaient permettre de la soulever. Cette dernière présente une forme coudée. Elle est en fonte de fer et peinte en noir avec des inscriptions en doré de la marque. Plusieurs manettes sont visibles sur les côtés et deux dévidoirs sont présents, sous la forme de tiges métalliques, sur le sommet de la machine. Celui de droite présente deux rondelles de feutre noir, numérotées 1993.28.2.4.1 et 1993.28.2.4.2. On note plusieurs plaques métalliques gravées vissées sur la machine. Autour de l'une d'elle, peinte en bleu sur sa bordure, étaient fichées de petites plaques métalliques repliées, dont certaines sont dans le sachet accompagnant l'oeuvre et d'autres dans la sac en toile verte 1993.28.2.2. Sur la face postérieure de la machine se trouve une lampe dont l'ampoule - encore existante - est protégée par un boîtier en métal noir. Elle est reliée, par un fil électrique marron torsadé, à une prise située sur le moteur. Une autre prise est visible sur le moteur, d'où part un fil électrique noir. Derrière la machine, fichée dans le bois, une tige de bois moulurée. Dans l'angle postérieur droit, une tige métallique sur une base circulaire en caoutchouc reçevait la bobine de fil 1993.28.2.3. Celle est constituée d'un tube de carton gris sur lequel est enroulé du fil bleu. Deux rails métalliques situés dans le coin antérieur gauche de la face inférieure du plateau en bois servaient à placer un tiroir disparu. Le petit sac de toile verte 1993.28.2.2 est de forme rectangulaire et présente un petit ruban clair permettant de l'attacher à un crochet de la face antérieure du montant vertical de la machine. Il contient des lames de rasoir, ainsi que des aiguilles. Elles sont de section rectangulaire avec deux perforations ovales.
Don: Colette Abramowicz-Sandler