Livre - Recherches historiques et littéraires sur les danses des morts et sur l'origine des cartes à jouer
1B EAP 22
Description
Livre
V. Lagier
Peignot Gabriel 1767 - 1849
Presentation materielle : LX-[2]-367-[1] p.
Dimensions : in-8
TABLE DES MATIÈRES, V TABLE DES DIVISIONS DE L’OUVRAGE RECHERCHES SUR LES DANSES DES MORTS, LVII INTRODUCTION ou DISCOURS PRÉLIMINAIRE sur l’histoire des Danses des Morts en général; sur cette question particulière: ont-elles été connues des anciens ? sur l’origine présumée et le but de ces sortes de Danses dans le moyen âge; avec l’énumération de celles qui, exécutées en grand sur des monumens publics, depuis le XIVe siècle, sont parvenues à notre connoissance AVERTISSEMENT relatif aux recherches sur l’origine et l’histoire des Cartes à jouer, publiées à la suite des recherches sur les Danses des Morts, LVII PREMIÈRE PARTIE. DE LA DANSE DES MORTS PEINTA , ET DE LA DANSES DES MORTS PAR M I. La Danse des Morts de Bâle et celle d’Holbein sont totalement différentes, et n’ont de commun que le fond du sujet II. Description parallèle de la Danse de Bâle et de celle d’Holbein, p. 26 III. Notice des éditions de la Danse des Morts dessinée par Holbein et gravée d’après ses dessins5, p. 2 IV. Notice des éditions de la Danse des Morts de Bâle dessinée et gravée par Mérian, p. 69 DEUXIÈME PARTIE. DE LA DANSE MACABRE I. Conjectures sur l’origine de la Danse Macabre, et sur l’étymologie du mot Macabre, p. 77 II. Notice des éditions de la Danse Macabre, p. 93 TROISIÈME PARTIE. DE LA DANSE AUX AVEUGLES ET DES ÉDITIONS QUI EN ONT ÉTÉ PUBLIÉES I. De la Danse aux Aveugles par P. Michaut dit Taillevnt, p. 127 II. Notice des éditions de la Danse aux Aveugles, p. 135 QUATRIÈME PARTIE. DES ANCIENS LIVRES D’HEURES SUR LES MARGES DESQUELS ON A GRAVE LA DANSE DES MORTS Notice descriptive de plusieurs anciens livres d’Heures où se trouvent la Danse des Morts et d’autres pièces analogues, p. 141 CINQUIÈME PARTIE Notice de quelques ouvrages, tableaux et gravures, isolés, qui ont rapport, soit à la Danse des Morts, soit à la Mort personnifiée, p. 179 ANALYSE DE RECHERCHES SUR LES CARTES À JOUER, p.199 AUTEURS qui ont écrit sur les Cartes à jouer199 ANALYSE de leurs recherches. – Le P. MENES, p. 205 ANALYSE de leurs recherches. – Le P. DANIEL, p. 205 ANALYSE de leurs recherches. – L’abbé BULLET, p. 209 ANALYSE de leurs recherches. – Le baron de ANALYSE de leurs recherches. – L’abbé BLLI, p. 219 ANALYSE de leurs recherches. – L’abbé RIVE, p. 220 ANALYSE de leurs recherches. – COURT DE G, p. 227 ANALYSE de leurs recherches. – B, p. 239 ANALYSE de leurs recherches. – JANSEN, p. 256 ANALYSE de leurs recherches. – M. OTTLEY, p. 266 ANALYSE de leurs recherches. – M. SING, p. 269 REFLEXIONS sur les analyses précédentes, et détails sur quelques jeux de Cartes modernes, p. 283 ADDITIONS, p. 307 DANSES DES MORTS. – Notices supplémentaires de quelques gravures relatives à la Mort personnifiée (V. cinquième partie de l’ouvrage), p. 307 CARTES À JOUER. – Supplément à l’article du P. DANIEL, p. 312 Opinion de SAINT-FOIX sur les Cartes à jouer, p. 314 Détails supplémentaires soit sur la dénomination, soit sur la forme des figures de certains jeux de Cartes, p. 317 TABLE DES MATIÈRES, p. 325 TABLE DES MATIÈRES A, p. 9 AEMILIUS (Georgius), auteur d’inscriptions latines pour la Danse des Morts, cité p. 9, 57, 59 ALBERT II, roi des Romains, p. 9 ALBERT-DURER, célèbre graveur. Son Manége, ou le Cheval de la Mort, p. 186 ALDEGRAFF (Henri), graveur, cité p. 191 Allégorie sur la Mort, p. 324 Allemands (Les) inventeurs des cartes à jouer, selon M. Heincken, p. 215 ALPHONSE XI, roi de Castille, prohibe les cartes à jouer vers 1332, p. 223, 261 AMASTON (M.), des académies de Dijon, Besançon, etc., cité p. 291 AMEDEE VIII, duc de Savoie, permet différens jeux, pourvu que le gain que l’on fera soit employé en collations; et les cartes, à condition qu’on jouera seulement des épingles avec les dames, p. n.242 AMMON (Jost), graveur, cité p. 279 Anciens (Les) ont-ils connu les Danses des Morts ? p. XIII Anciens (Les) Ont-ils représenté la Mort sous la forme d’un squelette ? p. XIV Anciens (Les) Ont-ils fait danser la Mort ? p. XVIII ANTOINE de Worms, graveur, cité p. 280 Apocalypse (Figures très-anciennes de l’), p. 258 Arabes (Les) introduisent les cartes à jouer en Europe, selon Breitkopf, p. 242 ARGINE, dame de trèfle, anagramme de Regina, selon le P. Daniel, p. 208 ARGINE, Étymologie celtique de ce nom, selon Bullet. p. n.208 Armoiries. Origine des costumes que l’on voit sur les cartes, p. n.249 Arts (Les) se lient ensemble dans leur origine, et en produisent de nouveaux; leurs premiers inventeurs sont inconnus, p. 233, 236 As dans le jeu de cartes. ce mot expliqueé par le P. Daniel. p. 206 As dans le jeu de cartes. ce mot expliqueé Par Bullet, p. n.206 Atous du jeu de tarots, expliqués par Court de Gebelin, p. 2 -231 Atous du jeu de tarots, Autre explication ironique donnée par un anonyme, p. n.231, 232 B, p. 279 Bal (Le Grand-), gravure exécutée en 1500; fragment représentant le duc et la duchesse de Bavière jouant aux cartes, p. 279 Bâle (Description de la ville de) par Aenéas Sylvius, p. 11 BARANTE (M. de). Sa narration de la Danse des Morts de Paris, p. XXXIII BARTSCH (M.), auteur allemand d’ouvrages estimés sur les peintres et graveurs, p. n., 272, 274, 279 BASAN père. Sa collection d’estampes cités p. 54 BAUDOT (M.), de l’académie de Dijon, possesseur d’un riche cabinet. Livres d’Heures du XVIe siècle, qui eu font partie, p. 170, 173 BAUDOUIN de Condé, auteur d’une pièce de vers: Les trois Morts et les trois V, p. 100 BAVEREL (L’abbé), auteur de Notices sur les Graveurs, p. 148 BAYARD, grand capitaine, figure dans les nouvelles cartes royales, p. 292 BEDFORT (Le duc de). Notes chronologiques sur la naissance et la mort de ses parens, et de plusieurs princes et rois des XIVe et XVe siècles, inscrites sur le superbe Breviarum ad usum Sarum, p. n.175, 176 BENAM (Hans Sebalde), graveur. Ses ouvrages ou figures de la Mort, p. 190 BERGERET de Frouville perd une somme considérable au jeu, p. n.304 BERNARD (Le Petit) ou Salomon, graveur en bois, cité p. 191, 192 BERNARDIN (S.) prêche avec tant de succès, que les Sicurois brûlent tous les instrumens de jeu, p. 261 BERNARDIN (S.) Erreurs de M. Jansen à ce sujet, p. n.261 (L’abbé Xavier). Son poëme sur les cartes à jouer, p. 219 Biograuniverselle (Passage de la) relatif à la Danse de village et à la Danse des Morts par Hoein. p. 16, 17, 18 BLANCHE de Castille, mère de S. Louis, figure dans les nouvelles cartes royales, p. 292 Bollandistes, cités au sujet de S. Bernardin, p. n.261 BOou Brs (Corneille), graveur, cité p. 191 BOUDOT (M.), amateur de recherches, etc., cité p. XXXVII (Notice sur l’origine de la famille du célèbre), p. 175 BRAS-DE-FER (Le soldat). Son explication morale et dieuse du jeu de cartes, p. 281 , imprimeur et auteur allemand. Analyse de son Essai sur l’origine des cartes à jouer, p. – , et passim ad usum Sorum, superbe manuscrit enrichi de miniatures, avec des notes sur la naissance et la mort de plusieurs princes des XIV.e et XVe siècles, p. 173 Briefs, mot allemand qui signifie lettres; c’est ainsi que s’appellent les cartes à jouer en Allemagne, p. 216 Briefmaler, nom allemand qui signifie peintres de cartes, p. 217, 258 B (M.). Son Manuel du Libraire cité p. n., p. 10, 63, 181, 265, 269 B (Théod. de), graveur. Son Triomphe de la Mort, p. 192 BELLET (L’abbé), auteur de recherches savantes sur l’origine des cartes à jouer, cité p. n.; p. n.; p. n.206, 207, 208 BELLET (L’abbé), Analyse de ses recherches, p. 209, 214 BELLET (L’abbé), Il place l’origine des cartes vers 1575, p. 211 BELLET (L’abbé), Réfuté par M. Singer, relativement à la signification du mot p. 213, 273 BSABOTTI, antiquaire, cité p. n.XIV (M. le chanoîne), auteur de Lucerne et ses entirons, p. XLIII BYFIELD (M.), graveur anglais, cité p. 270 C, p. 324 CAMYS (Arm.-Gast.), cité p. 324 Cupol, terme du jeu de piquet. Etymologie celtique de ce mot, selon Bullet, p. n.207 Carreaux, l’une des quatre couleurs du jeu de cartes. Leur explication par le P. Daniel, p. 206 Carreaux, l’une des quatre couleurs du jeu de cartes. Leur explication Par l’abbé Bullet, p. n.206 Caricatures anglaises. Leurs défauts, p. 181, 182 Carrousel donné par Louis XIV en 1662, p. n.255 Cartes à jouer (Analyse de recherches sur les), p. 199 Cartes à jouer Avertissement sur cette analyse, p. LVI Cartes à jouer (Silence des conciles, des SS. pères, des princes et des auteurs de romans, sur les) jusqu’au XIVe siècle, p. 210 Cartes à jouer (Silence des conciles, des SS. pères, des princes et des auteurs de romans, sur les) Leur origine doit avoir été très-antérieure aux édits, ordonnances et statuts qui les ont prescrites, p. 286 Cartes à jouer. Mention par ordre chronologique des ouvrages où il en est question: dans les statuts du synode de Worcester, en 1240 (très-douteux), p. 241 Cartes à jouer. Dans un manuscrit de Pipozzo di Sandro, de 1299, p. 240, 255, 272 Cartes à jouer. Dans le Jeu d’Or, livre allemand, en 1500, p. 217 Cartes à jouer. Dans le Roman du Renart le contrefait, en 1328, p. 262, 244, 271 Cartes à jouer. Dans les statuts de l’ordre de la Bande, établi par Alphonse XI, roi de Castille, vers 1552, p. 223, 241 Cartes à jouer. Dans l’histoire de Petit-Jehan de Saintré, en 1367, p. n.211 Cartes à jouer. Dans les statuts de Ferdinand V, roi de Castille, vers 1574, p. 241 Cartes à jouer. Dans un édit de Jean I.er, roi de Castille, en 1387, p. 210, 241 Cartes à jouer. Dans un compte de Charles Poupart, en 1392, p. 203 Cartes à jouer. Dans une chronique de Giov. Morelli, de 1392, p. 222, 260 Cartes à jouer. Dans une ordonnance du prévôt des marchands de Paris, en 1397, p. 211 Cartes à jouer. Dans un synode de Langres, tenu en 1414, p. 211 Cartes à jouer. Inventées par les Allemands, selon M. Heineken, p. 215, 222 Cartes à jouer. Inventées par les Allemands, et M. Jansen, p. 257 Cartes à jouer. Inventées Par les Arabes, selon Breitkopf, p. 242 Cartes à jouer. Inventées Par les Asiatiques, vraisemblablement, selon M. Singer, p. 273 Cartes à jouer. Inventées Par les Egyptiens et peut-être par les Chinois, selon Court de Gebelin, p. 234 Cartes à jouer. Inventées Par les Espagnols, selon l’abbé Rive, p. 222 Cartes à jouer. Inventées Par les Français, selon le P. Menestrier, p. 203 Cartes à jouer. Inventées Par les Français, selon le P. Daniel, p. 205 Cartes à jouer. Inventées Par les Français, selon l’abbé Bullet, p. 211 Cartes à jouer. Inventées Par les Français, selon le comte de Tressan, p. 221 Cartes à jouer. Inventées Par les Français, et beaucoup d’autres, p. 257 Cartes à jouer. Inventées Par les Italiens, selon l’abbé de Longuerue, p. 222 Cartes à jouer. Inventées Par Laurent Coster, selon . de Vigny, p. 257 Cartes à jouer. Elles passent, selon l’abbé Bullet, de France en Espagne, p. 212 Cartes à jouer. Elles passent, selon l’abbé Bullet, d’Espagne en Italie, p. 213 Cartes à jouer. les Anglais les reçoivent des Français, p. 213 Cartes à jouer. Elles passent, selon Court de Gebelin, des Chinois aux Égyptiens, des Égyptiens aux Italiens, des Italiens en Allemagne et en Provence, p. 234 Cartes à jouer. Elles passent, Selon Britkopf, elles viennent des Arabes, et de là passent aux Espagnols, des Espagnols aux Italiens, des Italiens aux Français, p. 242 Cartes à jouer. Les croisés du XIIe siècle ne les ont point apportées de l’Orient, p. 273 Cartes à jouer. Elles ne sont point connues en Angleterre avant 1400, mais elles le sont avant 1464, p. 273 Cartes à jouer. Leur matière substantielle, p. 254 Cartes à jouer. en papier de coton, p. 255 Cartes à jouer. en papier de chiffons ou carton, p. 255 Cartes à jouer. Elles ont d’abord été peintes, p. 212 Cartes à jouer. Elles ont d’abord été peintes, ensuite peintes pour les grands et imprimées pour le peuple, p. 254 Cartes à jouer. Elles ont d’abord été peintes, remplacées par des feuilles d’arbre, p. 213 Cartes à jouer. Elles ont d’abord été peintes, fabriquées en feuilles d’argent, avec les figures dorées, p. , n.; Cartes à jouer. Elles ont d’abord été peintes, faites en cuir, p. 255 Cartes à jouer. Elles ont d’abord été peintes, en ivoire et rehaussées d’or, p. 277 Cartes à jouer. Leur commerce très-considérable au milieu du XVe siècle, p. 217 Cartes à jouer. Explication de leurs figures, par le P. Monestrier, p. 204 Cartes à jouer. Explication de leurs figures, Par le P. Daniel, p. 206, 207, 209 Cartes à jouer. Explication de leurs figures, Par l’abbé Bullet, p. 212 Cartes à jouer. Explication de leurs figures, Par Court de Gebelin, p. 236 Cartes à jouer. Explication de leurs figures, Par un anonyme, p. n.251, 252 Cartes à jouer. Inventées avant le règne de Charles VII. Elles ont pu, selon M. Singer, éprouver alors les changemens qui les ont rendues telles qu’on les voit aujourd’hui, p. 273 Cartes allemandes. Les noms des couleurs prouvent, selon M. Heineen, que ces cartes sont les premières qui ont vu le jour, p. 215 Cartes Elles ont extrêmement varié pour la forme et pour les figures, p. 274 Cartes Jeu complet d’anciennes cartes allemandes gravées en bois, p. 277 Cartes Fac-simile de plusieurs cartes allemandes, p. 280 Cartes anglaises. On n’en a point fabriqué dans la Grande-Bretagne avant le XVIIe siècle, p. 265 Cartes espagnoles. Elles sont, selon Court de Cebelin, un diminutif du jeu des tarots, p. 233 Cartes Les cartes françaises, selon le même auteur, sont une imitation des cartes espagnoles, p. 236 Cartes de fantaisie, p. 293-298 Cartes à rire, p. 297 Cartes instructives, p. 299 Cartes musiciennes, p. 298 Cartes républicaines, p. 288-290 Cartes royales, p. 291, 292 Cartes en tableaux, p. 296 Cartes de Francfort à figures doubles, sur chaque carte, p. 322 Cartiers (Les) d’Allemagne sont les premiers graveurs en bois, p. 257 Cartiers (Les) de Venise demandent, en 1444, au sénat le privilége exclusif de fabriquer des cartes, p. 217, 260, 268 Catalogue de la bibliothèque de M. Lancelot (Détails sur le), p. n.262 Catalogue de la bibliothèque de M. Renouard, cité p. 63, 181, 281 Catalogue des livres imprimés sur vélin, de la bibliothèque du Roi, cité p. 107, 108, 117, 168 Catalogue des livres rares de la bibliothèque de M. le duc de la Vallière, cité p. 99, 102, 143, 225 CATELU (Dominiq. de), traducteur des Épitres dorées d’Ant. de Guévare. Cette traduction est tronquée selon Rive, p. 223 CESAR (Triomphes de) gravés sur les marges de la plupart des livres de prières au XVIe siècle, p. 153, 154 CHAMPOLLION-FICEAC, auteur d’une bonne dissertation sur la première édition connue de la Danse Macabre, avec rimes françaises, p. 93-97 CHAMPOLLION-FICEAC, cité p. n.IX, 18, 180 Changemens survenus dans les figures et les couleurs des cartes, selon Breitkopf, p. 248, 253 Changemens Selon M. Singer, p. 273 Changemens Au temps de la république française, p. 287 Changemens Depuis la restauration, p. 291 Chanoines de la Sainte-Chapelle de Dijon. Singulier privilége dont ils jouissoient du temps des ducs de Bourgogne, p. n.XXXVIII CHARLEMAGNE (L’empereur) figure dans les nouvelles cartes royales comme dans les anciennes, p. 291 CHARLES V. Son édit de 1369 ne parle point nominativement de cartes à jouer, p. 210 CHARLES VI. Cartes inventées sous son règne, selon plusieurs auteurs, p. 205 CHARLES VI. Le lansquenet introduit en France sous ce roi, p. 258 CHARLES VII passionné pour les ballets; mot de la Hire à ce sujet, p. n.249 CHARLES VII Le jeu de piquet inventé sous le règne de ce prince, p. 205 CHARLES VIII donne, en 1439, la noblesse à la famille de Jeanne d’Arc, p. n.102 CHARLES X donne, en 1825, une pension à la veuve du dernier rejeton de la famille de Jeanne d’Arc, p. n.103 CHARREY (M. de), de l’académie de Dijon, cité p. 333 Charta usoria, recueil d’anciennes cartes à jouer, rare et curieux, p. 279 Chartreuse de Dijon, fondée en 1383, p. XL CHAUCER, ancien auteur anglais, p. 273 Chinois (Monument) relatif au déluge, p. 233 Chinois Il pourroit, selon Court de Gebelin, avoir quelque rapport aux tarots, p. 234 Chinoises (Cartes). On en voit repésentées dans l’ouvrage de Breitkopf, p. n.247 Chinoises (Cartes). Dans l’ouvrage de M. Singer, p. 279 CHOVIN, graveur. Son nom se lit au bas de la plupart des gravures de la Danse de Bâle, par Mériau, p. 33, 45 Christianisme (Le) rend la mort plus redoutable que le paganisme, p. XXIV CHRISTIE (M.), auteur anglais. Ses recherches sur les échecs, p. 273 CHRISTOPHE (Image de S.) portant l’enfant Jésus, première gravure en bois connue avec une date, p. 254 CHRISTOPHE (Image de S.) Sa description, p. n.268 CHRISTOPHE (Image de S.) (Note. On trouvera dans la traduction du Voyage bibliographique, etc., de M. Dibdin en France, par MM. Licquet et Crapelet, Paris, 1825, 4 vol. in-8., g.; on trouvera, disons-nous, des détails intéressans sur cette gravure et sur celle du même genre qui existe au cabinet des estampes, à Paris. V. le tom. III du Voyage en question, traduit, ainsi que le IVe, par M. Crapelet, pp. 99-106 Ce bel et curieux ouvrage n’ayant paru qu’après l’impression du passage de nos recherches qui regarde la gravure du S. Christophe, nous sommes forcé l’indiquer ici sommairement ce renseignement.) Chronique ancienne d’Utm, portant que le commerce des cartes à jouer étoit jadis considérable dans cette ville, p. n., p. 217, 260 Chronique de Provence, par César Nostradamus, citée p. 262 Chronique de Giov. Morelli, de 1393, où l’on appelle les cartes naibi, p. 222, 260 CHRYSOSTOME (S.), cité p. 59, 60 Cimetière des Innocens, à Paris. Danse des Morts qu’on y établit en 1424, p. 83 Cimetière des Innocens, Détails sur ce cimetière, p. 84-88 Cimetière des Innocens, Supprimé en 1785, et exhumations en 1787-88, p. 85, 86 Coeurs, couleur dans les cartes à jouer. Expliquée par le P. Menestrier, p. 204 Coeurs, couleur dans les cartes à jouer. Expliquée Par le P. Daniel, p. 206 Coeurs, couleur dans les cartes à jouer. Expliquée Par l’abbé Bullet, p. n.206 COLLAERT (Adrien), graveur, cité p. 191 COLOMS (Christophe). Son codicille, écrit de sa main sur ses Heures de la Vierge, pièce curieuse; autres détails sur ce navigateur, p. n.176 Complainte de l’ame dampnée, piece de vers ajoutée aux Danses des Morts. Détails sur cette pièce, p. 107 Corps (Le) et l’ame, pièce de vers, par M. François de Neufchâteau, p. 106 COSTER (Laurent), donné (ridiculement) comme l’inventeur des cartes à jouer, par M. de Vigny, p. 257 Couleurs (Les quatre) des cartes allemandes différent par le nom, des cartes françaises, p. 216 Couleurs Explicacation des couleurs du jeu des tarots par Court de Gebelin, p. 233 Couleurs Changement des couleurs épée, coupe, denier et bâtons, en pique, coeur, trèfle et carreau, p. 248, 251 COURT DE GEBELIN. Analyse de sa dissertation sur le jeu de tarots, p. 227-239 COURT DE GEBELIN. Son interprétation des figures de ce jeu, p. 229-231 COURT DE GEBELIN. Son explication des couleurs, p. 232 COURT DE GEBELIN. Son système rapporté par Breitkopf, p. 244 COXE (M.). Extrait de ses Lettres sur la Suisse, p. – CRAPELET (M.), célèbre imprimeur de Paris, traducteur des tomes III et IV du Voyage bibliographique, etc., de M. Dibdin en France. (V. dans la présente table, au mot CHRISTOPHE.) Cras, mot latin singulièrement employé au concile de Constance, p. n.XL Crusco (Dictionnaire de la), cité sur le trappola, p. n.259 CYPRIEN (S.). Sermon, etc., p. 69, 60 CYPRIEN (S.). Ne fait nulle mention des cartes a jouer dans son traité des jeux D, p. 204 Dames (Les quatre) du jeu de cartes. Explication historique de leur dénomination, par le P. Menestrier, p. 204 Dames Par le P. Daniel et l’abbé Bullet, p. 208 Dames Par Court de Gebelin, p. 236 Dames Par un anonyme, p. n.252 DANIEL (Le P.). Sa dissertation sur l’origine du jeu de piquet, sous Charles VII, p. 205 DANIEL (Le P.). Supplément à cet article, p. 312-314 Danses des Morts (Définition de ce qu’on entend par), p. 1, 2 Danses des Morts Motifs qui doivent exciter la curiosité sur cet objet, p. IX-XII Danse de Morts (Découverte d’une) du temps des Romains, p. XVIII-XXII Danses des Morts peintes en grand sur des monumens publics, p. XXXI Danses des Morts À Amiens (incertaine, sans date), p. XLVII Danses des Morts à Anneberg, en 1525, p. XLI Danses des Morts à Bâle, vers 1441, p. XXXIX Danses des Morts à Berne (sans date), p. XLII Danses des Morts à Dijon, en 1436, p. XXXVII Danses des Morts à Dresde, en 1524, p. XLI Danses des Morts à Erford (sans date), p. XLII Danses des Morts à Leipsick (sans date), p. XLII Danses des Morts à Lubeck, en 1465, p. ; Danses des Morts à Lucerne (première Danse, sans date), p. XLII Danses des Morts à Lucerne (seconde Danse, sans date), p. XLV Danses des Morts à Lucerne à Minden, en 1383, p. XXXII Danses des Morts à Lucerne à Paris, en 1424, p. XXXII Danses des Morts à Lucerne à Rouen (incertaine), p. XLVII Danses des Morts à Lucerne à Strasbourg (sans date), p. XLVII Danses des Morts (Ouvrages qui ont paru sur les): par M. Champollion-Figeac, p. IX, 93-97 Danses des Morts (Ouvrages qui ont paru sur les): par M. Hilscher, p. n.;XLI, 91 Danses des Morts (Ouvrages qui ont paru sur les): par M. Mellen, p. XLI Danses des Morts (Ouvrages qui ont paru sur les): par Mérian, p. 6-11, 73-75 Danses des Morts (Ouvrages qui ont paru sur les): par M. Raymond, p. IX, 145-147, 166-168 Danses des Morts (Ouvrages qui ont paru sur les): par Rive (mais seulement en projet), p. n.;X Danses des Morts (Ouvrages qui ont paru sur les): par M. Seblott, p. XLI Danse des Morts (Véritable), p. 327, 331, 332 Danses des Morts (Les) gravées sur des livres d’Heures, sont antérieures à la naissance d’Holbein, p. 50 Danse des Morts, brodée ou découpée sur un fond noir, p. XXXIX Danse des Morts peinte à Bâle. Son exécution, p. n. ;XXXIX, 5-12 Danse des Morts peinte à Bâle. ses restaurations, p. 9, 10 Danse des Morts peinte à Bâle. sa destruction, p. 10 Danse des Morts peinte à Bâle. Auteurs qui en ont parlé: M. Coxe, p. 18-21 Danse des Morts peinte à Bâle. M. Ebel, p. 16 Danse des Morts peinte à Bâle. M. Picot, p. 15 Danse des Morts peinte à Bâle. M. Raond, p. 19 Danse des Morts peinte à Bâle. M. Reichard, p. 16 Danse des Morts peinte à Bâle. M. Sinner, p. 12-14 Danse des Morts peinte à Bâle. la Biographie universelle, p. 16, 17 Danse des Morts de Bâle, dessinée et gravée par Mérian, p. 10 Danse des Morts de Bâle, Ses diverses éditions, p. 71-75 Danse des Morts (La) dessinée par Holbein, n’a rien de commun avec la Danse de Bâle, p. 17, 21-25 Danse des Morts (La) Ces deux Danses comparées, et leur description parallèle, p. 26-47 Danse des Morts (La) Edition de la Danse d’Holbein, p. 52 Danse des Morts (La) Celle de 1530, gravée par Lutzelburger, p. 52 Danse des Morts (La) Autres, p. 55-62 Danse des Morts (La) Par Hollar, p. 63 Danse des Morts (La) Par Ch. de Mechel, p. 65 Danse des Morts (La) Autres en allemand, p. DESSINS.)67, 68 Danse Ma. Sa définition, p. 77 Danse Ma. Dans quelle langue ont d’abord été écrits les vers qui l’accompagnent, p. 78-80 Danse Ma. Diverses éditions que l’on en a publiées, p. 93-126 Danse Ma. Gravée dans le Monastanglic., p. 180 Danse Macabre des hommes. Détails sur l’édit. de 1485, de cette Danse, p. 93-97 Danse Macabre Sur l’éd. de 1786, p. 97-99 Danse Macabre des femmes. Détails sur l’édition du 1486, de cette Danse, p. 104-107 Danse Macabre Sur l’édition de 1491, p. 112-113 Danse Macabre des hommes et des femmes. Détails sur l’édition de 1499, p. 114 Danse Macabre Sur d’autres éditions, p. 120-125 Danse aux Aveugles (l’Amour, la Fortune et la Mort), p. 127-137 Danse aux Aveugles Détails sur cette Danse et citations, p. 129-134 Danse aux Aveugles Editions qui en ont été publiées, p. 135-137 Das guldin spiel (le Jeu d’Or), ancie livre de 1472, qui fait remonter l’origine des cartes en Allemagne à 1300. Cité par Heineken, p. n.;217 Das guldin spiel (le Jeu d’Or), ancie livre de 1472, qui fait remonter l’origine des cartes en Allemagne à 1300. Cité par Breitkopf, p. 240 Das guldin spiel (le Jeu d’Or), ancie livre de 1472, qui fait remonter l’origine des cartes en Allemagne à 1300. Cité par Jausen, p. 258 DAVID et Betabée (Histoire de) en vers, gravée et ornant un livre de prières du XVI. siècle, p. 171, 172 Débat de l’ame et du corps, pièce de vers ajoutée aux Danses des Morts. Détails sur cette pièce, p. 103-105 DECEMBRIUS (Candidus), cité p. 248 DELANDINE, savant bibliographe lyonnais, cité p. 136 DEMURS (M.), savant allemand, cité p. 22, 23, 36 DE PAS, peintre-dessinateur, cité p. 310 Des (les) et autres jeux de hasard, proscrits par les conciles et ordonnances, p. 210, 211 DEY de Troyes. Ses vers latins sur la Danse des Morts, p. 17, 18, 89, 91, 107, 108 DEY de Troyes. Détails sur ses ouvrages, p. 109 Dessins originaux de la Danse d’Holbein, leur nombre, p. 20 Dessins Leur dimension, p. 21, 22 Dessins Où ont-ils été p. 23, 24 Dessins Quel a été leur sort, où sont-ils ? p. 24 Dessins Gravés par Hollar, p. 20, 21 Dessins Par Lutzel. burger, p. 23 Dessins Des collections de ces dessins sont mentionnées dans le cabinet du comte Rigal, p. 53 Dessins Dans la collection de M. Otho, p. 54 Dessins Dans le catal. de Basan, p. 54 Dessins Dans le Manuel de l’amateur d’estampes, par M. Joubert, p. 54, 55 D (M. Th.-Frogn.), savant bibliographie anglais, cité p. n., X, 57 D (M. Th.-Frogn.), savant bibliographie anglais et au mot CHRISTOPHE, de cette table D (A.), graveur, cité p. 63 Dit, nom donné à quelques anciennes pièces de poésie, p. 102 D MAR (Henri), peintre, cité p. 186 Divination par les tarots et par les cartes, p. 237, 275 Doctrinal de Court, date singulière de ce livre, p. 128 D (Roger), auteur du Monastican anglicanum, p. 180 DOCE (M. Francis), savant amateur des arts en Angleterre. Sa découverte d’un manuscrit du XIVe siècle, où se voient des cartes dans une miniature, p. 271, 272 DOCE (M. Francis), Il possède un jeu de cartes en cinq séries, p. 274 DOCE (M. Francis), des cartes orientales sur ivoire, p. 277 DO (Lambert), éditeur d’une édition de la Danse aux Aveugles, p. 137 DCANGE (Ch. Dufresne). Il ne se décide pas sur le passage du synode de Worcester, de 1240, relatif aux cartes, p. n., 241, 265 DECHESSE aîné (M.) visite les cabinets d’estampes d’Angleterre, p. n.271 DECHESSE aîné (M.) Y découvre dans la collection de M. Douce, un alphabet grotesque, et dans celle de M. Wilson, 14 cartes gravées en 1466, p. n.271, 272 DALS (Guill.), auteur du Monast. anglic, p. 180 DALS (Guill.), de l’Historis Ecclesia S. Pauli, etc., p. 181 DULAURE (M.). Son opinion sur la Danse Macabre de Paris, p. n.83, 84 DULAURE (M.). Passage de sa Description des curiosités de Paris, sur des peintures et inscriptions au charnier des Innocens, p. 84-86 DEPUY (M.) combat l’opinion de Rive, sur les preuves de son système relatif à l’origine des cartes en Espagne, p. 224, 225 DE (M.), auteur du traité de la Passion du jeu, cité p. n.303, 304 D. Sa Bibliothèque française citée p. 89 E, p. 16 E (M.) se trompe sur la Danse de Bale, dans son Manuel du Voyageur en Suisse, p. 16 Échecs (Le jeu des) est, selon Court de Gobelin, moins ancien que celui des tarots, p. 237 Échecs A passé, selon Breitkopf, ainsi que le jeu de cartes, des Indiens aux Arabes, p. 245 Échecs Ses rapports, selon le même auteur, avec le jeu de cartes, p. 249, 250 Échecs M. Siger et M. Christie pensent de même, p. 273 Écoles de peinture romaine, florentine, lombarde, vénitienne, flamande, française; et liste chronologique des principaux peintres qui les ont illustrées, p. n.8 Égalité. Nom donné aux figures qui ont remplacé les valets dans les cartes républicaines, p. 289, 290 Enfant prodigue (Parabole de l’) en vers et en gravures, sur un livre de prières, p. 156 Égyptien (Le jeu des tarots), selon Court de Gebelin, p. 228-232 Enfer, nom d’une salle où l’on donnoit à jouer, p. 303 ÉRASME. Sa déclamation sur la Mort, p. 59 ÉRASME. A parlé des vers ajoutés aux Danses des Morts, p. 90 Espagnols, inventeurs des cartes à jouer, en 1332, selon Rive, p. 222, 225, 241 Espagnols, Leur passion pour le jeu de cartes; ils en faisoient avec des feuilles d’arbres, p. 213 Étymologie de différens mots, tels que: Argine, p. 208 Étymologie n. – Capot, p. 207 Étymologie Cartes, p. 255 Étymologie Judic, p. n.208 Étymologie Macabre, p. 81, 82 Étymologie Mat, 233 Étymologie Naïpes, p. autre, p. n.222, 235 Étymologie Pagad, p. 233 Étymologie Pic et repic, p. n.206 Étymologie Tarots, p. n., et 232, 233, 244 EUGENE IV (pape). Le concile de Bâle s’ouvre sous son pontificat, p. 6 F, p. 217 Fabrication (Ancienne) des cartes, selon M. Heincken, p. 217 Fabrication Selon Breitkopf, p. 254, 255 Fabrication Selon Millin, p. 283 FABRICIUS (J. Alb.) parle d’un poëte nommé Mer; son erreur, p. 17, 90 FABRICIUS (J. Alb.) Cité p. 72 FELIX V, élu pape au lieu d’Eugène IV, au concile de Bâle, p. 9 FICORU, antiquaire, cité p. n.XIV Figures des cartes expliquées par un anonyme, p. 251, 252 Figures des cartes expliquées Par Bullet, p. 212 Figures des cartes expliquées Par Court de Gebelin, p. 236 Figures des cartes expliquées Par le P. Daniel, p. 207-209 Figures des cartes expliquées Par le P. Menestrier, p. 204 Figures des cartes de tarots des différens siècles, dans Breitkopf; leur description, p. 246, 247 Figures Dans M. Singer, p. 276-280 Figures Leur explication par Court de Gebelin, p. 229-232 FINIGUERRA (Maso), inventeur de la gravure en taille-douce, vers 1445, p. 267 FINIGUERRA (Maso), Mentionné p. 278 Fleurs. Nom que l’on donnoit jadis à l’une des quatre couleurs des cartes, qu’on nomme maintenant trèfle, p. 218 Fleurs de lis se trouvent sur les cartes de presque toutes les nations de l’Europe, p. 226, 227 Forschneider, tailleur de formes, nom des graveurs qui faisoient des moules en bois pour les cartes à jouer, p. 217, 258 Fortune, l’un des personnages de la Danse aux Aveugles; strophes anciennes sur ses caprices, p. 131 FOURNIER (typographe). Erreur dans sa dissertation sur la gravure en bois, p. n.48, 49 Fous. Nom que portoient jadis les figures des cartes appelées maintenant valets, p. 218 Français (Les) inventeurs des cartes à jouer, selon le P. Menestrier, p. 203 Français (Les)inventeurs des cartes à jouer, selon Le P. Daniel, p. 205 Français (Les)inventeurs des cartes à jouer, selon L’abbé Bullet, p. 212 Français (Les)inventeurs des cartes à jouer, selon Et beaucoup d’autres, p. 257 FRANÇOIS Ier, roi de France, figure dans les nouvelles cartes royales, p. 292 FRÉDÉRIC (André), auteur allemand d’un ouvrage intitulé Emblêmes nouveaux, etc., où figure la Mort, p. 307 FRLICS (Huld.), autour de la description d’une Danse de Morts peinte à Berne, cite p. XIIII FUESSLI cite une édition de la Danse de Bâle de 1621, p. n., 10, 69, 70 G, p. 188 GAZZI, graveur, cité p. 188 GABCILASSO de la Vega, historien espagnol, cité p. n.255 GARZONI, auteur italien, cité p. 246, 248 GARZONI, Détails sur sa Piazza universale, p. n.259 Génie, remplaçant les rois dans les cartes républicaines, p. 268-290 GIZLE (Jacquemart), auteur du Roman du Renart (nouvel), p. Nota. Le premier auteur du Roman du Renart est Perros de Sainct Clost, Pierre de Saint-Cloud. )263 GIOLITO (Gab.) donne une édition ital. des épîtres dorées d’Ant. de Guevare, en 1558, p. 223 GIOLITO (Gab.) Autre édition de 1547, citée par M. Dupuy, p. 224 GIROLAMO (Le marquis de), amateur italien, possesseur d’un ancien jeu de cartes curieux, p. 283 GORI, antiquaire, cité p. n., XIV, XV, XVIII GOU (M.), antiquaire anglais, possesseur d’un jeu complet d’anciennes cartes anglaises, gravées en bois, p. 277 GOUJET (L’abbé). Sa Bibliothèque française, citée p. 129, 137 GRAND D’AUSSI (Le), cité p. n., 263, 264 Gravure en bois. Sa découverte attribuée aux Allemands, vers 1400, p. 257, 268 Gravure en bois. Breitkopf la fait remonter aux Egyptiens, p. 254 Gravure en bois. M. Ottley aux Chinois, p. 266, 267 Gravure en bois. M. Jansen partage l’histoire de ce genre de gravure en deux époques, p. 257 Gravure en taille-douce, découverte en Italie, attribuée à Maso Finiguerra, orfèvre de Florence, vers 1445, p. 267 Grelots ou sonnettes, l’une des couleurs des cartes allemandes, p. n.216, 246 Grelots Ces grelots pourroient venir du costume des princes allemands au XIIe siècle, p. n. , 247, 258 GRINGONNEUR (Jacquemin), fabricant de cartes à Paris, dans le XIVe siècle, p. 203 GUBITZ, graveur en bois, cité p. 80 GUERIN (M.me), veuve Coustellier, citée p. n.263 GUEVARE (Ant. de), évêque de Mondonedo. Ses Epitres dorées, où il est question des statuts de l’Ordre de la Bande, proscrivant les cartes en 1332, p. 223 GUEVARE (Ant. de), Editions et traductions des Epitres dorées, p. 225 GUEVARE (Ant. de), Cité p. 261 GUILLAUME (M.), des académies de Besançon et de Dijon. Sa lettre relative à des Heures imprimées en 1508, et à la Danse de Bâle attribuée à Holbein, mentionnée p. LIII GUILLAUME (M.), Rapportée p. 3, 4 GUTERRY, médecin navarrois. Sa traduction des Epitres de Guevare, éditions de 1556, 1558, 1565, 1570, 1573. – Rive s’appuie de cette traduction pour attribuer aux Espagnols l’invention des cartes à jouer, p. 224 GUTERRY, Combattu par M. Dupuy, p. 224, 225 H, p. III Habillement des femmes au XVe siècle (Détails de l’), p. III HECTOR, valet de carreau. Note historique sur cet individu, p. n.207 HEINEKEN (Le baron de). Son opinion sur l’origine des cartes à jouer, qu’il attribue aux Allemands, p. 215-218 HEINEKEN (Le baron de). Cité p. n., 258, 259, 324 HENRI IV. Son séjour à Dijon en 1595, p. n.XXXVIII HENRI IV. Il figure dans les nouvelles cartes royales, p. 292 HERICART DE THURY (M.). Sa description des exhumations du cimetière des Innocens, à Paris, citée p. 85, 86 Heures (Livres d’) sur les marges desquels on a gravé la Danse des Morts, p. 141, 144-173 Heures (Livres d’) Comment elle y est placée, p. 144 Heures (Livres d’) Heures latines du roi Réné d’Anjou, manuscrit précieux, p. 174 Heures (Livres d’) Heures manuscrites anciennes, ornées de miniatures, servant de modèles aux Heures imprimées depuis et enrichies de gravures, p. n.142 HILDECADE, femme de Charlemagne, figure dans les nouvelles cartes royales, p. 291 HILSCHER (Paul.-Christ.). Son ouvrage sur la Danse des Morts de Dresde, cité p. XLI HILSCHER (Paul.-Christ.). Ce livre et ses autres productions (sur Adam, etc.), mentionnés p. n.91 Histoire des cartes à jouer (Moyens proposés pour faire une nouvelle), p. 283-285 HOLEIN n’a point connu de Danse de Morts chez les anciens, p. n.XXII HOLEIN Détails sur celle qu’il a composée et dessinée en petit, p. 21, 22, 26-47 HOLEIN elle n’a rien de commun avec celle de Bâle, qu’il n’a ni peinte ni dessinée, p. 11, 12, 15 HOLEIN Il n’a peint à Bâle qu’une Danse de paysans, p. 15 HOLEIN Description de sa Danse des Morts, comparée avec celle de Bâle par Mérian, p. 26-45 HOLEIN continuation de celle d’Holbein, p. 45-47 HOLEIN Il a été marié; son portrait, celui de sa femme et de ses enfans, p. 49 HOLEIN Diverses éditions de sa Danse, p. 52-69 HOLEIN avec les gravures d’Hollar, p. 63 HOLEIN avec celles de Mechel, p. 65 HOLEIN Editions en allemand, p. 67, 68 HOLEIN Oeuvres d’Holbein par Mechel, p. 66 HOLEIN Cité p. 280 HOLLAR (Winceslas). Détails sur ce graveur, p. n.20, 21 HOLLAR (Winceslas). A gravé les dessins d’Holbein, p. 23 HOLLAR (Winceslas). Indication de ceux qu’il a choisis, p. 26-46 HOLLAR (Winceslas). Editions de cette Danse avec les mêmes dessins, p. 63 HOLLAR (Winceslas). A gravé la Danse Macabre du Monast. anglic., p. 180 Homme noir peint au charnier des Innocens, au XVe siècle, et retrouvé au XVIII.e, indice d’une Danse Macabre, p. 84, 89 HORACE, cité p. n., XII, XVII Hore Christifere Virginis Marie, etc., édition de 1508; sa description, pp. 149-163 Hore Christifere Virginis Marie, Détails des histoires gravées qui ornent ce volume, p. 150 HOUBICANT, fabricant de cartes, cité p. 291 H, graveur de Bâle. Ses portraits d’Holbein, de sa femme et de ses enfans, p. 49 H, Ceux d’Erasme, de Froben, de Th. Morus, d’Amerbach, de Meïer, etc., gravés par le même Hubuer, p. 50 HUGUES-CAPET, roi de France, meurt de la peste en 996, p. XXVIII HYDE (M.), savant anglais. Son Historia schachitudii, citée p. 273 I, p. 57 Imagines Mortis (Danses des Morts). Différentes éditions, p. 57, 59, 60, 62 Imagines Mortis (Danses des Morts). Sans fig., p. n.62 Impression. Ce mot employé pour la fabrique des cartes, avant l’invention de l’imprimerie, p. 218 Imprimerie. Opinion de M. Singer sur son origine, p. 275 Inscription trouvée au charnier des Innocens, et qui doit avoir appartenu à une Danse de Morts, p. 85-88 IOLAT, graveur, cité p. 148 Italiens, inventeurs des cartes à jouer, selon M. l’abbé de Longueruc, p. n.222 Italiens, Et M. Ottley, p. 268 J, p. 283 JACOBELLO del Fiore, dessinateur. Il peut être auteur du jeu de cartes anciennes appartenant au marquis de Girolamo, p. n.283 JANSEN (Henri). Analyse de son opinion sur l’origine des cartes à jouer, p. 256-265 JANSEN (Henri). Cité p. .22 JEAN, duc de Berry, oncle de Charles VI, fait sculpter l’histoire des trois Morts et des trois Vifs, p. 103 JEAN I.er, roi de Castille. Son édit de 1387 défend les dés et les cartes, p. 210 JEANNE D’ALBRET, mère de Henri IV, figure dans les nouvelles cartes royales, p. 292 JEANNE D’ARC. Ses armoiries, p. 102 JEANNE D’ARC. Elle meurt le 30 mai 1431; le chantre licencieux de la Pucelle meurt le 30 mai 1778, p. 103 JEANNE D’ARC. Charles VIII et Charles X sont les bienfaiteurs de sa famille, p. 103 JEANNE D’ARC. Elle est désignée sous le nom de Pallas dans le jeu de cartes, selon le P. Daniel, p. 208 JEANNE D’ARC. Combattu par l’abbé Bullet, p. n.208 JÉSUS-CHRIST (Vie de) en vers et en gravures ornant un livre de prières du XVIe siècle, p. 162 JEU du roi et de la reine, prohibé en 1240; ce jeu regarde-t-il les cartes ou les échecs ? p. 241 Jeu (Passion du) avant la révolution, p. n.303 Jeux de cartes (Indication de quelques) détaillés par Bullet, p. 213, 214 Jeux de cartes (Indication de quelques) détaillés Par M. Singer, p. 276 Jeux de cartes (Indication de quelques) détaillés Nomenclature des jeux de cartes, tant anciens que modernes, en usage en France, p. 299-301 JOHANNEAU (M. Eloi) applique aux cartes à jouer une expression de Papias, grammairien grec du XIe siècle, p. n.244 JOINVILLE (Sire de) figure dans les nouvelles cartes royales, p. 292 JORIO (M. André de) donne la description d’une Danse de Morts du temps des Romains, p. XVIII-XXII JOSEPH (Histoire en vers du patriarche), avec des dessins ornant un livre de prières, p. 154-156 JOUBERT (M.). Son Manuel de l’amateur d’estampes cité p 54 Joueurs aux cartes surpris par la Mort (Gravure représentant des), p. 280 JUDIC. Erreurs de l’abbé Bullet sur l’étymologie celtique de ce mot, p. 208 JUDITH, dame de coeur; qui elle désigne selon le P. Daniel, p. 208 K, p. 9 KLABER (Hugues), peintre. Il n’a pas peint, mais restauré la Danse de Bâle, p. 9, 13, 16 Knave, nom donné par les Anglais aux valets du jeu de cartes, p. 213, 273 Knecht, nom donné par les Allemands aux mêmes valets, p. 213 KRUC (Lucas), graveur, cité p. 190 L, p. 82-84 LABARRE, cité pour le Journal de Charles VI et Charles VII, sur la Danse Macabre de Paris, p. 82-84 LABELLE (Etienne), graveur. Son Empire de la Mort, cité p. 188 LACROIX DU MAINE et Duverdier. Leurs Bibliothèques françaises citées p. 129, 137 LA HIRE, valet de cœur. Note historique sur l’individu dont ce valet porte le nom, p. 207 LA MARCHE (Olivier de). Détails sur son Triomphe des Dames, p. 109 LA MARCHE (Olivier de). Sur ses autres ouvrages, p. 110 LA MARCHE (Olivier de). Sur sa vie, p. 109-110 LA MONNOYE (Bernard de). Il attribue le dessin de la Danse des Morts à un nommé Macabre; il ignore l’origine de cette Danse, p. 89, 90, 136 LANCELOT (M.). Détails sur le Catalogue de sa bibliothèque, p. n.262, 263 LANCELOT (M.). Il a eu grande part aux Mémoires sur le Dauphiné, de M. de Valbonnais, p. n.263 LANCELO, valet de trèfle. Note historique sur l’individu dont ce valet porte le nom, p. n.207 LANGLOIS (M. E.-H.), habite dessinateur à Rouen, cité p. XIVII Lansquenet (Le), le plus ancien de tous les jeux de cartes, selon M. Heineken, p. 215 Lansquenet (Le) Selon Breitkopf, p. 253 Lansquenet (Le) Et selon M. Jansen, p. 258, 262 LE GENDRE (L’abbé) attribue l’invention des cartes aux Lydiens, opinion ridicule, p. 210 Lengua castellana (Diccionario de la), cité sur le mot naïpes, p. 222 LE NOIR (M. Alexandre) cité pour une statue de la Mort en albâtre, p. n.86 Liberténom donné aux figures qui ont remplacé les dames dans le jeu de cartes républicain. p. 288-290 Libraires-imprimeurs de Paris qui se sont distingués dans la publication des livres d’Heures avec gravures, aux XV.e et XVIe siècles, p. 142 LONGUERUE (L’abbé de) attribue l’origine des cartes à jouer aux Italiens, p. n.222 LOUIS IX figure dans les nouvelles cartes royales, p. 292 LOUIS XI veut faire périr Olivier de la Marche, p. n.110 LOUIS XII. Sa couronne d’or apportée à Dijon, p. n.XXVIII LOUIS XIV. Ses différens séjours à Dijon, p. n.XXXVIII LOUIS XIV. Carrousel qu’il donne en 1662. p. 235 Lucerne. Description de ses Danses des Morts, p. XLIII-XLVII LUTHER (Martin). Origine duschisme qu’il fomenta, p. 166 LUTZELBURGER (Hans), appelé Franck, a gravé les dessins d’Holbein, p. 23 LUTZELBURGER (Hans), Son chiffre méconnu par Papillon, p. 41 LUTZELBURGER (Hans), Mentionné p. 56 LIDGAIE, auteur d’une traduction anglaise de la Danse des Morts, p. 179 M, p. 77-79 Macabre, nom donné aux premières Danses des Morts, soit peintes, soit accompagnées d’un texte ou inscriptions. Quelle est l’origine de ce nom ? p. 77-79, 108-109 Macabre, Recherches sur son étymologie, p. 80-82 MAGDELEINE (Citation du poème de la), p. 318-320 MALHERBE, poète français, cité p. XII MALTE-BRUN (M.). Ses Annales des Voyages citées p. 185 MANTEGNA (André), graveur sous le nom de qui est connu un ancien jeu de cartes, p. n.283 MARCHANT (Guill.), très-ancien libraire-imprimeur de Paris, n’est point auteur de la Danse Macabre, p. 99, 108 MARGUERITE de Valois figure dans les nouvelles cartes royales, p. 292 MARIETTE, amateur d’estampes. Sa riche collection citée p. 56, 188 MAROT (Michel) ne peut être auteur des rimes françaises ajoutées aux Danses des Morts, p. 91, 92 MAZOCH (M.), possesseur d’une Danse des Morts peinte, p. 185-186 MECHEL (M. de). Son édition de l’oeuvre d’Holbein, p. 17, 66 MECHEL (M. de). Grave la Danse des Morts du même, p. 21, 65 MECHEL (M. de). Cité p. 280 MECHEL (M. de). Indication des dessins de cette Danse qu’il a gravés, p. 26-46 MECHELN (Israël de), graveur, cité p. 276 Médaille portant d’un côté des roses et de l’autre une tête de mort, frappée à Bâle, p. XL MEERMAN. Ses Origines Typographicoe, citées p. 211 MELLEN (Jac.-A.), auteur allemand, cité p. XLI MENESTRIER (Le P.). Sa Bibliothèque curieuse, où est son opinion sur l’origine des cartes à jouer, p. 103-105 MERIAN (Matth.). Extrait de la préface de son édition de la Danse de Bâle, 1649, p. 6-11 MERIAN (Matth.). Quand a-t-il dessiné et gravé cette Danse ? p. 10, 69, 70 MERIAN (Matth.). Description très-détaillée de cette Danse comparée avec celle d’Holbein, p. 26-47 MERIAN (Matth.). Diverses éditions de la même Danse de Bâle, p. 69-75 MESANGERE (M. de la), cité pour son Dictionnaire des Proverbes, p. 249 MEUSEL (M.), auteur allemand, cité p. 268 MEYER (Rodolphe et Conrad), graveurs. Leur Danse des Morts, p. 67 MICHAUT dit Talevent (P.), auteur de la Danse aux Aveugles, p. 127-129 MILLIN (M.) donne l’explication de trois bas-reliefs représentant une Danse des Morts ancienne, p. XIX-XXII MILLIN (M.) Il se trompe en attribuant la Danse de Bâle à Holbein, p. n.XXII MILLIN (M.) Extraits de son Dictionnaire des Beaux-Arts, relatifs aux cartes à jouer, p. n.282 MONTFAUCON, antiquaire, cité p. n.XIV Mort (La), principal personnage dans les Danses qui font l’objet de cet ouvrage, p. 2 Mort (La), Les anciens ne l’ont jamais représentée sous la forme d’un squelette, p. XIV Mort (La), Sous quels symboles ils la représentoient, p. XXII, XXIII Mort (La), Personnifiée dans différens tableaux, gravures, etc., p. 179-193, 307-312 Mort (La), Strophes anciennes sur la Mort, p. 132, 133 Mort (La), Strophes de Malherbe sur le même sujet, p. XII Morts (Les trois) et les trois Vifs, pièce de vers ajoutée aux Danses des Morts; détails sur cette pièce, p. 99-104 Morts Leur histoire peinte sur des livres d’Heures, p. 102 Morts Sculptée sur la porte de l’église des Innocens, à Paris, p. 103 Morts Mentionnée p. 112, 115, 119, 121, 173 Morts Avec deux inscriptions, p. 170 M (M. de), savant allemand, cité p. n.259, 265, 268 N, p. 213 Naibes ou naibi, nom donné aux cartes par les Italiens, p. 213 Naibes ou naibi, Il provient des Espagnols, qui, selon Rive, leur ont transmis les cartes, p. 222, 260 Naipes, nom donné aux cartes par les Espagnols, p. 212 Naipes, Origine de ce nom, selon Rive, p. 222 Naipes, Cité par Breitkopf, qui le fait venir de l’hébreu, p. 242 Naipes, Cité a faux par Jansen, p. 261 NESSON (Pierre de). Son testament en vers, p. 138 NEUBRONNER (M.) cite un manuscrit d’lm, qui prouve que les cartes y étoient connues en 1397, p. n.257 Nombre XVII, réputé malheureux chez les Romains, p. n.XXIII Noms des cartes dans les différentes langues; M. Singer les a donnés dans son bel ouvrage, p. 274 NORMAND (M.lle Le). Ses Souvenirs prophet. cités p. n.282 NOSTRADAMUS (César de). Sa Chronique de Provence, citéo p. 262 Notes généalogiques et historiques, manuscrites, portées sur des livres de prières, p. 173-176 Notes Sur la famille Bouhier, p. 173 Notes Sur Réné d’Anjou, p. 174 Notes Sur la famille des de Châtillon, p. 174 Notes Sur les parens du duc de Bedfort, au XIVe siècle, p. n.175-176 Notes savantes répandues dans l’ouvrage de Bullet sur les cartes à jouer; indication des principales, p. 214 NUREMBERG (Chronique de). On y trouve une Danse des Morts, p. 189 O, p. 9 OECOLAMPADE (Jean). Il étoit représenté à la suite de la Danse de Bâle, p. 9 OGIER, valet de pique. Note historique sur l’individu dont ce valet porte le nom. p. n.207 Orayson en l’honneur de la Royne de Paradis, en coplets, p. 164 Orayson Aultre orayson en françois, à Dieu le père, p. 165 Ordre de la Bande établi par Alphonse XI, roi de Castille, vers 1332. Ses statuts prohibent les cartes à jouer, selon Rive, p. n.223, 225 Orientales (Cartes), peintes sur ivoire, p. 277 OIHO (M.), de Leipzick. Sa collection d’estampes citée p. 54 OTTLEY (M.), savant anglais. Ses recherches sur l’origine de la gravure, p. 266-269 OTTLEY (M.), Cité p. 278 OVIDE, cité p. XVI P, p. 208 PALLAS, dame de pique, désigne Jeanne d’Arc selon le P. Daniel, p. 208 PALLAS, Bullet combat cette opinion, p. n.208 Panoplin, ouvrage où l’on déctous les états, cité p. 259 Panoplin, Avec le nom de son auteur, Schopper, p. 279 PAPIAS le Lombard, grammairien grec du XIe siècle, se sert d’un mot qu’on pourroit appliquer aux cartes, selon M. Eloi Johanneau, p. n.243 PAPILLON (L’abbé). Sa Bibliothèque de Bourgogne, citée p. 129 PAPILLON, auteur d’un Traité de la gravure en bois, cité p. n. , 20, 22, 25 PAPILLON, Absurdités de cet auteur, p. 47-51 PAPILLON, Sa description de la Danse d’Holbein, p. 26-46 PAPILLON, Ses détails sur l’édition de cette Danse de 1549, p. 58 PAPILLON, Sur l’édition de 1562, p. 60, 61 PAPILLON, Sur celle de 1490, p. 108 PAPILLON, Sur un livre d’Heures de 1502, p. 147 PAPILLON, Cité p. 240 Parques (Les trois). Leurs attributs, p. XVII PASQUIER (Les Recherches des Recherches de), citées p. n.261 PAUL (S.), cité p. n.XVI PAYSANS découvrant une Danse des Morts du temps des Romains, p. XVIII-XXII Patrons découpés pour les cartes, p. 265 Peintres (Principaux) des romaine, florentine, lombarde, vénitienne, flamande et française, p. n.8 Peinture à l’huile. Sa découverte, p. 7 Peinture de Boulogne de 1440, représentant des soldats jouant aux tarots, p. n.248, 260 PEPIN (Nicolas), inventeur, selon Rive, des cartes en Espagne, vers 1330, p. 222 Pestes (Les) et épidémies peuvent avoir été l’origine des Danses des Morts, p. XXVI Pestes Fameuse peste de 1346, p. n.XXVI, XXVII Pestes Différentes pestes remarquables de 954 à 1373, p. XXVIII Pestes Peste à Rome, l’an 364 avant Jésus-Christ, p. n.XXIX Pestes Singuliers effets de la peste de 1373. p. XXVIII PETR (François). Ses quatre Triomphes (des Muses, du Temps, de la Mort et de la Divinité). – Détails sur celui de la Mort, peint par Le Titien, gravé par Pomarède, p. 187, 188 PETR (François). Son De remediis atriusquae fortunae, cité p. 272 PETRONE. Passage de sasatyre, qui prouve que les Romains faisoient apporter un squelette sur la table dans leurs festins. p. XV PISTER (Albert), imprimeur à Bamberg. en 1462. p. 323 Pic, terme du jeu de piquet. Etymologie celtique de ce mot, selon Bullet, p. n.206 PICART (I.), graveur, cité p. 310 PICOT de Genève (M. J.) se trompe dans sa Statistique de la Suisse, sur la Danse de Ble, p. 15 PIERRE de Saint-Louis (Le P.). auteur du poëme de la Magdeleine, cité, et extrait de son poëme, p. 318 PIPOZZO di Sandro. Son manuscrit de 1299, où il est question des cartes, p. 240, 255, 272 PIPOZZO di Sandro. Zani doute de la véracité de ce monument, p. n. , 240, 241, 272, 260 PIPOZZO di Sandro. avec le titre de son manuscrit, p. 267 Piques, l’une des quatre couleurs des cartes à jouer Piques, Expliqués par le P. Daniel, p. 206 Piques, Par l’abbé Bullet, p. n.206 Piquet (Origine du jeu de), par le P. Daniel, p. 205-209 Piquet (Ballet du jeu de), exécuté sur le théâtre, en 1676 à Paris, p. 316 POLO MARCO et Nicolo Polo, célèbres voyageurs du XIIIe siècle. Auroient-ils apporté les cartes de la Chine ? p. 275 POUPART (Charles), trésorier du roi Charles VI, cité p. 203 Preces pioe, manuscrit où se trouve la Danse des Morts, p. 144 Prieres (Livres de) sans date, où se trouve gravée la Danse des Hommes et des Femmes; sa description, p. 143-147 Q, p. XLVII QUEIERE (M de la), auteur d’une description de Rouen, p. XLVII R, p. 301 RABELAIS, cité pour les jeux, p. 301 RACHEL, dame de carreau. Qui elle désigne. selon le P. Daniel, p. 208 RACHEL, Combattu par l’abbé Bullet, p. n.208 RAMOND (M.), traducteur des Lettres de Coxe sur la Suisse, cité p. 18, 19, 20, 56 RAMOND (M.), Sa description des ponts de Lucerne, p. XLIII RAOUL-ROCHETTE. Sa description des ponts de Lucerne, p. XLIII-XLVII RAYMOND (M.), cité p. n. , IX, 17, 18 RAYMOND (M.), Détail sur deux livres de prières où se trouve gravée la Danse des Morts, p 145-147, 166-168 REICHARD, auteur du Guide du Voyageur en Suisse, cité p. XLVII REICHARD Erreurs où il est tombé, p. 16 Religion (Les vérités de la) représentées au moyen âge par des images sensibles, p. XXV Renart le contrefait, roman qui prouve que les cartes étoient déjà connues en 1328. p. 262-264, 271 RENE D’ANJOU. Notices historiques le concernant, écrites sur ses superbes Heures latines, p. 174 RENE D’ANJOU. Son histoire par M. de Villeneuve-Bargemont, citée p. XXXIV RENOUARD (M.), célèbre libraire de Paris, auteur des Annales aldines, éditeur de beaucoup d’ouvrages classiques latins, français, etc. Le Catalogue de son riche cabinet, cité pour les dessins d’Holbein gravés par Hollar, p. 63 RENOUARD (M.), Pour la Danse des Morts de Rowlandson, p. 181 RENOUARD (M.), Pour l’ouvrage de M. Singer sur les cartes, p. 281 RENOUARD (M.), Pour la collection des jeux instructifs de M. de Jouy, p. 299 RICHOLES de Marginal, auteur d’une pièce de vers intitulée les trois Morts et les trois Vifs, p. 101 RIDINGER (J.-Jacq. et J.-Elie), graveurs, p. 333 RIGAL (M. le comte de), amateur d’estampes. Séries des dessins gravés de la Danse d’Holbein qu’il possédoit dans sa collection, p. 53 RIGAL (M. le comte de), Son Catalogue d’estampes, cité p. 54 Rimes ou inscriptions en vers allemands, ajoutées à la Danse des Morts, p. 9 Rimes Ces inscriptions ont-elles été primitivement en allemand, en latin ou en français ? p. 78 RIVE (L’abbé). Il a annoncé une Bibliographie des éditions de la Danse Macabre qui n’a jamais vu le jour, p. n.X RIVE (L’abbé). Son Essai sur l’art de vérifier l’âge des miniatures dans les manuscrits, cité p. 143 RIVE (L’abbé). Ses Notices sur divers romans de la bibliothèque du duc de la Vallière, p. 220 RIVE (L’abbé). Ses conjectures sur l’époque de l’invention des cartes à jouer, p. 220-227 RIVE (L’abbé). Ses Étrennes aux joueurs sur cette invention, p. 221 RIVE (L’abbé). Les Espagnols, selon lui, sont inventeurs des cartes à jouer, p. 223, 261 RIVE (L’abbé). Son système approuvé par Court de Gebelin, p. 256 Rois (Les quatre) du jeu de cartes; leur dénomination, p. 206, 209, 252 ROLAND figure dans les nouvelles cartes royales, p. 292 Romain (Le droit) permet le jeu pourvu que le gain soit destiné à un repas, p. n.242 Romains (Les anciens). très-superstitieux, p. n.XXIII Romains Plus familiarisés avec la Mort que les chrétiens et plus portés au suicide, p. XXIV ROMANCE (Dictionnaire de la langue), manuscrit, p. n.263 ROUCK (Thomas), auteur du Hérault des Pays-Bas, en hollandais. Il parle dans cet ouvrage des statuts de l’ordre de la Bande, qui proscrivent les cartes, vers 1332; inconnu à Rive, p. n.225 ROWLANDSON (Th.), dessinateur anglais. Sa Danse de la Mort, p. n.181, 182 ROWLANDSON (Th.), Sa Danse de la Vie, p. n.181 RUBENS, cité p. 20 RUSZING (Salomon de). Sa Danse des Morts, p. 68 S, p. 311 SADELER, graveur, cité p. 311 SAINT-FOIX (Poullain de). Son opinion sur les cartes à jouer. p. 314 Sainte-Chapelle (Eglise de la) de Dijon. Détails sur cet ancien monument, p. n.XXXVII SAINTRE (Petit Jehan de), récompensé parce qu’il ne jouoit pas aux cartes, en 1367, p. n.211 SAINTRE (Petit Jehan de), Cité p. 240 SANSORINO, auteur Dette origine de cavaliri, parle des statuts de l’ordre de la Bande, p. n.225 Sardoine représentant une tête de Mort avec inscription, p. XVI SCHELLESBERG, graveur. Sa danse des Morts, p. 68 SCHENCK (Pierre), graveur, cité p. 192 SCHLOTT (Nathanaël), auteur allemand. Son ouvrage sur la Danse de Lubeck, cité p. XLI SCHOEN (Martin), graveur. Cité pour des cartes rondes, p. 277 SCHOEN (Martin), Déjà mentionnées p. 274 SCHOPFER, auteur du Panoplia, p. 279 SCHULILS (I.-A.), cité p. 185 SCHWEICHAUSER (M.). Sa description de la Danse des Morts de Strasbourg, p. XLVIII-LII Sibylles (Les XII) ornant un livre de prières du XVIe siècle. Gravures et vers relatifs à chacune d’elles, p. 157-161 Sibylles Note sur les savans qui ont parlé des sibylles, p. 157-160 SICISMOND (L’empereur) protège les savans et les artistes, du temps du concile de Bâle, p. 6, 7, 9 SINCER (M. Samuel-Weller), auteur anglais. Ses recherches sur l’histoire des cartes à jouer, p. 269-282 SINNER (M.). Extrait de son Voyage historique, etc., relatif à la Danse de Bâle, p. 12, 13 SINNER (M.). Son erreur sur Klauber, p. 14 Solitaire du Mont-Sauvage, jeu de cartes de fantaisie, p. 294 SPENCER (Lord) possède les deux gravures précieuses du S. Christophe et de l’Annonciation, p. n.268 Squelette (Les anciens ne représentoient point la Mort comme divinité sous la forme d’un), p. XIV, XVII Squelette Ils faisoient apporter un squelette sur la table dans leurs festins, p. XIV Squelette Cet usage vient des Égyptiens, p. n.XV Squelettes de Cumes, expliqués et publiés par M. de Jorio, p. XIX Statue de la Mort sculptée en albâtre, p. n.85 STEEN (Jean), peintre hollandais. Son tableau de l’avare et de la Mort, p. 186 Strasbourg (Danse des Morts récemment découverte à), p. XIVIII SUEUR (Pierre Le), graveur, cité p. 193 SULLY, l’ami et le ministre d’Henri IV, figure dans les nouvelles cartes royales, p. 292 SWAINE, graveur anglais, cité p. 270 SYLVIUS (Aeneas), Piccolomini, pape sous le nom de Pie II, p. 11, 73 SYLVIUS (Ant.), graveur, p. n.110 T, p. 293 Tarock-Karte, jeu de fantaisie, p. 293 Tarots (Le jeu des) est, selon Court de Gebelin, un livre égyptien, p. 228, 232 Tarots En quoi il consiste, p. 228, 229 Tarots Etymologie de ce nom, p. 232, 244 Tarots Ce jeu considéré sous le rapport géographico-politico-moral, p. 233 Tarots Il peut venir, toujours selon Court de Gebelin, des Chinois, p. 233, 234 Tarots Comment il est passé des Égyptiens aux peuples modernes, p. 234 Tarots Ce jeu oriental, selon Breitkopf, n’a pas été inventé subitement, p. 245 Tarots Tel qu’il est, toujours selon Breitkopf, son origine est italienne, p. 247 Tarots Détails sur ce jeu, d’après Volateran, p. n.259 Tarots Anciennes gravures italiennes, attribuées à Finiguerra, que l’on croit représenter des cartes de tarots, p. 278 , cité à l’occasion du manuscrit de Pipozzo, de 1299. p. n.240, 282 , Cité relativement à Marco-Polo, p. 275 (Le), célèbre peintre. Son tableau du Triomphe de la Mort, d’après Pétrarque, p. 187 (Le), Son Chevalier armé, p. 188 Topographia Hel, par Mérian, p. 11 Tournois (Analogie entre les) et le jeu des tarots, p. 235 (Le), Tournois ou carrousel donné par Louis XIV en 1662. p. n.235 Trappola, jeu composé de très-anciennes cartes. En quoi il consiste, p. 246 Trappola, Figures qui représentent ces cartes, dans l’ouvrage de Breitkopf, p. n.246, 247 Trappola, Dans l’ouvrage de M. Singer, p. 278 Trappola, Originaire d’Italie, selon M. de Murr. p. 259 Trappola, Explication du mot trappola, p. n.259 Trappola, Il en existe un jeu complet chez le comte de Gersdorf, p. n.259 Trappola, Le trappola en usage dans le XIVe siècle, p. 272 Trèfle, l’une des quatre couleurs du jeu de cartes. Expliqué par le P. Daniel, p. 206 Trèfle, Au commencement du règne de Louis XIV, on donnoit encore le nom de fleurs à la couleur des cartes nommée maintenant trèfle, p. 318-320 TRESCHEL (Les frères Metch. et Gasp.), éditeurs des Silachres de la Mort, p. 56 TRESSIN (L’abbé de) prétend qu’un Vénitien apporta le premier en Europe, des cartes qui provenoient de la Chine; est-ce Marco Polo ? p. 274 TSE (Le comte de) fixe l’origine des cartes à jouer sous Charles VI, et en attribue l’invention aux Français, p. 221 Tri. Véritable signification de ce mot, p. n.XX Triomphe de la Mort, par Holbein, gravé par Hollar Triomphe Par Mechel, p. 65 Triomphe Triomphe de la Mort par Pétrarque, peint par Le Titien, gravé par Pomarède, p. 187 Tuchim, nom d’un chef de valeurs allemand, donné en 1561 aux valets du jeu de cartes, en Provence, p. 226, 240, 262 V, p. 207 Valets (Les quatre) du jeu de cartes. Explication historique de leur dénomination, p. n. , n.207, 252 Valets Ils se nommoient autrefois , connue ou le voit par le poëme de la Magdeleine du P. Pierre de S. Louis, p. 318-320 VALLOT (M. le docteur), de l’académie de Dijon, communique des renseignemens sur une Danse des Morts exécutée à Dijon, p. XXXVII VALLOT (M. le docteur), Sur une médaille siugulière frappée à Bâle, p. XXXIX VAN-EICK (Jean), inventeur de la peinture à l’huile, p. 7 VAN-PRAET (M.), savant bibliographe. Son opinion sur l’origine du mot Macabre, p. 81 VAN-PRAET (M.), Ses détails sur la pièce de vers les trois Morts et les trois Vifs, p. 100, 102 VAN-PRAET (M.), Sur le Choreu crimio Macabro, de 1490, p. 107, 108 VAN-PRAET (M.), Sur une autre édition de la Danse Macabre, p. 116 VAN-PRAET (M.), Sur les différentes espèces de vélin, p. n.117 VAN-PRAET (M.), Sur les manuscrits enrichis de miniatures, p. n.143 VAN-PRAET (M.), Sur un livre d’Heures, p. 168, 225 VAN-PRAET (M.), Découvre un monument précieux relatif à l’ancienneté des cartes, qui existoient déjà en 18, p. 262, 271 Velin (Différentes sortes de) employées dans l’impression des livres, d’après M. Van-Praet, p. n.117 Venise (Le sénat de) accorde, en 1441, aux cartiers de cette ville, le privilège exclusif de fabriquer des cartes à jouer, p. 217, 260, 268 VERARD (Antoine), ancien libraire de Paris, connu par un grand nombre d’éditions du XV.e et du XVIe siècle. p. n.116 Vertus (Les) terrassant les vices, dessins ornant un livre de prières, p. n.154 Vertus théologales, représentées avec inscriptions sur un livres d’Heures, p. 152 VILLARET, historien cité sur la Danse Macabre de Paris, p. 82 VILLARET, Sa narration réfutée, p. 83, 84 VILLENEUVE-BARCEMONT (M. de). Sa narration de la procession ou Danse des Morts de Paris, p. XXXIV VISCONTI (Phil.-Marie), duc de Milan, fait peindre un jeu de cartes qui coûte 1500 pièces d’or, p. 248, 254 VOLATERAN (Raphaël Maée, dit), cité p. 259 VOSTRE (Simon), imprimeur-libraire, à Paris, p. 4 VOSTRE (Simon), Ses éditions de livres de prières de , p. 147 VOSTRE (Simon), De 1508, p. 149 VOSTRE (Simon), Autre de 1508, p. 163 VOSTRE (Simon), De 1512, p. 166 W, p. 19 WALPOLK (Horace), écrivain anglais, cité p. 19 WALTER-SCOTT. sécond romancier écossais. Sa Danse de la Mort à la batai