Dimanche 14 juillet - Fermeture exceptionnelle du fort Saint-Jean à 16h

Nous vous informons que le fort Saint-Jean et l'accès à l'exposition « Des exploits, des chefs d'œuvres » seront exceptionnellement fermés à partir de 16h le dimanche 14 juillet.
Le musée et les expositions « Paradis naturistes », « Méditerranées », « Passions partagées » et « Populaire ? » resteront ouverts aux horaires habituels.

Livre - De Freinet à la lutte antifasciste

946 DIA

Description

Livre

Atelier de création libertaire

Diaz Marcel 1920 - ...

Presentation materielle : 1 vol. (106 p.)

Dimensions : 21 cm

Marcel Diaz est né en 1920, à Marseillan, dans l'Hérault. Ses parents se sont installés en France en 1916. Enfant, il préfère découvrir par lui- même ce qui l'intéresse, gambader dans la nature ou faire l'école buissonnière... La curiosité et la liberté le mènent ! Les circonstances de la vie font qu'il fréquentera, en 1930, l'école de Saint-Paul-de-Vence où Célestin Freinet est instituteur. Une rédaction de Marcel déclenchera bien malgré lui une émeute d'extrême-droite cléricaliste contre Célestin Freinet. De retour à Marseillan, la vie suit son cours jusqu'au jour où sa famille est expulsée vers l'Espagne, en 1934. Quand arrive la Révolution espagnole, en 1936, c'est avec le même esprit curieux qu'il se retrouve au coeur du conflit. Il rejoint la colonne CNT-UGT Torres-Benedito. Il a alors 16 ans. Il combattra sur le front de Teruel. Fait prisonnier à Alicante, il est interné au camp d'Albatera puis mit en prison dans le village familial... En 1945, il quitte clandestinement l'Espagne. Soixante-quinze ans après le début de la révolution espagnole, Marcel a voulu témoigner de cette période et celle de son adolescence et de son aventure révolutionnaire.

Introduction, p. 5 De Marseillan à Saint-Paul-de-Vence, p. 15 Vers l’Espagne, p. 25 Castellon de la Plana, p. 33 En souvenir de mes compagnons dans la galère de Tortajada, p. 41 En permission, p. 67 Qu’il serait dommage de mourir alors que la guerre touche à sa fin, p. 73 Alicante, p. 79 Albatera, p. 87 La prison au village, p. 93