Livre - Les sources de l'histoire des mines

C 1467

Description

Livre

Centre de documentation d'histoire des techniques

Centre de documentation d'histoire des techniques (Paris)

Laboratoire Histoire des techno-sciences en société (Paris)

Presentation materielle : 1 vol. (254 p.)

Dimensions : 30 cm

DOSSIER THÉMATIQUE : LES SOURCES DE L’HISTOIRE DES MINES : NOUVEAUX OUTILS, NOUVELLES APPROCHES. ACTES DE LA JOURNEE D’ÉTUDES DU 15 DÉCEMBRE 2005 AUX ARCHIVES NATIONALES, PARIS BELHOSTE Bruno, Les archives des mines : un produit administratif, une source pour l’histoire / The mines archives: the product of an administration and a source for history, p. 4 L’histoire ne peut se faire sans archives. Cette vérité toute simple est source elle-même de questionnements pour l’historien : qui a fabriqué les archives et dans quels buts ? Comment se sont-elles conservées et pourquoi ? Pour répondre à ces questions, l’historien a besoin de la collaboration des experts que sont les archivistes et les conservateurs. L’histoire des mines en fournit une bonne illustration. L’immense mine documentaire à la disposition des historiens y est le résultat d’une intense activité administrative. Son exploitation comme source exige d’en comprendre d’abord les modes de production, d’usage et de conservation. Si un tel travail est la condition d’un usage pertinent de la documentation, il ouvre aussi sur un vaste champ d’études : celui des cultures de travail et des pratiques d’écriture d’une administration technique. History cannot be written without archives. This simple truth is a source of questioning for historians: who made the archives and for what? How were they kept and why? For answering these questions, historians need expert help from archivists, librarians and curators. The mining history is a good example. The vast mine of documents available for the historians is the product of an intense administrative activity. Its exploitation requires studying its modalities of production and conservation as a preliminary. This analysis is both a precondition for a pertinent use of the documentation and a fundamental research work per se leading to the study of work cultures and writing practices in a technical administration. DEMEULENAERE-DOUYÈRE Christiane, Une tentative d’inventaire des richesses minières de la France : l’enquête du Régent, 1716-1718 / An attempt to inventory the mineral riches of France: the Régent’s survey, 1716-1718, p. 9 À la fin de 1715, Philippe d’Orléans, Régent de France, lance une grande enquête nationale pour collecter des renseignements à la fois sur la qualité et la quantité des ressources naturelles dont le royaume peut disposer pour restaurer sa situation économique, catastrophique à la fin du règne de Louis XIV. Dans cet immense chantier qui va durer trois années, sont impliqués le pouvoir royal en la personne du Régent et de son conseiller l’abbé Bignon qui inspirent les lignes directrices de l’enquête, les intendants et leurs subdélégués qui vont chercher informations et échantillons au plus profond des provinces, et aussi, ce qui est nouveau, l’Académie royale des sciences qui, en la personne de Réaumur, assure la direction scientifique de l’enquête et apporte son expertise à l’analyse des résultats. Les documents provenant de l’enquête, conservés aujourd’hui aux Archives de l’Académie des sciences et jusqu’à présent insuffisamment exploités, peuvent apporter beaucoup à l’histoire minière de la France préindustrielle par l’abondance et la précision des informations qu’ils fournissent sur la diversité des minerais exploitables dans le royaume, sur les conditions de leur exploitation, l’outillage et même les mineurs. At the end of 1715, Philippe d’Orléans, Regent of France, ordered a great national survey to collect information on the quality and quantity of the natural resources at the disposal of the kingdom as it set about restoring the disastrous economic situation bequeathed by Louis XIV. This immense operation, which lasted three years, involved royal authority (in the person of the Regent), his adviser the abbé Bignon (who laid down the main lines of the survey), administrators of the provinces (who collected information and specimens of minerals from the very depths of the countryside) and, what was new, the Royal Academy of Sciences which, through Réaumur, provided scientific supervision of the survey ; it was Réaumur who analysed its results. The documents generated by the survey, now preserved in the archives of the Académie des sciences in Paris, until recently have been under-exploited by historians. The documents can contribute much to the history of mining in France before the Industrial Revolution, both by their abundance and by the exactitude of the information which they provide on the variety of minerals in the kingdom, their exploitation, the equipment used by miners, and even on the condition of the miners themselves. LATTY Lionel, La loi du 21 avril 1810 et le Conseil général des mines avant 1866. Les procès-verbaux des séances / The law of 1810 and the General council of mines before 1866, p. 17 La loi de 1810 fonde le droit minier en France. Elle accorde un véritable droit de propriété sur le tréfonds minéral au bénéfice du concessionnaire et organise la tutelle administrative de l’industrie minière et sidérurgique. Dans cet article, nous étudions l’origine de la loi et son application jusqu’à la déréglementation de l’industrie sidérurgique en 1866. L’accent est mis sur la comparaison avec l’œuvre législative de l’Ancien régime et de la Révolution et sur le rôle et l’action du Conseil général des mines, en particulier dans le domaine minier. The law of 1810 laid down the mining legislation in France. It granted the concessionaire a right of property on the mineral subsoil and organized the administrative supervision of the mining and iron industries. This paper focuses on the origins of the law and its application until the deregulation of the iron industry in 1866. Special emphasis is given on the comparison with the Old Regime’s and Revolutionary legislation and on the analysis of the role and action of the General council of mines, especially on mining. EVEN Pascal, La sauvegarde de la mémoire de Charbonnages de France. Une priorité de la Direction des archives de France /The preservation of the memory of Charbonnages de France. A major issue for the Direction des archives de France, p. 30 La sauvegarde des archives de Charbonnages de France constitue très certainement un exemple réussi d’une politique volontariste menée tant par l’administration des archives que par les responsables de l’entreprise afin d’assurer la conservation pour les générations futures d’un patrimoine écrit particulièrement important pour la connaissance de l’histoire économique et sociale contemporaine. L’histoire de la mine dans notre pays et sa dimension sociale occupent en effet une place privilégiée dans la construction de la mémoire contemporaine et c’est ce qui explique le souci des responsables de Charbonnages de France, confrontés à la disparition programmée de leur entreprise, d’engager avec la Direction des archives de France un programme de tri, d’éliminations et de versements de leurs archives. Cette campagne a permis de diriger, au cours des dernières années, l’essentiel de ce patrimoine vers les services publics d’archives. L’article évoque les différentes solutions adoptées dans les trois bassins houillers du Nord-Pas-de-Calais, de Lorraine et du Centre-Midi pour assurer la collecte, le traitement et la mise en valeur des archives de la mine mais aussi les partenariats développés avec les acteurs de l’après mine, le Bureau des recherches géologiques et minières, ou les structures associatives qui militent pour la mémoire de la mine. The preservation program of the archives of Charbonnages de France is certainly a successful example of a policy conducted both by the direction des archives de France and by the company authorities to ensure the preservation for future generations of a written patrimony particularly important for the knowledge of the contemporary economical and social history. The coal mining history in our country and its social dimension indeed has a very special place in the construction of the contemporary memory. Having to deal with the planned end of the company, the Charbonnages de France executives decided to start with the Direction des archives de France a collecting program of these records, in order to make them enter the public archives repositories. During last years, this program has made it possible to receive a large part of this heritage to public archives repositories. This paper describes the particular solutions selected in the three coal mining areas of Nord-Pas-de-Calais, Lorraine and Centre-Midi, to collect, condition and valorise the mining records. It ends by explaining partnerships developed in the “post mining” actors, especially the Bureau des recherches géologiques et minières, or the associations involved in the mining. BARAU Denys, Les sources de l’histoire minière aux Archives départementales de la Loire / The archives of the history of mining in the Archives départementales de la Loire, p. 40 Élément important de la révolution industrielle à l’échelle nationale dans la première moitié du XIXe siècle, l’extraction du charbon a durablement marqué la région stéphanoise, non seulement dans son développement économique, mais aussi dans son peuplement, sa vie sociale, son paysage et sa culture. Le régime de la concession institué par la loi de 1810 explique que l’histoire de cette industrie trouve son matériau principal dans deux fonds d’archives distincts : celui des entreprises minières (compagnies privées d’abord, puis, à partir de 1945, Houillères du bassin de la Loire nationalisées) et celui de l’administration des Mines, chargée de contrôler l’exploitation. Mais à ce bloc central vient s’ajouter une grande diversité de sources complémentaires, mêlant archives publiques et archives privées, imprimés ou iconographie, qui éclairent certains moments forts de l‘histoire minière stéphanoise et ses dimensions techniques, économiques et humaines. As an important element of the industrial revolution, on a national level, in the first half of the 19th century, coal mining has lastly marked the St-Étienne area, not only in its economic development, but also in its peopling, its social life, its landscape and its culture. The concession system instituted by the 1810 Law accounts for the fact that the history of that industry finds its main material in two distinct archive sources: the one coming from the mining firms (private companies first, then from 1945 onwards the nationalized Houillères du Bassin de la Loire, the other left by the Coal mines administration responsible in charge of the control of the mining activity. But to that central block must be added a wide variety of complementary sources, combining public records and private records, printed or iconographic documents that light up some strong moments of the Saint-Étienne coal mining history together with its technical, economic and human dimensions. MAISONNEUVE Marie-Noëlle, Les sources manuscrites de l’histoire des mines à la Bibliothèque de l’École des mines de Paris / The manuscript sources of the history of mining in the library of the École des mines of Paris, p. 67 La bibliothèque de l’École des mines de Paris préserve dans son fonds des manuscrits et des archives pas toujours connues, mais qui se révèlent importants pour l’étude du développement en France des techniques minières et de la connaissance du sous sol. The library of the École des mines protects in its collections some manuscripts and archives not well known. However, they are important for the study of development in France of the mining techniques and knowledge. MASSON Francine, La bibliothèque de l’École des mines de Paris comme source de (re)connaissance d’un enseignement / The École des Mines and its library as sources, p. 74 La bibliothèque de l’École des Mines a suivi le développement de l’École depuis sa création. À ce titre, sa composition est une indication sur les savoirs transmis à des ingénieurs qui joueront un rôle déterminant dans l’activité minière en France au XIXe siècle. Elle peut donc être considérée comme une source indirecte, mais importante, qui mérite d’être étudiée pour mieux comprendre les ingénieurs des mines. C’est un champ de recherche à explorer. The library of the École des mines followed the development of the school since its creation. For this reason, its composition is an indication on the knowledge transmitted to engineers who will play a determining role in the mining activity in France in the XIXth century. It can be seen as an indirect, but important, source, which needs to be studied to know more about the mining engineers. It is a topic to explore VARIA CANDELISE Lucia, Construction, acculturation et diffusion de l’« acupuncture traditionaliste française » au XXe siècle / The evolution of French acupuncture and the reinterpretation of one tradition, p. 76 Les premières connaissances détaillées concernant la médecine chinoise gagnèrent l’Occident au XVIIe siècle par le biais des écrits des missionnaires et des médecins européens qui séjournèrent en Chine à cette époque. Mais la diffusion de la pratique de l’acupuncture, telle que nous la connaissons aujourd’hui, dans le milieu médical français commence véritablement pendant les années 1930 grâce à un ex-consul de France en Chine, George Soulié de Morant. À partir de ce moment l’acupuncture apparaît dans le milieu médical en se confrontant avec la médecine conventionnelle. Dans notre article nous montrons quelles ont été les différentes étapes de la diffusion de l’acupuncture en France. Nous insistons en particulier sur le travail des sociétés et des associations qui naissent après 1945 et qui œuvrent pour la reconnaissance de la pratique de l’acupuncture et pour l’enseignement de cette technique de soin. Cela nous permet de présenter les deux grands courants de l’acupuncture française, l’un moderniste et l’autre traditionaliste. Grâce à l’étude de ces deux courants nous montrons une approche à l’acupuncture propre aux médecins acupuncteurs français, que nous définissons comme étant l’« acupuncture traditionaliste française ». The first detailed knowledge concerning the Chinese medicine appeared in the West world in the XVIIth century by means of the texts from missionaries and the European physicians who stayed in China in this period. However, the spreading of the acupuncture practice, such as we know it today, amidst in the French medical environment, only genuinely begins during the 1930s, thanks to an ex-consul of France in China, George Soulié de Morant. From this moment, acupuncture appears in the medical environment by being confronted with the conventional medicine. In our article, we show the various stages of the spreading of acupuncture in France. We particularly focus on the work of societies and associations which were born after 1945, and which worked at the recognition of the practice of the acupuncture and at teaching this technique of care. We define also two big currents of the French-style acupuncture, the one modernist and the other traditionalist. WEYGAND Zina, Les aveugles au travail. Des origines à l’émergence de nouveaux métiers à la fin du XIXe et au début du XXe siècle : sténographes, dactylographes, phono-dactylographes, téléphonistes / Blind people at work. From the origins to the emergence of new trades at the end of the XIXth century and the beginning of the XXth century: stenographs, dactylographs, phono-dactylographs, telephonists, p. 89 Après avoir rappelé les grandes étapes de la théorisation puis de la mise en œuvre de l’intégration des aveugles dans le circuit des échanges socio-économiques par le biais de l’emploi, cet article – qui s’inscrit dans une réflexion sur la notion de « métier », proposée lors d’un séminaire transverse du Centre de Recherche sur le Travail et le Développement consacré en partie au métier de téléphoniste – expose les tentatives réalisées à la fin du XIXe et au début du XXe siècle pour permettre aux aveugles d’accéder à de nouveaux métiers, grâce aux innovations techniques qui transforment profondément alors l’univers des bureaux : machine à écrire, phonographe et téléphone. After recording the main stages of the theory and of the consecutive practice of integrating blind people into socio-economic structures by employing them at work, this article is describing the attempts made to allow blind people to have access to new trades, at the end of the XIXth century and the beginning of the XXth century, thanks to technical innovations which have deeply modified the conditions of work in offices: type-writer, phonograph and telephone. This study has taken place into a reflexion about the notion of “profession”, developed in a pluridisciplinar seminar held by the Centre de Recherche sur le Travail et le Développement, which was devoted to the profession of telephonist. ACTUALITÉS DEBLOCK Geneviève, « Impressions populaires ». La collection de livrets conservée au MuCEM et la diffusion des savoirs par les livres de colportage (XVIIe-XIXe siècles), p. 101 DOREL-FERRÉ Gracia, Le patrimoine industriel, pédagogies, domaines et problématiques à l’usage des enseignants : une initiative de la revue Historiens et Géographes, p. 108 TEXTES ET DOCUMENTS BRIOIST Jean-Jacques et VÉRIN Hélène, Pour une histoire de la méthode de Renau d’Élissagaray, p. 112 RENAU D'ÉLISSAGARAY, Mémoire sur la construction des vaisseaux dans lequel il y a une méthode pour en conduire les façons (1679) (reprint), p. 117 BRIOIST Jean-Jacques et VÉRIN Hélène, Mémoire sur la construction des vaisseaux dans lequel il y a une méthode pour en conduire les façons (édition critique), p. 143 BRIOIST Jean-Jacques, L’ingénierie cartésienne de Renau d’Élissagaray / Renau d’Elissagaray’s Cartesian geometry, p. 169 Le Mémoire sur la construction des vaisseaux jette un éclairage particulier sur la façon dont un ingénieur du XVIIe siècle pouvait concevoir les rapports entre la philosophie naturelle et les arts de la construction. Renau d’Élissagaray se propose d’appréhender l’interaction entre l’air et les voiles d’un navire, puis entre la coque du navire et l’eau, avec ses connaissances de la science du mouvement et des machines : les termes utilisés, ainsi que le principe de physique sur lequel s’appuie toute la démarche, renvoient sans ambiguïté aux écrits de Descartes, et plus particulièrement aux premiers chapitres de la Dioptrique. En outre, en plusieurs passages, Renau insiste sur la nécessité de connaître la géométrie ; mais c’est d’une géométrie qui traite des courbes décrites par certains instruments-machines dont il s’agit, et là encore, les conceptions cartésiennes président au raisonnement. Ainsi il apparaît que la pensée de Descartes, souvent critiquée pour ses aspects spéculatifs et ses raisonnements analogiques, a su inspirer une réforme technique aux enjeux considérables. Renau’s Mémoire sur la construction des vaisseaux sheds a special light on the thought of an XVIIth century engineer with regard to the connections between natural philosophy and the mechanics of shipbuilding. Resting on definite principles about motion and the doctrine of machines, Renau d’Elissagaray endeavours to model both the effect of air into the sails, and of water against the hull: there, the choice of terms as well as the main physical argument at work unmistakably point to the writings of Descartes, more precisely to the first chapters of La Dioptrique. Besides, in many a passage, Renau emphasises the need for a knowledge of geometry ; yet what is meant is a geometry capable of handling those curves which are drawn by mechanical devices, and still there, Cartesian concepts are instrumental. It thus turns out that Descartes’ doctrine, though often criticised for its fanciful claims and analogical reasonings, somehow did inspire a technical change with far-ranging implications. VÉRIN Hélène, La mise en œuvre de la méthode de Renau d’Élissagaray / Renau d’Élissagaray’s method at work, p. 187 La mise en œuvre de la méthode de Renau commença dans les ports dès 1680. L’objectif se bornait à régulariser les différents tracés des carènes, propres aux principaux maîtres-charpentiers des ports. Le premier travail consista donc à la diffuser parmi eux, sous la conduite de Renau qui procédait lui-même aux calculs nécessaires pour l’utilisation de son instrument, un ellipsographe. Par ailleurs, dès 1682, elle entrait dans le programme des écoles de construction des ports, destinées aux officiers. En 1684 on comptait trois frégates : l’Arrogant, l’Apollon et Le Brave construits selon ce nouveau procédé. En 1686, Tourville affirmait que les plans de maître Blaise Pangalo, l’un des meilleurs charpentiers du royaume, étaient faits selon cette méthode. À partir de 1692, sous Pontchartrain, l’application de la méthode de Renau entra dans une seconde phase : la détermination des proportions elles-mêmes et non plus simplement une régularisation des tracés. Les qualités nautiques remarquables de la frégate Le Bon en furent le couronnement. The implementation of Renau’s method started in the harbours as soon as 1680. The objective was limited to regularize the various layouts of the hulls, which differed according to each head master-carpenter in the yards. The first task thus consisted in diffusing the method among them, under Renau’s control. He himself carried out the necessary calculations for the use of his instrument, the ellipsograph. Besides, since 1682, his method entered the program of schools of construction in the harbours, which were intended for the officers. In 1684, there were three frigates built up according to this new process: L’Arrogant, L’Apollon and Le Brave. In 1686, Tourville stated that the plans by master Blaise Pangalo’s, one of the best carpenters of the kingdom, were made out according to this method. Since 1692, under Pontchartrain, the implementation of Renau’s method entered one second era: it aimed to the determination of the proportions themselves and no longer to the regularization of the layouts only. The exceptional nautical qualities of the frigate Le Bon was it greatest achievements LIRE ET RELIRE LARROQUE Dominique, Le rail et la route, p. 198 WOHL Paul et ALBITRECCIA Antoine, La route et le rail dans quarante pays, Les documents de la Chambre de commerce internationale, Tours, Arrault et cie, 1934, 499 p. et tableaux. CONINCK Marcel de, La mort du rail. La renaissance économique par l’automobile, Les Cahiers bleus, 1931, 121 p. GUILLERME André (dir.), Chroniques routières. L’âge du pétrole, Paris, ministère de l’écologie, du développement et de l’aménagement durable, 2007, 274 p. et DVD-ROM COMPTES RENDUS DE LECTURE Hydraulique urbaine, par André GUILLERME, p. 201 « L’eau dans la ville », Histoire urbaine, n° 22, août 2008, 144 pages. DURAND Aline (dir.), Jeux d’eau : moulins, meuniers et machines hydrauliques (XIe-XXe siècles), études offertes à Georges COMET, Cahier d’histoire des techniques, n° 7, 2008, 288 pages. CORCY Marie-Sophie, DEMEULENAERE-DOUYÈRE Christinane, HILAIRE-PÉREZ Liliane (dir.), Les archives de l’invention. Écrits, objets et images de l’activité inventive, Toulouse, Cnrs/Université Toulouse-Le Mirail, coll. Méridiennes, série Histoire et Techniques, 2006, 614 pages, par Stéphane BUZZI p. 203 FEILLET Pierre, La nourriture des Français, de la maîtrise du feu… aux années 2030, Versailles, Quae, 2007, 248 pages, par Georges CARANTINO, p. 205 DELAMARE François, Bleus en poudres. De l’art à l’Industrie, 5000 ans d’innovations, Paris, Presses de l’École des mines de Paris, 2007, 422 pages, par Daisy BONNARD, p. 208 STYLES John, The dress of the people. Everyday fashion in eighteenth-century England, New Haven and London, Yale University Press, 2007, 432 pages, par Marco BELFANTI, illustrations, p. 210 NÈGRE Valérie, L’ornement en série. Architecture, terre cuite, carton-pierre, Sprimont, Mardaga, 2006, 247 pages, par Anne-Laure CARRÉ, p. 212 CARIAON Marta, Les philosophes de la vapeur et des allumettes chimiques. Littérature, sciences et industrie en 1855, Genève, Droz, 2008, coll. Histoire des idées et critique littéraire, vol. 144, 375 pages, par André GUILLERME, p. 212 DREYER Francis, FICHOU Jean-Christophe, avec la collaboration de Margot DESACHY, L’histoire de tous les phares de France, Rennes, Éditions Ouest-France, 2005, 317 pages, par Paul SMITH, p. 214 LASSALLE Maryse (éd.), Bases pour dirigeables, Histoire et actualité, Aix-en-Provence, Publications de l’Université de Provence, 2005, 269 pages, par Nathalie ROSEAU, p. 215 LAMARD Pierre, LEQUIN Yves-Claude, La technologie entre à l’université : Compiègne, Sevenans, Belfort-Montbéliard…, Belfort, UTBM, coll. Récits, 2006, 392 pages, par Bruno JACOMY, p. 217 CUENCA Catherine et THOMAS Yves (dir.) BALLE Catherine (éd.), Le patrimoine scientifique et technique contemporain. Un programme de sauvegarde en Pays de la Loire, Paris, L’Harmattan, 2005, 264 pages, par Gérard EMPTOZ, p. 221 MIALET Hélène, L’entreprise créatrice. Le rôle des récits, des objets et de l’acteur dans l’invention, Paris, Lavoisier – Hermes Science, 2008, 201 pages, par Michel LETTÉ, p. 222 MILLE Martine, p. 226 LA REVUE DES CATALOGUES LEDGER A. 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