Livre - Les cornemuses à miroirs du Limousin

785 MON

Description

Livre

L'Harmattan

Montbel Éric 1955 - ...

Presentation materielle : 1 vol. (605 p.)

Dimensions : 24 cm

Cette étude pluridisciplinaire s’appuie sur un Corpus de 125 cornemuses retrouvées par l’auteur. Ces instruments, pour certains très anciens (XVIIe siècle) sont caractérisés par leur décor symbolique en miroirs. L’auteur utilise l’iconographie et les sources manuscrites pour interpréter leur sens obscur, et retracer leur parcours historique depuis la Cour de France. Car ces instruments furent joués sous le règne de Louis XIII sous le nom de Cornemuses et Hautbois de Poitou, puis en Limousin où nous les retrouvons aujourd’hui. L’hypothèse présentée est celle d’une filiation avec les cornemuses italiennes du XVIe siècle, le phagotus et la sourdeline, dans une perspective spirituelle et humaniste, inspirée par les poètes platoniciens des Académies. Après leur abandon à la Cour de France vers 1670, ces cornemuses furent jouées et fabriquées en Limousin jusqu’au début du XXe siècle : les chabretas. C’est cette mobilité sociale qui est analysée ici. L’auteur propose une approche sémiotique de deux objets associés dans une relation syntagmatique, la cornemuse et le miroir. La symbolique du pastoralisme est aussi étudiée, et la place des instruments à vent dans ce qui deviendra une mode musicale à l’âge baroque. Une troisième partie propose une approche anthropologique fondée sur l’étude de terrain et l’enquête auprès des derniers joueurs de cet instrument en Limousin, ainsi qu’une réflexion sur le rôle du chercheur-musicien engagé dans un processus d’invention d’une tradition. Musicien, chercheur, Éric Montbel est docteur en ethnomusicologie. Il enseigne l’ethnomusicologie et l’anthropologie musicale historique à l’Université d’Aix- Marseille.

TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION, p. 9 NOTIONS PRÉLIMINAIRES. GLOSSAIRE et ORGANOLOGIE, p. 45 Descriptif organologique, p. 59 PREMIÈRE PARTIE : FILIATIONS CHRONOLOGIQUES, p. 67 CHAPITRE I. LES SOURCES HISTORIQUES, p. 69 Au début étaient les Cornemuses de Poictou, p. 69 1625 : création du concert des « Hautbois et cornemuse de Poictou ». Approche linguistique, terminologique et sémiologique, p. 72 Quels termes sont employés dans les sources manuscrites ?, p. 73 La musette de Poitou était-elle vraiment une cornemuse ?, p. 74 Polysémie des mots « musette », « cornemuse » et « hautbois » au XVIIe siècle : Peut-on proposer une clarification ?, p. 76 « Musette » : hautbois ou cornemuses ?, p. 77 Interprétation des ternies « musette » et « hautbois » de Poitou à la lumière des informations organologiques, p. 79 Premières traces du Concert des Hautbois de Poitou, p. 80 Hautbois et cornemuses de Poictou : confrontations iconographiques, p. 82 Cromornes et Tournebouts : informations sur les possibilités musicales des Cornemuses et Hautbois de Poictou, p. 84 La Chanson à trois parties de Henry le Jeune, p. 87 La fin du Concert des Hautbois et cornemuse de Poictou en 1670 ?, p. 90 « Musettes, cornemuses, hautbois » : précisions organologiques, p. 93 Les noms des musiciens joueurs de hautbois, musettes et cornemuse de Poitou, p. 98 Quelques joueurs célèbres : familles et successions, p. 99 Inventaire des musiciens jouant dans l’ensemble des hautbois, musettes et cornemuse de Poitou, p. 99 Chambre ou Écurie ? « Hauts » ou « bas » instruments ?, p. 112 Les dernières années des Hautbois et musettes de Poitou ? Le témoignage de Borjon de Scellery, 1672, p. 115 CHAPITRE II. MORPHO-SÉMANTIQUE : PHAGOTUS, SOURDELINE ET MUSETTE, p. 121 Comparaison, liens et filiations entre les Sourdelines, les Musettes, les Chalemies et les Cornemuses de Poictou au XVIIe siècle, p. 121 Musettes au XVIIe siècle, p. 122 Sourdeline et Sampogne dans l’ouvrage de Mersenne. Anches doubles et innovations au début du XVIIe siècle, p. 125 La Sourdeline, cornemuse polyphonique expérimentale, p. 127 Cornemuse et idéal humaniste, p. 128 Grande Cornemuse à Miroirs, musettes de cour : des tentatives françaises pour approcher les évolutions polyphoniques des sourdelines ?, p. 130 Les Sourdelines décrites par Mersenne, Baldano et Settala, p. 132 Manfredo Settala et ses sourdelines (1664), p. 132 La Sourdeline, un modèle copié dans toute l’Europe, p. 138 Cornemuses de Poitou dans la Collection Settala, p. 141 La Sourdeline, une cornemuse qui annonce la « musette de cour », p. 146 Sourdeline et musette de Cour une chronologie réévaluée, p. 148 Libre Per Scriver L’intavolatura per Sonore supra le Sordelline de Giovanni de Lorenzo Baldano (1576-16613), p. 148 Analyse organologique et filiation napolitaine. « Le Duc de Braschane », p. 152 La Sourdeline « Napolitaine » ?, p. 153 Le jeu d’instruments à vent en Italie et leurs liens mythologiques, à l’origine des polyphonies de cornemuse, p. 156 Deux ancêtres de la Sourdeline : la cornemuse de Leonardo et le Phagotus d’Afranio, p. 159 La cornemuse de Leonardo, p. 159 Le Phagotus d’Afranio, p. 159 Les dessins du Phagotus d’Afranio publiés par Ambrogio (1539), p. 160 Le phagotus de Giaccobe e Rachele al pezzo (1535), p. 162 Le Murette : description organologique, p. 164 Le phagotus : une cornemuse pour cantiques, p. 168 Phagotus et Sourdeline : les cornemuses de Jean-Baptiste Riva de Ferrare, p. 169 CHAPITRE III. ÉVOLUTIONS ORGANOLOGIQUES AU FIL DES SOURCES ICONOGRAPHIQUES, p. 173 Les influences des cornemuses italiennes sur la facture des cornemuses françaises du XVIIe siècle, p. 173 Les premières « musettes » sous Henri Il i, p. 172 La musette des Devises Héroïques, 1551, p. 174 La musette de la Nativité de Jérôme Franck, 1585, p. 175 La musette du Syntagma Musicum, 1620, p. 175 Joueur de musette de Saint-Igny, 1630, p. 180 La musette de François Langlois, 1637, p. 180 La musette des bergers de Mariette et Brebiette, 1640, p. 181 Margot la Musette, es 1640, p. 181 Le couple hautbois-cornemuse en Europe depuis la Renaissance, p. 186 Les piferrari de l’Italie du sud, p. 188 Évolution organologique. Les musettes « à la Watteau »et l’art du faux, p. 190 Les Musettes Gaillard, cornemuses d’ameublement, p. 196 La « Chalemie » se développe en France au XVIIIe siècle, p. 198 Évolution des cornemuses franco-italiennes : un idéal humaniste ?, p. 202 CHAPITRE IV. LES GRANDES CORNEMUSES À MIROIRS DANS LES COLLECTIONS MUSÉALES, p. 205 Grande Cornemuse à Miroirs (Corpus 78.10. 01). GemeenteMuseum de La Haye, Hollande (Inv. EA.631. 1933), p. 209 Grande Cornemuse à Miroirs (Corpus 82. 04. 01). Musée de la Musique, Paris (E.2167), p. 215 4. 3. Hautbois marqué « IeAn » (Corpus 82. 04. 02). Musée de la Musique, Paris (E. 771), p. 217 Grande cornemuse à Miroirs (Corpus 83. 07. 02). Musée des musiques de Montluçon / ex Collection Baron de Léry (Corpus 80. 03. 01), p. 219 Grande Cornemuse à Miroirs (Corpus 86. 01. 01). Musée de Brest (Inv. 62.2.1), p. 221 Grande Cornemuse à Miroirs (Corpus 77. 07. 03). Collection de Bricqueville 1880, p. 223 Grande Cornemuse à Miroirs (Corpus 07. 03. 02). Collection privée, Paris, p. 225 Le tableau Vendanges dans le Berry de Boichard. 1835, p. 227 Grandes Cornemuses à Miroirs : premières observations, p. 236 Mersenne, observateur et initiateur de la « nouveauté » technologique, p. 238 Première hypothèse d’hybridation, première moitié du XVIIe siècle, p. 239 Organologie : les éléments communs entre chabrettes et cornemuses à miroirs, p. 242 SECONDE PARTIE : SYMBOLISMES, SÉMIO-ANTHROPOLOGIE, p. 249 CHAPITRE V. SYMBOLIQUE DE LA CORNEMUSE, p. 251 Cornemuse-miroir ; un rapport syntagmatique deux objets porteurs de sens, p. 251 Anthropomorphisme, zoomorphisme : poche, peau, corps, habit, costume, p. 253 Le corps, p. 253 Habiller le corps : costume, p. 254 Nudité du bois, p. 256 Cornemuse, chèvre, chabrette, p. 258 Chèvre et cornemuse : un héritage du dieu Pan, p. 260 Le sens sacré de la cornemuse : les bergers de la Nativité, p. 270 Souffle générateur, cornemuses fécondatrices, p. 272 La cornemuse érotique, p. 276 La cornemuse des simples et des fous, p. 279 Ers versus Thanatos la cornemuse et la mort, p. 286 Sexualité, Licence et inversion : les femmes joueuses de cornemuse, p. 286 Et la musette vint, et son harmonie pastorale, p. 288 La cornemuse comme transposition des auloi / tibiae antiques ?, p. 290 CHAPITRE VI. SYMBOLIQUE DU MIROIR, p. 293 Le miroir, objet sémiotique, p. 293 Le miroir, pluralité sémantique, p. 295 Le miroir au Moyen Âge européen, p. 296 Spéculation, réflexion : le miroir et les double sens du langage, p. 297 Miroirs magiques, miroirs divinatoires, p. 298 Le miroir divinatoire à la Renaissance, p. 299 Un universel de la pensée sauvage : le miroir protecteur, p. 309 Le miroir comme « meuble héraldique » au Moyen Âge, p. 300 Symbole, allégorie, emblèmes, p. 301 Les livres d’Emblèmes diffusion de l’image symbolique à la Renaissance, p. 302 Miroir et Contre-Réforme catholique, p. 304 Le Tétramorphe et L’Ostensoir, p. 305 Les reliquaires : la lumière sanctifiée, p. 306 Le tabernacle, p. 307 Autels à miroirs, p. 307 La fabrication de miroirs aux XVIe et XVIIe siècles et le monopole vénitien, p. 308 Speculum est Christus. Le Christ est miroir, p. 310 Miroir et pouvoir au Grand Siècle, p. 313 Le miroir, objet de luxe, symbole de lumière, p. 315 Miroir et chrétienté : l’utilisation des symboles comme décors de cornemuses, p. 316 Les signes et décors, p. 317 CHAPITRE VII. SYMBOLIQUE DU PASTORALISME : DU POITEVIN AUX BERGERIES ARISTOCRATIQUES, p. 331 Poitou et Cour de France. Une première manifestation du goût « pastoral » au XVIIe siècle ?, p. 331 Un Bal à la Cour de Henri, p. 332 L’Académie du Palais, p. 333 Le goût de la a musique ancienne », p. 335 Les musettes de Ronsard, p. 336 Le ballet de cour, instrument de diffusion idéologique, p. 337 Le Bal à la Cour de Henri III, une mise en scène pastorale et consensuelle, p. 339 Le ballet de cour au XVIIe siècle, p. 340 Développement du goût pastoral au XV1Ie siècle. Le berger, le Poitou, p. 341 Les origines historiques des Hautbois et Cornemuses de Poitou. Témoignage de Pierre Robert du Dorat (1630), p. 345 Poitou, Basse-Marche, Limousin : des lieux de pratique ancienne de la cornemuse, p. 349 Une sémiotique historique : musique pastorale et mythe arcadien, p. 351 Le lien entre Confréries limousines et Cornemuses à Miroirs, p. 356 Musette arcadiennes, p. 357 Le « pastoral » sous Louis XV, p. 357 Le mythe de l’Arcadie, de Virgile à l’époque baroque, p. 363 Poitou, Basse-Marche et Limousin. Sources anciennes en Limousin., p. 366 Un désert iconographique au XVIIIe siècle ? Observateurs du XIXe siècle, p. 367 Une survivance des Confréries limousines ?, p. 371 CHAPITRE VIII : LES DÉCORS EN MIROIRS DES CORNEMUSES DU LIMOUSIN, ET LEUR SENS SYMBOLIQUE, p. 375 Éléments pour une interprétation des décors, p. 375 Des cornemuses d’appartenance, p. 378 Le rapport syntagmatique Cornemuse-miroirs-inscriptions. La main de l’artisan, une signature sans nom, p. 379 Savoir-faire technologique. Le chef d’œuvre compagnonnique, p. 379 Les Ostensions, pratique religieuse limousine, p. 381 Un autre exemple de décor symbolique : les cornemuses du Nivernais incrustées ou « grandes bourbonnaises », p. 383 Puissance et complexité du message iconique des Cornemuses du Limousin inscrit dans leur champ morpho-sémantique, p. 386 Les chaînes, p. 386 Traces, graffitis, inscriptions, p. 388 Un inventaire des marques et tracés, p. 390 Glissement du sens ; décor mobile, p. 391 Parodies, jeux sémantiques, p. 393 Accumulation de signes un jeu syntagmatique, p. 402 Parodies des signes, simulations, p. 403 Saturation des signes : le mysterium tremendum, p. 403 Le simulacre, comme inquiétante étrangeté, p. 404 Sémiotique du sonore. Cornemuses de la Nativité ?, p. 408 Une tradition pastorale à l’église, p. 410 Discussions sur l’interprétation des décors : Contre-Réforme et loges maçonniques, p. 412 L’hypothèse maçonnique, p. 413 Une stratification du sens, p. 414 TROISIÈME PARTIE. FABRICATION et PRATIQUE, ENQUÊTE ET REVIVAL, p. 419 CHAPITRE IX. ENQUÊTES DE TERRAIN : LES FABRICANTS DE CORNEMUSES A MIROIRS EN LIMOUSIN, p. 421 Terrains d’enquêtes. Le Limousin. Quelques points d’histoire, p. 423 À l’épreuve de l’enquête de « terrain », p. 425 Territoires ?, p 426 Analyse d’un Corpus d’instruments de musique, p. 430 Chabrettes limousines des instruments sans musique, p. 430 Musiciens et fabricants : une sociologie diversifiée, p. 431 Fabricants de petites cornemuses à miroirs, ou « chabrettes », en Limousin, p. 435 La transition avec les Grandes Cornemuses à Miroirs, p. 436 Les premières « chabrettes limousines » en Haute-Vienne, p. 440 Premier Atelier de Limoges, p. 441 Second Atelier de Limoges, p. 443 Chabrettes périgourdines, p. 443 Atelier de Saint-Yrieix-la-Perche, p. 444 Quenouille de fiançailles, bouquet de mariée, p. 445 Saint-Yrieix : un atelier productif, p. 448 Le fabricant Louis Maury (1842-1892), p. 450 Le style Maury : un travail d’amateur de haute maîtrise, p. 454 Le fabricant Félix-Pierre Chabrely (1857-1939), p. 456 Le fabricant-bricoleur François Denis (1866-1946), p. 448 Le fabricant Elie Béjard (1870-1960), p. 462 Le fabricant Charles Gavinet (1864-1952), p. 463 Un bricoleur, Léonard Faurillou (1848-1910), horloger à Limoges, p. 463 Innocentin Cacadou, Lacouchie, Labrunie…, p. 464 Des tonalités hautes, p. 465 Le savoir-faire, un signe, p. 466 Savoir-faire ostentatoire, p. 467 Savoir-faire subtil : le « savoir-mieux-faire », p. 467 Attributions, p. 468 Une valeur de « vérité », p. 471 Hypothèse de glissement social, et d’une transformation des codes sémantiques : la transition orale, p. 476 CHAPITRE X. L’INVENTION DE LA CHABRETTE LIMOUSINE, p. 485 Chabrette, folklore et urbanité, XIXe siècle et néo-pastoralisme, p. 485 Chabretaires et « faiseurs de chabrettes » : des artistes et des artisans entre rural et urbain, p. 486 Musette, chabrette, cabrette… cornemuses symboles d’une ruralité confrontée à l’espace de la ville, p. 487 Italie, France, Angleterre, Irlande… cornemuses néo-pastorales en Europe, p. 491 Ce néo-pastoralisme atteignit-il les terres du Limousin ?, p. 494 « L’image noire » du Limousin., p. 495 Tentatives de valorisation. L’Exposition du Centre de la France à Limoges en 1858, p. 496 La chabrette comme symbole régional : visite du Président Carnot à Limoges (1891), p. 498 1880-1900, la « Belle Époque du folklore » ?, p. 499 Le « faux » mariage à Ligoure en 1902, témoignage photographique exceptionnel, p. 501 Les Concours de chabrette, p.505 Les Fêtes des Ponts à Limoges. Socialisme et traditions, p. 507 Les cornemuses dans la ville : symbolique républicaine, p. 511 CHAPITRE XI. LE XXe SIÈCLE : DÉCOUVERTE-INVENTION-RÉNOVATION. LE JEU MODERNE DES CORNEMUSES À MIROIRS DU LIMOUSIN, p. 525 « Observation participante » ou « Participation observante » : la bi-musicalité, p. 527 Découvertes et enquêtes de terrain, p. 528 Camillou Gavinet. Un fondateur de mythe, p. 530 Gestuelle de l’effort, de la fécondité, p. 535 La cornemuse sacralisée, p. 536 Opérationnalité et opérativité, p. 537 Louis Jarraud, collectionneur, chabretaire, folkloriste, p. 537 L’atelier, lieu intime, p. 537 Objets et répertoires : collections, p. 538 Un rituel d’intronisation, p. 540 Des mélodies anamnestiques, p. 541 Le chabretaire folkloriste, p. 541 Le rôle anamnestique des répertoires de cornemuse : nommer les morts, p. 542 André Pangaud. Objets et filiation, p. 543 Une collection exotique, p. 544 Objets - filiations, p. 544 Discours baptismal, paroles d’objets, p. 548 Restaurer, Inventer : fonder un répertoire et un style, p. 550 Restauration, p. 550 Invention : le style, p. 550 Le rôle des anches, p. 551 Une question de doigté, p. 554 Étude des perces, p. 555 La mise au point du doigté de chabrette limousine, p. 557 « L’invention » de la chabrette limousine, p. 561 Rénovation : les techniques de jeu, p. 562 Plein-jeu et Entremain, p. 563 « Fai dardar » et « Fai planher », p. 565 Invention rythmique, p. 565 Jeu de pieds, le corps qui danse, p. 566 Violonaires et chabretaires, p. 566 Adaptations, rénovation, p. 568 Un jeu polyphonique de cornemuses ?, p. 569 Un autre sens ? Échapper à la réification, p. 572 BIBLIOGRAPHIE, p. 575 1. DOCUMENTS ANCIENS (avant 1800), p. 575 2. MUSICOLOGIE J ORGANOLOGIE / ICONOGRAPHIE, p. 576 3. ANTHROPOLOGIE / SOCIOLOGIE / SÉMIOTIQUE, p. 586 4. HISTOIRE ET ETHNOGRAPHIE du LIMOUSIN / RÉGIONALISME, p. 592 WEBOGRAPHIE, p. 596 TABLE DES MATIÈRES, p. 599 REMERCIEMENTS, p. 603 INDEX du DVD, p. 605

Bibliogr. p. 575-595. Webographie p. 596--597. Notes bibliogr.