Liebe Besucherinnen und Besucher ,
Wir möchten Sie darüber informieren, dass einige unserer Ausstellungsbereiche aus gesundheitlichen Gründen vorübergehend nicht zugänglich sein werden.
Wir entschuldigen uns für die Unannehmlichkeiten und werden alles daran setzen, diese Bereiche so schnell wie möglich wieder zu öffnen.
Wir danken Ihnen für Ihr Verständnis und Ihre Geduld.
Während dieser Zeit laden wir Sie ein, die anderen Ausstellungen und Aktivitäten, die im Museum und im Fort Saint-Jean verfügbar sind, kostenlos zu nutzen.

Livre - Marguerite Duras, une jouissance à en mourir

840 ALB

Description

Livre

le Passeur éd.

Alberti Olympia 1950 - ...

Presentation materielle : 1 vol. (165 p.)

Dimensions : 21cm

Vingt-deux ans après une lecture transie de Moderato cantabile, Olympia Alberti reçoit un coup de fil de Marguerite Duras. Leur rencontre débouche sur une longue amitié. « C’est elle qui parle, mais c’est moi qui écris » : se mettre dans la peau de Marguerite Duras, c’est pour l’auteur un défi, une joie et la chance de combler une dette de gratitude. Lors d’une longue journée d’automne, dans son appartement de la rue Saint-Benoît, Marguerite revoit toute sa vie, des instants fondateurs aux tragédies, s’acheminant, au fil des souvenirs et des introspections, vers une grâce emplie d’amour et d’espoir. Ce récit romancé nous fait découvrir à quel point Duras a pu être « exténuée de désir », pour un homme, pour l’écriture ou tout simplement pour la vie. Une multitude de questions enfouies dans la jouissance se démêlent ainsi à travers l’écriture. L’hommage d’Olympia Alberti à celle qui fut à la fois son amie et l’une des grandes figures littéraires du XXe siècle constitue un récit unique. Olympia Alberti a publié plus d’une trentaine de livres. Elle a reçu un prix de l’Académie française pour l’ensemble de son œuvre poétique. Parmi ses derniers titres : Le Royaume de sa nuit. Mère Teresa, le récit d’une vie (2010), L’Amour dans l’âme, le journal disparu d’Etty Hillesum (2011), Le Désir de l’ange et Divines empreintes (Le Passeur, 2013).