Livre - Scènes et doctrines du nationalisme

1C HIS 357

Description

Livre

F. Juven

Barrès Maurice 1862 - 1923

Presentation materielle : 1 vol. (518 p.)

Dimensions : in-16

LIVRE PREMIER. – Que le nationalisme est l’acceptation d’un déterminisme 1) Pourquoi je publie ce livre, p. 3 2) Le nationalisme, c’est l’acceptation d’un déterminisme, p. 8 3) De Coelo in inferna, p. 10 4) Qu’est ce que la vérité ?, p. 12 5) Pas de veau gras!, p. 13 Une note sur les mots « solidarité » et « affinités » 6) Note sur les mots « race » et « nation française », p. 19 LIVRE DEUXIÈME. – L’affaire Dreyfus Deux points de repérage CHAPITRE PREMIER. – POSITION DE LA QUESTION, p. 23 7) Responsabilité du ministère Méline (Le peuple crie « trahison » et le gouvernement dort.), p. 23 8) La formule de Déroulède, p. 29 9) Alfred Dreyfus est un symbole, p. 29 10) Je juge le symbole Dreyfus par rapport à la France, p. 33 11) Dialogue sur la vérité absolue et la vérité judiciaire, p. 35 CHAPITRE II. – LES INTELLECTUELS OU LOGICIENS DE L’ABSOLU, p. 40 12) Zola, p. 40 13) Qu’est-ce qu’un intellectuel ?, p. 43 14) La protestation des intellectuels (MM. Joseph Bertrand, Anatole France et Jean Psichari ou le Métèque), p. 45 15) Nos professeurs de philosophie, p. 55 16) Les protestants par rapport à la France. – Incompréhension de M. Léon Bourgeois. – Deux notes, p. 58 17) Des Juifs et des protestants considérés « in abstracto », p. 63 Erreur intellectuelle des socialistes. – Voir à l’Appendice CHAPITRE III. – LA RÉPLIQUE AUX INTELLECTUELS : LE SENS DU RELATIF, p. 65 18) La Ligue de la « Patrie française », p. 65 a) Comment dès le début nous la comprenions, p. 65 b) Sa première manifestation, p. 67 c) Que voulions-nous faire ?, p. 70 d) Ce que j’entendais par conciliation. (Union des patriotes, des régionalistes et de tous ceux, catholiques ou positivistes, qui veulent une discipline sociale.), p. 72 e) Doctrine proposée à la « Patrie française ». (Jugeons la France en historiens et non en métaphysiciens. – La Terre et les Morts. – Cette vue sur les morts nous mène à une loi sur les naturalisations. – Cette vue sur le terroir nous mène à une organisation régionaliste. – Pour que cette conscience nationale eût son efficacité, il faudrait qu’elle s’exprimât dans une autorité), p. 80 f) Je suis sorti du Comité directeur de la « Patrie Française » en octobre 1901, p. 94 19) Propagande pour l’éducation nationaliste, p. 95 a) L’éducation nationaliste, p. 95 b) Déclaration de l’Action française à propos d’un article de M. Barrès, p. 97 c) Le devoir des diverses ligues, p. 100 d) Les études nationalistes au quartier Latin, p. 103 e) Une visite dans un laboratoire de nationalisme, p. 107 f) Les dîners de l’Appel au Soldat, p. 112 1) Le premier diner de l’Appel au Soldat. Discours de Paul Bourget, Maurice Barrès et Henri Vaugeois, 11 juillet 1900. (Extrait de l’Action française du 1er août 1900.), p. 112 2) « Si le soldat ne surgit point qui dégage la France, dégageons du moins cette France en nous-mêmes. » (Allocution au second dîner de l’Appel au Soldat, 7 février 1901), p. 119 3) « J’ai besoin qu’on garde à mon arbre la culture qui lui permit de me porter si haut, moi, faible petite feuille. » (Anniversaire de l’Action française, 15 juin 1901.), p. 123 CHAPITRE IV. – À RENNES, p. 129 20) En route pour Rennes, ville qu’arrose le Rubicon, p. 129 21) La parade de Judas (Souvenir de la dégradation de Dreyfus à l’École militaire, 5 janvier 1895), p. 131 22) Les Rois, les Dames et les Valets, p. 137 a) Entrée d’Alfred Dreyfus, p. 137 b) Une visite à Combourg (méditation sur Dreyfus), p. 141 c) Les mouvements sincères de Dreyfus, p. 151 d) Vrai caractère de ces audiences : une tristesse puissante et maussade, p. 159 e) Les juges militaires, p. 159 f) Les avocats, p. 162 g) La vérité sur l’attentat de Labori, p. 167 h) Les avocats (suite), p. 176 i) Un paysage de ruines, p. 180 j) Picquart, p. 186 k) Le Picquarisme, p. 192 l) (Les témoins : Bertulus, Forzinetti, Cordier, etc.), p. 194 m) Les fleurs sans nom et le climat de Rennes, p. 199 n) Conclusion, p. 201 23) Le verdict du conseil de guerre, p. 205 a) La justice et l’État sont satisfaits, p. 208 En note les « autels de la souffrance » b) Autour du verdict, p. 212 CHAPITRE V. – LA PART DE DÉROULÈDE, p. 220 24) Les anarchistes de l’estrade (La salle Chaynes, 10 décembre 1898), p. 220 25) L’acte de la place de la Nation (23 février 1899), p. 231 1re note. – Cette révolution eût-elle pu être sanglante ?, p. 248 2e note. – Vive l’armée !, p. 249 3e note. – Encore une fois « Vive l’armée ! », p. 249 4e note. – Où courent ces parlementaires ? – Ils courent honorer les autels de Baudin, p. 250 5e note. – On se fatiguera d’entretenir une armée inutile, p. 250 26) Deux regards sur la porcherie, p. 250 a) La journée des témoins (10 novembre 1899) et la déposition de Gyp, p. 251 b) Les invectives, p. 257 27) La sagesse de Déroulède, p. 262 En note : « Déroulède et l’Académie. » 28) Note sur l’alliance russe, l’Alsace-Lorraine et la « Ligue des Patriotes », p. 271 29) Un 14 juillet à la statue de Strasbourg (14 juillet 1901), p. 273 30) Une phrase de Renan, p. 275 LIVRE TROISIÈME. – UNE NOUVELLE POSITION DU PROBLÈME ALSACIEN-LORRAIN 31) Conférence de la « Patrie française » sur l’Alsace et la Lorraine (décembre 1899). – Le développement des âmes alsaciennes et lorraines depuis 1871 ; la période héroïque et la période de résistance légale ; les chances de la germanisation, p. 279 32) Lettre d’un colonial français, p. 304 33) Lettre d’un mulhousien sur la supériorité de la culture française, p. 308 34) Il ne fallait pas émigrer, p. 310 35) Qu’est-ce que la dictature en Alsace-Lorraine ?, p. 316 LIVRE QUATRIÈME. – QUELQUES BONNES FIGURES 36) Morès, p. 324 1) Discours sur le cercueil de Morès pour demander vengeance (19 juillet 1896), p. 324 2) La mort de Morès vengée, p. 330 a) La physionomie de Morès, p. 330 b) Ce que tentait Morès, p. 334 c) Départ et mort de Morès, p. 339 d) Première tentative de vengeance, p. 344 e) Les préparations immédiates du crime racontées par les assassins, p. 347 f) La journée de la mort, p. 353 g) L’arrestation des assassins, p. 359 37) Le commandant Marchand et ses rapports avec le Parlement, p. 364 38) Le général Galliéni, p. 377 LIVRE CINQUIÈME. – DEUX PÈLERINAGES NATIONAUX 39) Dans les champs de Froeschwiller, p. 387 a) Aspect des troupes françaises. (Des héros. L’opinion du général Bonnal. L’État-major de 1870), p. 390 b) Le noyer de Mac-Mahon, p. 394 c) La cabane des turcos, p. 401 d) Morsbronn, p. 404 e) Le renforcement sur la route de Haguenau, p. 405 f) Quelques récits de la retraite, p. 406 40) Paris-Berlin 1806-1901, p. 410 APPENDICE 41) Le programme de Nancy. (Nationalisme, protectionnisme, socialisme), p. 429 42) Erreur intellectuelle des socialistes. (La « Petite République » veut faire l’union socialiste. – Anarchie réelle dans cette union apparente. – L’internationalisme, expédient pour se passer d’une doctrine commune. – La Révolution ne parla jamais d’internationalisme. – Les peuples, libérés du contrat historique par le droit naturel, s’organisèrent en nationalités. – En dépit de Marx, la « force des choses » ne détruit pas les frontières. – L’évolution se fait le long des siècles vers le nationalisme. – Lettre du socialiste Léon Hennebicq, p. 410 43) Les ambitions du prolétariat sont-elles incompatibles avec les nécessités d’un grand état dans l’Europe moderne ?, p. 418 a) La féodalité financière, p. 451 b) Les grands barons : M. de Rothschild, p. 453 c) Les dangers de cette féodalité, p. 455 d) La lutte contre cette féodalité, p. 456 On peut comparer le mouvement corporatif moderne au mouvement communal du XIIe siècle e) L’association (Personnalité civile des communes et des syndicats), p. 456 f) Une nouvelle main-morte, p. 457 11) Le nationalisme implique la protection des ouvriers français, p. 457 a) Le sentiment nationaliste. – (Le Parlement et les étrangers. – Nombre des étrangers en France. – Réponse aux internationalistes. – La protestation nationale. – Pourquoi les étrangers viennent-ils en France ? – Nos ouvriers et la civilisation française. – Les travailleurs français et le protectionnisme douanier. – Les économistes libéraux orthodoxes et les socialistes collectivistes devant l’idée de patrie. – L’idée de patrie et la protection des travailleurs nationaux. – La conquête économique de la France. – Les députés patriotes, p. 457 b) Mesures législatives réclamées par les nationalistes. – (Les ouvriers étrangers et la diplomatie). – Énumération des mesures à prendre. – Deux objections : 1° les étrangers riches et les commerçants français ; 2° les étrangers en France et les Français à l’étranger, p. 465 c) Le nationalisme règle l’univers. – (M. Rouvier et les étrangers. – L’évolution nationaliste. – La Révolution française et le patriotisme. – Le principe des nationalités. – Les Droits de l’homme et du citoyen et la question des étrangers. – La protection nationale en Allemagne, en Suisse, en Amérique, en Angleterre), p. 471 Résumé de notre argumentation, p. 477 45) Ce que fut la « Cocarde ». (Extrait de « l’Idée de décentralisation », par Charles Maurras), p. 477 46) Notes sur les idées fédéralistes, p. 483 a) Position des divers partis sur cette question, p. 483 b) Notre point de vue, p. 490 c) Comment pourrait se faire la décentralisation, p. 493 d) La décentralisation comme moyen de transformation sociale, p. 498 e) Le point de vue nationaliste, p. 501 f) Post-scriptum et réponse à une objection, p. 505 TABLE DES MATIÈRES, p. 509

Recueil d'articles, de discours et de textes extraits de divers journaux et publications